Le Rien, la Nudité, Y'becca, La Laïcité
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Éosphoros, Hespéros ou Vesper, Gopura et asteres planetes

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yanis la chouette



Ainsi YAHVÉ se détermine dans la nature et le temps; il est l'essence des Dieux: Celui qui rends l'aspect et l'universel.


En Inde, les gopuras sont typiques de l'architecture dravidienne de l'Inde du Sud. Le nom vient,selon certains, de deux mots tamouls : கோ (Kō=roi) et புறம் (puram=extérieur)

Dans l'architecture des temples hindouistes, un gopura (gopuram en Inde du Sud, gapura en Indonésie) est une construction par laquelle on pénètre dans les enceintes successives d'un temple 1.

En Inde, les gopuras sont typiques de l'architecture dravidienne de l'Inde du Sud. Ce sont des tours monumentales très richement décorées.

Le nom vient,selon certains, de deux mots tamouls : கோ (Kō=roi) et புறம் (puram=extérieur) 2

Les enceintes des temples sont généralement orientées est-ouest avec une entrée, située à l'est. Toutefois, certains temples sont orientés avec l'entrée à l'ouest. C'est le cas, au Cambodge d'Angkor Vat et du Vat Athvéa. Un gopura est situé au milieu d'un côté de l'enceinte et orienté vers un point cardinal. Il y a souvent un gopura sur chacun des quatre côtés de l'enceinte. On trouve cet ensemble de 4 gopuras (un par côté) sur chacune des enceintes successives du temple avant d'atteindre le sanctuaire proprement dit.

On peut trouver l'origine des gopuras aux premières structures construites par la dynastie Pallava. Au XIIe siècle, sous la dynastie Pandya ils devinrent la caractéristique la plus visible de ces temples.

Signification

Avec le temps et sous cette dynastie Pandya, les gopuras se firent de plus en plus hauts, ceux des enceintes extérieures plus hauts que celles des enceintes intérieures. Le sanctuaire lui-même, coiffé par un vimana est de taille de plus en plus réduite, même s'il est parfois très décoré avec des motifs dorés. Entre les deux, des salles (mandapa) hébergent les activités nécessaires au temple.

C'est une image de l'hindouisme avec un monde des dieux très visible symbolisé par ces tours monumentales et leur profusion de décorations, statues de dieux, d'épisodes de la mythologie et d'ornements. À l'inverse, le sanctuaire symbolise le Brahman non manifesté par ses petites dimensions et sa discrétion 1

Cependant on trouve quelques temples de ce style où la tour centrale du sanctuaire est l'élément essentiel. C'est par exemple le cas du temple Venkateswara à Tirumala, près de Tirupati dans l'Andhra Pradesh.
Détails architecturaux
Detail d'un gopuram d'un temple de Chennai

Un gopuram est de plan rectangulaire avec des portes en bois, souvent richement décorées, offrant un accès. Ils sont en forme de pyramide avec plusieurs étages de plus en plus petits. Habituellement, le dernier étage est en forme de berceau. Au sommet se trouvent plusieurs pierres en forme de bulbes dénommées kalasam, et toujours en nombre impair.
Les plus hauts gopuras

Le Rajagopuram (=roi des gopuras) du temple de Shiva à Murudeshwara dans le Karnataka (construit en 2007) atteint 75m (249 feet) de haut avec 20 étages. C'est le plus haut gopura du monde.
Le gopura du temple de Sri Ranganathaswamy à Srirangam, Tamil Nadu vien ensuite. Construit en 1987 dans un temple construit du XIVe au XVIIe siècle, il atteint 73 m (243 feet) de haut avec onze étages.
Le Temple de Mînâkshî, construit de 1560 à 1660 à Madurai est célèbre pour ses grandes dimensions et ses gopuras au nombre de 14. Les plus hauts atteignent 52m (170 feet) de haut.

L'expression « étoile du Berger » est très ancienne. Autrefois, les gardiens de troupeaux qui vivaient au rythme des jours et des nuits, tout au long de l'année, guettaient l'apparition de la première étoile dans le ciel, le soir, pour rentrer à la bergerie. Et il en était de même le matin : lorsque la dernière étoile brille avant le lever du Soleil (« celle qui annonce le matin »), il est temps de sortir les moutons.
Qu'est-ce que l'étoile du Berger ?

En réalité, celle que l'on désigne « étoile du Berger » n'est pas une étoile mais une planète. Il s'agit de Vénus. Certes, de prime abord, ce point brillant, visible dans le ciel du matin ou du soir, peut se confondre avec une étoile mais Vénus est un point étincelant relativement proche de nous (environ 42 millions de kilomètres au plus près ; le Soleil est à 150 millions de kilomètres de nous).

Notes et références

↑ a et b Andreas Volwahsen (trad. Marcelline de Montmollin), Inde bouddhique, hindoue, jaïn, Fribourg (Suisse), Office du Livre, coll. « Architecture universelle », 1968, 192 p. p. 55, p. 143
↑ Tamil geographies: cultural constructions of space and place in South India par Indira Viswanathan Peterson publié en 2008 par SUNY Press

Quand peut-on voir l'étoile du Berger ?

Vénus, associée à la déesse de la Beauté et de l'Amour (pour les Babyloniens, elle était Ishtar), est une planète aussi grande que la Terre et située entre le Soleil et nous. Il s'agit d'une planète dite « intérieure », à l'instar de Mercure, qui, par conséquent, est toujours visible, du point de vue terrestre, non loin de l'astre solaire. C'est pour cela qu'on ne peut l'admirer que dans les lueurs de l'aube ou du crépuscule, et jamais au milieu de la nuit.

Pourquoi Vénus brille-t-elle autant ?

Autrefois, les Anciens pensaient qu'il y avait deux étoiles : une étoile du matin (Éosphoros en grec, « le porteur de la lumière de l'aurore », ou Lucifer pour les Romains — lux signifie « lumière ») et une étoile du soir (Hespéros ou Vesper). Mais les Grecs démontrèrent qu'il s'agit du même objet brillant, en l'occurrence un « astre errant » (asteres planetes), une planète plutôt qu'une étoile fixe.

Vénus est visible tantôt le soir, tantôt le matin mais jamais les deux en même temps. Troisième astre le plus brillant après le Soleil et la Lune, elle est donc facile à distinguer dès les premières minutes du crépuscule.

À noter que l'étoile du Berger et l'étoile polaire désignent deux astres différents, à ne pas confondre. L'étoile polaire, beaucoup moins brillante que Vénus, a pour particularité de sembler fixe dans le ciel et d'indiquer le nord. Elle marque le pôle nord céleste.

Ainsi YAHVÉ se détermine dans la nature et le temps; il est l'essence des Dieux: Celui qui rends l'aspect et l'universel.

Ecrit laïc
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TAY
La chouette effraie

yanis la chouette



Ainsi YAHVÉ se détermine dans la nature et le temps; il est l'essence des Dieux: Celui qui rends l'aspect et l'universel.

Kirtimukha (IAST: kīrtimukha) ou kīrttimukha est un mot composé sanscrit signifiant « visage glorieux ». Il désigne un visage plus ou moins stylisé de monstre féroce ayant d'énormes crocs et la bouche ouverte, généralement sans mâchoire inférieure. C'est un thème fréquent dans l'iconographie des temples de l'Inde et du Sud-Est asiatique1. Il est souvent appelé aussi Kala (IAST kāla, le dieu de la Mort, sous son aspect du Temps destructeur) ou grasa, le dévoreur. On le rapproche parfois du Tao tie (monstre de cupidité) chinois, voire de l'Homme vert européen2.

Kézako : les secrets des trous noirs Rien n'échappe au trou noir : ni la matière, ni même la lumière. L'existence de ces objets célestes compacts est aujourd’hui reconnue par la quasi-totalité de la communauté scientifique. Malgré tout, ils restent empreints de mystère. Unisciel et l’université de Lille 1 nous dévoilent, avec le programme Kézako, les surprenants secrets de ces astres.

Le terme « trou noir » a été inventé par le physicien américain John Wheeler, en 1967, pour décrire une concentration de masse-énergie qui s'est effondrée gravitationnellement sous sa propre force d'attraction et qui est devenue si compacte que même les photons ne peuvent se soustraire à cette force gravitationnelle.
Trou noir, horizon des évènements et relativité générale d'Einstein

L'idée avait déjà été conçue au XVIIIe siècle par John Michell et Pierre-Simon de Laplace. Mais, pour un physicien et un astrophysicien moderne, un trou noir est, d'abord et avant tout, caractérisé par l'existence d'un horizon des évènements, ce qui, dans ce cas précis, est une surface sphérique délimitant une région de l'espace-temps dont même la lumière ne peut sortir.
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Dans le cadre des équations de la relativité générale, un tel objet est décrit par une unique famille de solutions des équations d'Einstein dites de Kerr-Newman et qui correspondent à un trou noir en rotation possédant un moment cinétique, une masse et une charge électrique.
Trous noirs de Kerr, de Schwarzschild et de Reissner-Nordström

quand un trou noir tourne mais est sans charge, on parle de trou noir de Kerr ;
quand un trou noir ne tourne pas et est sans charge, on parle de trou noir de Schwarzschild ;
quand un trou noir ne tourne pas mais a une charge, il est décrit par la solution de Reissner-Nordström.

Bien qu'une singularité de l'espace-temps soit présente dans ces solutions, elle ne caractérise pas un trou noir. Les astrophysiciens ont des raisons de penser qu'un traitement quantique de l'espace-temps et de la matière à l'intérieur d'un trou noir supprime cette singularité qui peut être décrite approximativement comme un point de densité infinie où la courbure de l'espace-temps est également infinie. Un modèle quantique de trou noir conduit au concept d'étoile de Planck.
Voir aussi :Interview : qu’est-ce qu’une étoile de Planck ?
Trous noirs stellaires, trous noirs supermassifs et minitrous noirs

Les trous noirs stellaires se forment à l'occasion de l'effondrement gravitationnel de certaines étoiles massives qui explosent en supernovae.
On sait qu'il existe, au cœur de certaines galaxies, des trous noirs dits supermassifs. Ils contiennent de quelques millions à quelques milliards de masses solaires, mais l'on ne comprend pas bien comment ils se forment.
Il pourrait également exister des minitrous noirs issus des phases très primitives de l'univers. L'Homme pourrait en créer grâce à des collisions de particules dans des accélérateurs.

Les astrophysiciens ont des raisons de penser que les trous noirs chargés se déchargent spontanément et très rapidement. Ainsi, ceux qui existent dans l'univers ne devraient être que des trous noirs de Kerr ou de Schwarzschild.

Origine et caractéristiques

Le mot mukha en sanscrit désigne le visage, tandis que kīrti signifie « gloire, renommée ». Kirtimukha tire son origine d'une légende du Skanda Purana dans laquelle Jalandhara, un monstre qui dévore tout, créé par Shiva, a mangé son propre corps en commençant par sa queue, ainsi que le lui avait ordonné Shiva. Ce dernier, satisfait du résultat lui a donné le nom de « visage glorieux ». V. S. Agrawala, se fondant sur une inscription des grottes bouddhiques de Kanheri, datée de 493 de notre ère, remarque que le terme kirti dénote un temple excavé et kirtimukha l’entrée de celui-ci3.

Le Kirtimukha est souvent utilisé comme motif décoratif surmontant une porte, une fenêtre ou une niche d'un temple, particulièrement dans l'architecture du Sud de l'Inde. Il est parfois aussi au pinacle des gopurams ou de temples (rares) du type 'hastiprishta' ('à dos d'éléphant', c'est-à-dire à toit voûté). Il peut également être utilisé comme motif dans des frises ou dans les coiffures de personnages4. Il est parfois confondu avec un autre élément sculptural, la face de lion (Simhamukha). Toutefois, le Kirtimukha est représenté en train d'avaler.

Un trou noir est un objet céleste dont le champ gravitationnel empêche toute forme de matière ou de rayonnement de s'échapper. Michel Cassé, astrophysicien à l’institut d’Astrophysique de Paris, nous explique la formation de ces astres fascinants. © Futura
Trous noirs : le prix Nobel de physique pour Chandrasekhar

Subrahmanyan Chandrasekhar avait prévu la formation des trous noirs avant tout le monde au début des années 1930 en découvrant qu'une étoile ayant épuisé son carburant nucléaire et dont la masse dépassait 1,44 masse solaire devait s'effondrer sur elle-même. Bien qu'un tel effondrement gravitationnel puisse parfois simplement conduire à la formation d'une étoile à neutrons, il peut aussi conduire à celle d'un trou noir, comme Robert Oppenheimer et George Volkoff l'ont montré en compagnie d'Hartland Snyder.

La théorie des trous noirs fit l'objet d'impressionnants travaux de la part de Chandrasekhar pendant les années 1970. Avec sa découverte de ce qui s'appelle maintenant « la masse de Chandrasekhar », ils furent en partie à l'origine de son prix Nobel de physique, obtenu en 1983. Comme d'habitude pour la remise de ce prix, le lauréat donna une conférence. À la fin de celle-ci, le grand astrophysicien indien fit de fascinantes remarques concernant la théorie mathématique des trous noirs :

« Je ne sais pas si toute la portée de ce que j'ai dit est claire. Laissez-moi vous expliquer. Les trous noirs sont des objets macroscopiques avec des masses variant de quelques masses solaires à des milliards de masses solaires. Lorsqu'ils peuvent être considérés comme stationnaires et isolés, ils sont tous, chacun d'entre eux, décrits exactement par la solution de Kerr. C'est le seul cas connu où nous avons une description exacte d'un objet macroscopique.

Les objets macroscopiques tout autour de nous sont régis par une variété de forces, décrites par diverses approximations de plusieurs théories physiques. [...] En revanche, les seuls éléments de construction de trous noirs sont nos concepts de base de l'espace et du temps. Ils sont ainsi, presque par définition, les objets macroscopiques les plus parfaits de l'univers. Et, puisque la théorie de la relativité générale nous fournit une famille de solutions dépendant uniquement de deux paramètres pour leur description, ils sont aussi les objets les plus simples de l'univers ».
Trous noirs : le rayonnement de Hawking

Ces considérations posent problème car elles conduisent à penser que toute l'information contenue dans les objets tombant dans un trou noir (à commencer par celle contenue dans une étoile se transformant en trou noir) est définitivement détruite, ou pour le moins inaccessible. Un trou noir devrait donc posséder une entropie et, comme tout objet possédant une entropie, il devrait posséder une température et rayonner. C'est la conclusion à laquelle est arrivé Stephen Hawking en appliquant la mécanique quantique aux trous noirs, ce qui lui a permis de découvrir que ceux-ci devaient émettre du rayonnement à la façon d'un corps noir chauffé.

Les trous noirs devraient donc s'évaporer par rayonnement Hawking. Pourtant, aucune observation ne soutient cette théorie à ce jour, bien qu'elle semble très solide sur les bases de la physique théorique actuelle. Elle conduit cependant à des paradoxes, comme le paradoxe de l'information et le paradoxe du pare-feu, dont les solutions révolutionneraient la physique.

Les astrophysiciens cherchent à démontrer que les objets qui se comportent comme des trous noirs le sont vraiment, c'est-à-dire qu'ils possèdent des horizons des évènements. L'étude des ondes gravitationnelles émises par des fusions de trous noirs, avec Ligo mais surtout eLisa, et peut-être aussi le Event Horizon Telescope, pourrait nous apporter des réponses à ce sujet.

Ainsi YAHVÉ se détermine dans la nature et le temps; il est l'essence des Dieux: Celui qui rends l'aspect et l'universel.

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長白, 白頭山, 천지, LARMES DE DIEU ET GORDON PACHA
http://leclandesmouettes.bbflash.net/t445-3826330333-303333895723665-5238051648-larmes-de-dieu-et-gordon-pacha
http://la-5ieme-republique.actifforum.com/t398-3826330333-303333895723665-5238051648-larmes-de-dieu-et-gordon-pacha

Kâla, l'éclipse, l'art khmer et l'astronomie indienne
http://orkhidion-velamen.forumactif.com/t109-kala-l-eclipse-l-art-khmer-et-l-astronomie-indienne#545

Titre : À qui vierge me gardera
Poète : George Sand (1804-1876)

Recueil : Les sept cordes de la lyre (1840).

À qui vierge me gardera :
La richesse.

À qui bien parler me fera :
La sagesse.

À quiconque me violera :
La folie ;

Et s'il me brise, il le paiera
De sa vie.


Acte I, Scène VII.
George Sand.

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Au VIe siècle av. J.-C., Anaxagore qualifie l’éclipse « d'interpositions d’astres noirs, comme des nuages, à cours régulier »
Au IIIe siècle av. J.-C., pour le philosophe Théophraste, le Soleil est fait de petites particules de feu, rassemblées du fait de l'exhalation humide ; en s'agglomérant, elles constituent le soleil.
Historiquement, les étoiles sont les points lumineux du ciel visibles uniquement la nuit et fixes les uns par rapport aux autres, par opposition aux planètes qui suivent des trajectoires errantes dans le ciel nocturne au cours de l'année. Les anciens avaient une connaissance approfondie de la répartition des étoiles dans le ciel : ils les utilisaient pour la navigation et attribuaient des noms à certaines d'entre elles ainsi qu'aux formes qu'elles dessinent, les constellations. Cependant ils ignoraient tout de leur nature exacte, pensant souvent qu'il s'agissait d'orifices percés à travers la sphère . C'est seulement avec l'essor de l'astronomie moderne que les étoiles ont pu être comprises comme des objets de même nature que le Soleil mais situés à des distances considérablement plus grandes. Cette hypothèse fut énoncée pour la première fois par Giordano Bruno au XVIe siècle avant d'être confirmée expérimentalement en 1838 avec la première mesure de parallaxe réalisée par Friedrich Wilhelm Bessel, ainsi que les observations spectrométriques effectuées grâce à l'appareil inventé en 1814 par l'opticien Joseph von Fraunhofer.
18 Scorpii a, en septembre 2003, été identifiée par l'astronome Margaret Turnbull de l'université de l'Arizona à Tucson comme une des étoiles les plus proches et plus prometteuses candidates de posséder des planètes capables d'héberger la vie, se basant sur son analyse de la liste HabCat des étoiles (« Catalog of Nearby Habitable Stellar Systems »).
Ainsi YAHVÉ se détermine dans la nature et le temps; il est l'essence des Dieux: Celui qui rends l'aspect et l'universel.



Wat Althea, also called Prasat Vat Althea, is a 12th-century Hindu temple at Angkor, Cambodia with an active Buddhist temple and cemetery located adjacent to the walled ancient structure. It is located 6 km. south of Siem Reap just west of the road leading to the Tonle Sap.


The temple's design and the distinctive style of its devata (sacred female images) indicate that it was built during the reign of King Suryavarman II (circa 1115-1150 AD), who also built Angkor Wat.[1]

Une éclipse correspond à l'occultation d'une source de lumière par un objet physique.

References

Briggs, Lawrence Palmer. The Ancient Khmer Empire, The American Philosophical Society, 1962.
Map coordinates: 13° 19' 24.21" N 103° 50' 26.42" E

18 Scorpii (ou 18 Sco) est une étoile située à environ 45,7 années-lumière de la Terre à l'extrémité nord de la constellation du Scorpion. Elle partage de nombreuses propriétés physiques avec le Soleil. Cayrel de Strobel (1996) la fait figurer dans sa liste des étoiles les plus similaires au Soleil1 et Porto de Mello & da Silva (1997) l'ont identifiée comme le meilleur jumeau solaire connu2.

Caractéristiques physiques

18 Scorpii est une étoile de séquence principale de type spectral G2 Va2. Meléndez & Ramírez (2007) lui attribuent une métallicité égale à 1,04 fois celle du Soleil3.

D'après Lockwood (2002), ses fluctuations photométriques sont très similaires à celles du Soleil4. Ses variations d'éclat au cours de son cycle d'activité atteignent 0,09 %, en bon accord avec les fluctuations observées sur le Soleil lors des derniers cycles solaires5. En utilisant l'imagerie Zeeman-Doppler, Petit et al. (2008) ont montré que son champ magnétique est très similaire à celui du Soleil, de par son intensité et sa géométrie6. Cependant, le cycle de 18 Sco est significativement plus court que celui du Soleil, et son niveau d'activité chromosphérique est plus élevé5,7.

18 Scorpii est une étoile isolée, et l'analyse de sa vitesse radiale n'a pas encore révélé la présence de compagnons planétaires8.

Bien que 18 Scorpii soit globalement à peine plus métallique que le Soleil, son abondance en lithium est environ 3 fois plus élevée. Pour cette raison, Meléndez & Ramírez (2007) ont suggéré que 18 Scorpii est en fait un « quasi jumeau solaire », réservant le terme « jumeau solaire » pour des étoiles (comme HIP 56948) qui ressemblent au Soleil, aux barres d'erreur près, pour tous leurs paramètres mesurables3.

Comparaison entre 18 Scorpii et le Soleil
Étoile Type spectral Rayon (Rsol) Masse (Msol) Luminosité
(Soleil=1) Température
(K) Métallicité
(Soleil=1) Âge
(Ma) Rotation
(jours) Cycle d'activité magnétique
(années)
18 Scorpii G2V 1,02 1,012 1,05 5789 ~1,08 4200 23 9-13
Soleil G2V 1 1 1 5777 1 4577 25,7 11

Les caractéristiques spéciales de 18 Scorpii font de cette étoile un objectif de recherche prioritaire de planètes telluriques qui pourraient héberger la vie.
Références

↑ (en) G. Cayrel de Strobel, Stars Resembling the Sun, Astronomy & Astrophysics Review, 7, 243–288 (1996) Voir en ligne [archive].
↑ a et b (en) Gustavo Porto de Mello & Licio da Silva, HR 6060: The Closest Ever Solar Twin?, Astrophysical Journal Letters, 482, L89–L92 (1997) Voir en ligne [archive].
↑ a et b (en) Jorge Melénde & Iván Ramírez, HIP 56948: A Solar Twin with a Low Lithium Abundance, Astrophysical Journal Letters, 669, L89–L92 (2007), arXiv:0709.4290 (astro-ph) Voir en ligne [archive].
↑ (en) G. W. Lockwood et al., Gauging the Sun: Comparative photometric and magnetic activity measurements of sunlike stars, 1984-2001, Bulletin of the American Astronomical Society, 34, 651 (2002) Lien ADS [archive] Voir en ligne [archive].
↑ a et b (en) J. C. Hall & G. W. Lockwood, The Sun-Like Activity of the Solar Twin 18 Scorpii, Astronomical Journal, 133, 2206–2008 (2007) astro-ph/0703450 Voir en ligne [archive].
↑ (en) P. Petit et al., Toroidal versus poloidal magnetic fields in Sun-like stars : a rotation threshold, Monthly Notices of the Royal Astronomical Society, 388, 80-88 (2008), arXiv:0804.1290 (astro-ph) Voir en ligne [archive].
↑ (en), J. C. Hall & G. W. Lockwood, Evidence of a Pronounced Activity Cycle in the Solar Twin 18 Scorpii, Astrophysical Journal Letters, 545, L43–L45 (2000) Voir en ligne [archive].
↑ (en) Geoffrey Marcy et al., Five New Extrasolar Planets, Astrophysical Journal, 619, 570–584 (2005) Voir en ligne [archive].

Liens externes

(fr) Article de Techno Science sur 18 Sco et sa similarité avec le Soleil [archive]
(en) 18 Scorpii [archive] sur la base de données Simbad du Centre de données astronomiques de Strasbourg.

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Bright Star Catalogue HD 142165 · HD 142250 · HD 142883 · HD 143619 · HD 143787 (en) · HD 143900 · HD 144585 · HD 144661 · HD 144690 · HD 144844 · HD 144927 · HD 144987 · HD 145100 · HD 145191 · HD 145250 · HD 145838 · HD 145964 · HD 145997 · HD 146001 · HD 146254 · HD 146624 (en) · HD 146834 · HD 146836 · HD 146850 · HD 146954 · HD 147513 (en) · HD 147553 · HD 147628 · HD 147723 · HD 148247 · HD 148760 · HD 149174 · HD 149886 · HD 150331 · HD 150573 · HD 150591 · HD 150608 · HD 150638 · HD 150702 · HD 150894 · HD 151078 · HD 151771 · HD 152234 · HD 152293 · HD 152408 · HD 152431 · HD 152636 · HD 153072 · HD 153368 · HD 153613 · HD 154025 · HD 154153 · HD 154310 · HD 154703 · HD 154948 · HD 155259 · HD 155276 · HD 155450 · HD 155826 · HD 155940 · HD 155974 · HD 156098 · HD 156293 · HD 157060 · HD 157097 · HD 157243 · HD 157486 · HD 158105 · HD 158156 · HD 158619 · HD 158799 · HD 159312 · HD 159633 · HD 159707 · HD 160668 · HD 160748 · HD 160928 · HD 161390 · HD 161840 (en) · HD 162189 · HD 162391 · HD 162396 · HD 162496 · HD 162517 · HD 162586 · HD 162587 · HD 162817 · HD 162926 · HD 163145 (en) · HD 163234 · HD 163376 (en) · HD 163433
Catalogue Henry Draper HD 143567 · HD 144432 · HD 145377 · HD 146436 · HD 150420 · HD 152424 · HD 153234 · HD 153950 (en) · HD 155985 · HD 158042 · HD 159868 (en) · HD 162020 b
Catalogue Gliese Gliese 618 · Gliese 667 (A ; B ; C dont planètes) · Gliese 682
Autre CD -38 10980 · GCRT J1745-3009 (en) · GRO J1655-40 · GSC 06214-00210 · GX 340+0 · GX 349+2 · H1-36 · H1743-332 · HIP 79431 (en) · IGR J17091-3624 (en) · IGR J17252-3616 · IRAS 17163-3907 · MOA-2008-BLG-310L (en) · MXB 1735-44 · OAO 1657-415 · OGLE-2005-BLG-071L (en) · OGLE-2005-BLG-390L · OGLE-2007-BLG-368L (en) · Pismis 24-1 · PSR B1620-26 · PSR B1706-44 · PSR B1737-30 · PSR J1614–2230 (en) · Rapid Burster · 1RXS J160929.1-210524 · 1RXS J170849.0-400910 · Scorpius X-1 · Th 28 · 4U 1705-44 · 4U 1724-307 · 4U 1728-34 · 4U 1746-371 · UScoCTIO 108 (en) · WASP-17 · WR 86 · Wray 17-96 (en) · XTE J1720-318 · XTE J1739-302 · XTE J1751-305

Liste d'étoiles du Scorpion

Cet article recense les étoiles situées dans la constellation du Scorpion, classées par magnitude apparente décroissante.
Liste
Nom B F HD HIP a dec Magnitude apparente Magnitude absolue Dist. (al) Type Notes
α Sco α 21 148478 80763 16h 29m 24,47s −26° 25′ 55,0″ 1,06 −5,28 604 M1Ib + B2.5V Antarès, Cor Scorpii, Qalb al-Aqrab, Vespertilo ; 16e plus brillante étoile ; binaire ; variable
λ Sco λ 35 158926 85927 17h 33m 36,53s −37° 06′ 13,5″ 1,62 −5,05 703 B1.5IV+... Shaula
θ Sco θ 159532 86228 17h 37m 19,13s −42° 59′ 52,2″ 1,86 −2,75 272 F1II Sargas
δ Sco δ 7 143275 78401 16h 00m 20,01s −22° 37′ 17,8″ 2,29 −3,16 401 B0,2IV Dschubba, Al Jabba, Iclarkrau
ε Sco ε 26 151680 82396 16h 50m 10,24s −34° 17′ 33,4″ 2,29 0,78 65 K2IIIb Wei
κ Sco κ 160578 86670 17h 42m 29,28s −39° 01′ 47,7″ 2,39 −3,38 464 B1.5III Girtab
β1 Sco β1 8 144217 78820 16h 05m 26,23s −19° 48′ 19,4″ 2,56 −3,50 530 B0.5V Acrab, Elacrab, Graffias, Grafias, Grassias
υ Sco υ 34 158408 85696 17h 30m 45,84s −37° 17′ 44,7″ 2,70 −3,31 518 B2IV Lesath, Lesuth
τ Sco τ 23 149438 81266 16h 35m 52,96s −28° 12′ 57,5″ 2,82 −2,78 430 B0V Alniyat, Al Niyat
π Sco π 6 143018 78265 15h 58m 51,12s −26° 06′ 50,6″ 2,89 −2,85 459 B1V + B2V Vrischika
σ Sco σ 20 147165 80112 16h 21m 11,32s −25° 35′ 33,9″ 2,90 −3,86 734 B1III Al Niyat, Alniyat
ι1 Sco ι1 161471 87073 17h 47m 35,08s −40° 07′ 37,1″ 2,99 −5,71 1791 F3Ia Apollyon
μ1 Sco μ1 151890 82514 16h 51m 52,24s −38° 02′ 50,4″ 3,00 −4,01 821 B1.5IV + B Denebakrab ; variable de type β Lyr
G Sco G 161892 87261 17h 49m 51,45s −37° 02′ 36,1″ 3,19 0,24 127 K0/K1III Basanismus
η Sco η 155203 84143 17h 12m 09,18s −43° 14′ 18,6″ 3,32 1,61 72 F3p Sabik
μ2 Sco μ² 151985 82545 16h 52m 20,15s −38° 01′ 02,9″ 3,56 −2,44 517 B2IV Denebakrab
ζ2 Sco ζ² 152334 82729 16h 54m 35,11s −42° 21′ 38,7″ 3,62 0,30 150 K4III Grafias, Graffias, Grassias
ρ Sco ρ 5 142669 78104 15h 56m 53,09s −29° 12′ 50,4″ 3,87 −1,62 409 B2IV/V
ω1 Sco ω1 9 144470 78933 16h 06m 48,43s −20° 40′ 08,9″ 3,93 −1,64 423 B1V Jabhat al Akrab
ν Sco ν 14 145502 79374 16h 11m 59,74s −19° 27′ 38,3″ 4,00 −1,63 436 B2IV Jabbah, Jabah, Lesath ; système quintuple
ξ Sco ξ 144069 78727 16h 04m 21,63s −11° 22′ 24,8″ 4,16 92,5 F6IV Grafias, Graffias, Grassias ; Système sextuple
H Sco H 149447 81304 16h 36m 22,46s −35° 15′ 19,3″ 4,18 −0,90 339 K5III
N Sco N 148703 80911 16h 31m 22,94s −34° 42′ 15,6″ 4,24 −2,56 746 B2III-IV
Q Sco Q 159433 86170 17h 36m 32,85s −38° 38′ 05,5″ 4,26 1,03 144 G8/K0III/IV
ω2 Sco ω² 10 144608 78990 16h 07m 24,30s −20° 52′ 07,2″ 4,31 −0,24 265 G6/G8III Jabhat al Akrab
ο Sco ο 19 147084 80079 16h 20m 38,18s −24° 10′ 09,4″ 4,55 −3,24 1177 A4II/III Alniyat, Al Niyat
13 Sco c² 13 145482 79404 16h 12m 18,21s −27° 55′ 34,7″ 4,58 −1,20 468 B2V
2 Sco A 2 142114 77840 15h 53m 36,73s −25° 19′ 37,5″ 4,59 −1,03 434 B2.5Vn
1 Sco b 1 141637 77635 15h 50m 58,75s −25° 45′ 04,4″ 4,63 −1,39 522 B1.5Vn
ζ1 Sco ζ1 152236 82671 16h 53m 59,73s −42° 21′ 43,3″ 4,70 5700 B1Iae Grafias, Graffias, Grassias
ξ Sco ξ 144070 16h 04m 22,10s −11° 22′ 23,0″ 4,77 92,5 Grafias, Graffias, Grassias
ι2 Sco ι² 161912 87294 17h 50m 11,11s −40° 05′ 25,5″ 4,78 −5,50 3705 A6Ib Appolyon
22 Sco i 22 148605 80815 16h 30m 12,48s −25° 06′ 54,6″ 4,79 −0,61 393 B3V
161840 87220 17h 49m 10,47s −31° 42′ 11,5″ 4,79 −1,56 607 B8Ib/II
d Sco d 146624 79881 16h 18m 17,92s −28° 36′ 49,6″ 4,80 1,63 140 A0V:
k Sco k 154090 83574 17h 04m 49,35s −34° 07′ 22,5″ 4,83 −4,74 2672 B2Iab
163145 87846 17h 56m 47,43s −44° 20′ 31,9″ 4,85 −0,29 347 K2III
163376 87936 17h 57m 47,81s −41° 42′ 58,5″ 4,88 −1,24 547 M0III
β2 Sco β² 8 144218 78821 16h 05m 26,58s −19° 48′ 06,6″ 4,90 −2,80 1132 B2V Acrab, Elacrab, Graffias, Grafias, Grassias
ψ Sco ψ 15 145570 79375 16h 12m 00,00s −10° 03′ 51,1″ 4,93 1,41 165 A3IV
143787 78650 16h 03m 20,67s −25° 51′ 54,5″ 4,96 0,90 212 K3III
153613 83336 17h 01m 52,65s −32° 08′ 36,2″ 5,03 −0,86 491 B8V
154948 84033 17h 10m 42,35s −44° 33′ 27,2″ 5,06 0,24 300 G8/K0III+..
145250 79302 16h 11m 02,13s −29° 24′ 57,6″ 5,09 0,62 255 K0III
157243 85162 17h 24m 13,09s −44° 09′ 45,0″ 5,10 −1,73 756 B7III
151804 82493 16h 51m 33,72s −41° 13′ 49,9″ 5,23 −6,36 6792 O9e
χ Sco χ 17 145897 79540 16h 13m 50,91s −11° 50′ 15,8″ 5,24 −0,41 439 K3III
148688 80945 16h 31m 41,77s −41° 49′ 01,7″ 5,31 −6,79 8579 B1Ia
144690 79050 16h 08m 07,52s −26° 19′ 36,0″ 5,35 −0,23 425 M2III
HD 147513 147513 80337 16h 24m 01,24s −39° 11′ 34,8″ 5,37 4,82 42 G3/G5V Exoplanète
142165 77858 15h 53m 53,92s −24° 31′ 59,1″ 5,38 −0,14 414 B5V
147722 80399 16h 24m 39,73s −29° 42′ 16,1″ 5,40 2,91 102 G0
142184 77859 15h 53m 55,87s −23° 58′ 40,9″ 5,41 0,01 393 B2V
147628 80390 16h 24m 31,77s −37° 33′ 57,5″ 5,42 −0,36 468 B8V
142990 78246 15h 58m 34,87s −24° 49′ 53,1″ 5,43 −0,45 488 B5V
16 Sco 16 145607 79387 16h 12m 07,29s −08° 32′ 51,3″ 5,43 1,01 250 A4V
149404 81305 16h 36m 22,57s −42° 51′ 31,9″ 5,46 −4,39 3047 O9Ia
152234 82676 16h 54m 01,84s −41° 48′ 23,0″ 5,46 −5,84 5927 B0.5Ia
151078 82135 16h 46m 47,97s −39° 22′ 36,8″ 5,48 0,21 369 K0III
27 Sco 27 152820 82960 16h 57m 11,17s −33° 15′ 34,1″ 5,48 −1,25 724 K5III
18 Sco 18 146233 79672 16h 15m 37,13s −08° 22′ 05,7″ 5,49 4,76 46 G1V
144987 79199 16h 09m 52,61s −33° 32′ 44,5″ 5,50 −0,12 433 B8V
146836 79980 16h 19m 32,68s −30° 54′ 24,4″ 5,53 2,44 135 F5IV
156098 84551 17h 17m 03,71s −32° 39′ 45,7″ 5,53 2,01 165 F6V
160668 86698 17h 42m 51,09s −36° 56′ 43,8″ 5,53 −0,57 542 K5III
162587 87569 17h 53m 23,47s −34° 53′ 42,4″ 5,58 −1,97 1055 K3III
155806 84401 17h 15m 19,25s −33° 32′ 54,3″ 5,60 −5,08 4466 O9
4 Sco 4 142445 77984 15h 55m 30,10s −26° 15′ 57,3″ 5,63 0,02 432 A3V
150742 81972 16h 44m 42,60s −40° 50′ 22,6″ 5,64 −0,26 492 B3V
155259 84150 17h 12m 16,22s −39° 30′ 24,4″ 5,66 1,61 211 A0/A1V
12 Sco c1 12 145483 79399 16h 12m 16,05s −28° 25′ 01,9″ 5,67 0,87 298 B9V
159176 86011 17h 34m 42,49s −32° 34′ 54,0″ 5,69 −4,40 3396 O5/6(e)
11 Sco 11 144708 79005 16h 07m 36,44s −12° 44′ 43,2″ 5,75 0,17 426 B9V
156293 84690 17h 18m 47,84s −44° 07′ 46,9″ 5,76 0,68 339 B9V
152408 82775 16h 54m 58,51s −41° 09′ 03,1″ 5,78 −6,56 9588 O8Iab+...
148247 80672 16h 28m 14,46s −37° 10′ 47,3″ 5,79 0,84 319 K1IIICN...
149711 81472 16h 38m 26,30s −43° 23′ 54,2″ 5,83 −0,79 686 B2.5IV
142883 78168 15h 57m 40,47s −20° 58′ 58,9″ 5,84 0,11 455 B3V
150331 81741 16h 41m 45,50s −33° 08′ 44,2″ 5,84 1,08 292 G1II
152293 82716 16h 54m 26,94s −42° 28′ 44,0″ 5,84 F5Ib-II
158799 85889 17h 33m 07,39s −41° 10′ 23,0″ 5,84 −1,55 982 B9Ib/II
162391 87472 17h 52m 19,76s −34° 25′ 00,6″ 5,84 −0,95 744 G8/K0III
144844 79098 16h 08m 43,73s −23° 41′ 07,3″ 5,86 0,28 426 B9V
145191 79320 16h 11m 17,77s −41° 07′ 10,2″ 5,86 1,66 226 F0IV
3 Sco 3 142301 77909 15h 54m 39,54s −25° 14′ 37,2″ 5,87 0,14 455 B8III/IV
160928 86847 17h 44m 42,01s −42° 43′ 45,5″ 5,87 1,29 269 A2/A3IV/V
162374 87460 17h 52m 13,66s −34° 47′ 57,1″ 5,88 −1,15 830 B6Ib
144334 78877 16h 06m 06,38s −23° 36′ 22,5″ 5,90 0,03 487 B8V
145838 79596 16h 14m 22,37s −33° 00′ 39,8″ 5,91 −0,56 643 K0III
153890 83491 17h 03m 50,87s −38° 09′ 09,0″ 5,91 1,88 209 F3V
156384 84709 17h 18m 56,36s −34° 59′ 22,5″ 5,91 6,69 23 K4V
157097 85048 17h 22m 54,73s −37° 13′ 14,5″ 5,91 0,36 421 K1III
149886 81523 16h 39m 05,24s −37° 13′ 02,1″ 5,93 0,31 434 B9.5V+...
154783 83896 17h 08m 47,55s −30° 24′ 12,8″ 5,93 1,36 267 Fm
162189 87390 17h 51m 32,57s −40° 46′ 20,4″ 5,94 −0,83 738 M2III
152161 82650 16h 53m 42,44s −43° 03′ 03,2″ 5,95 −1,81 1160 M3II/III
153368 83235 17h 00m 36,99s −35° 56′ 02,3″ 5,95 1,19 292 K2IIICN...
155450 84226 17h 12m 58,56s −32° 26′ 18,0″ 5,95 −4,35 3747 B1Ib
155826 84425 17h 15m 36,08s −38° 35′ 34,6″ 5,95 3,52 100 G0V
146850 79938 16h 19m 00,43s −14° 52′ 22,2″ 5,97 −1,15 865 K3IIICNpvar
154310 83693 17h 06m 20,20s −37° 13′ 39,1″ 5,98 0,42 422 A2IV
158105 85543 17h 28m 56,09s −36° 46′ 41,8″ 5,98 −0,47 637 K0III
150894 81992 16h 45m 00,21s −28° 30′ 34,8″ 5,99 −0,83 755 A3IV
162724 87616 17h 53m 54,77s −34° 45′ 09,8″ 6,00 −1,45 1009 B9IV/V
160371 86527 17h 40m 58,55s −32° 12′ 52,0″ 6,01 −2,35 1531 K3III + (G)
162517 87532 17h 52m 57,60s −35° 37′ 27,1″ 6,03 1,99 209 F2V
150608 81904 16h 43m 47,60s −38° 09′ 22,5″ 6,05 −0,62 703 B9II/III
153072 83100 16h 58m 52,25s −37° 37′ 13,5″ 6,05 1,47 269 A3III
162496 87516 17h 52m 49,22s −34° 06′ 53,4″ 6,05 −0,60 697 K1III
162926 87722 17h 55m 08,03s −36° 28′ 32,3″ 6,05 −0,75 748 B9.5III
146001 79622 16h 14m 53,44s −25° 28′ 36,9″ 6,06 0,30 462 B8V
143619 78575 16h 02m 39,40s −29° 08′ 08,8″ 6,07 0,37 451 K2/K3III
148760 80910 16h 31m 22,87s −26° 32′ 15,2″ 6,07 1,87 225 K1III
152248 82691 16h 54m 10,06s −41° 49′ 30,1″ 6,07 O7e
146254 79692 16h 15m 51,49s −14° 50′ 56,8″ 6,09 −0,28 614 A0III
155974 84489 17h 16m 21,68s −35° 44′ 58,1″ 6,09 3,55 105 F6V
159707 86311 17h 38m 08,45s −42° 52′ 48,7″ 6,09 −0,54 692 B8V
151771 82453 16h 51m 00,04s −37° 30′ 52,1″ 6,10 −0,99 853 B8II/III
162817 87671 17h 54m 27,12s −34° 28′ 00,2″ 6,10 −0,96 842 B9,5/A0III
146954 80066 16h 20m 32,63s −39° 25′ 48,8″ 6,11 0,20 496 B9V
150591 81914 16h 43m 54,09s −41° 06′ 47,9″ 6,14 0,28 485 B6/B7V
157486 85237 17h 25m 02,67s −34° 41′ 45,6″ 6,14 0,19 505 Ap...
162586 87567 17h 53m 19,58s −34° 43′ 50,9″ 6,14 −0,88 825 B4III
142250 77900 15h 54m 30,12s −27° 20′ 18,9″ 6,15 0,09 531 B7V
154368 83706 17h 06m 28,37s −35° 27′ 03,7″ 6,15 −1,67 1194 O9.5Iab
158741 85839 17h 32m 24,64s −34° 16′ 45,6″ 6,16 1,06 341 F2IV
144927 79173 16h 09m 31,76s −32° 38′ 56,2″ 6,18 1,07 344 K1III
152667 82911 16h 56m 35,98s −40° 49′ 24,4″ 6,18 B0.5Ia
154153 83650 17h 05m 48,47s −44° 06′ 18,4″ 6,18 2,08 215 A4III
162396 87523 17h 52m 52,47s −41° 59′ 45,8″ 6,19 3,62 107 F8V
155940 84445 17h 15m 51,36s −30° 12′ 38,2″ 6,20 0,92 370 B9/B9.5V
150573 81903 16h 43m 45,70s −41° 07′ 08,9″ 6,21 0,61 430 A4V
143900 78699 16h 03m 54,71s −24° 43′ 34,8″ 6,22 −0,09 597 K2/K3III
159633 86246 17h 37m 26,92s −38° 03′ 58,9″ 6,26 −3,44 2835 G2Ib
152235 82669 16h 53m 58,85s −41° 59′ 39,6″ 6,28 B1Ia
154025 83594 17h 05m 05,39s −45° 30′ 07,4″ 6,28 1,33 319 A2V
163433 87948 17h 57m 57,80s −39° 08′ 11,3″ 6,28 0,29 513 A0IV/V
146834 79945 16h 19m 07,71s −20° 13′ 04,9″ 6,29 0,40 490 K0III
152636 82855 16h 55m 57,74s −33° 30′ 24,8″ 6,29 0,03 581 K5III
ν Sco ν 14 145501 16h 11m 58,60s −19° 26′ 59,0″ 6,30 Jabbah, Jabah; Composante du système ν Sco
152424 82783 16h 55m 03,33s −42° 05′ 27,0″ 6,30 O9Ia
155276 84151 17h 12m 16,55s −38° 49′ 20,7″ 6,30 1,03 370 K1IIICN...
158042 85549 17h 29m 00,86s −43° 58′ 26,0″ 6,30 −2,04 1516 B5III
144585 78955 16h 07m 03,53s −14° 04′ 16,8″ 6,32 4,02 94 G5V
144661 79031 16h 07m 51,90s −24° 27′ 44,2″ 6,32 0,97 384 B8IV/V
145997 79605 16h 14m 39,30s −18° 32′ 07,2″ 6,32 1,63 282 K1III
157038 85020 17h 22m 39,22s −37° 48′ 16,7″ 6,33 B4Ia+...
152431 82731 16h 54m 35,94s −30° 35′ 14,4″ 6,34 −0,09 631 A5IIIm...
151965 82554 16h 52m 27,42s −40° 43′ 23,2″ 6,35 0,07 588 B9p Si
151932 82543 16h 52m 19,25s −41° 51′ 16,2″ 6,36 WN...
156325 84650 17h 18m 20,51s −32° 33′ 11,1″ 6,36 −1,57 1259 B5III
158156 85589 17h 29m 25,60s −38° 31′ 01,0″ 6,38 1,34 332 A1V
145792 79530 16h 13m 45,50s −24° 25′ 19,4″ 6,40 0,69 453 B6IV
146436 79788 16h 16m 59,20s −20° 06′ 14,7″ 6,40 −0,03 631 G8III
145964 79599 16h 14m 28,89s −21° 06′ 27,2″ 6,41 1,29 345 B9V
161390 87042 17h 47m 07,30s −38° 06′ 43,5″ 6,41 1,07 381 A0V
162725 87624 17h 53m 58,13s −34° 49′ 51,8″ 6,41 −0,96 973 Ap...
155603 84332 17h 14m 27,66s −39° 45′ 59,9″ 6,42 K0Ia
157060 85019 17h 22m 37,90s −35° 54′ 39,4″ 6,42 3,58 121 F8V
145100 79203 16h 09m 55,31s −18° 20′ 25,6″ 6,43 2,96 161 F3V
149174 81198 16h 35m 07,77s −45° 14′ 39,2″ 6,43 0,06 614 K2/K3III
158619 85786 17h 31m 47,36s −33° 42′ 11,1″ 6,43 0,98 401 K2III
160748 86716 17h 43m 06,86s −33° 03′ 04,6″ 6,44 −3,13 2672 M1III
147553 80324 16h 23m 56,72s −33° 11′ 57,6″ 6,45 1,11 381 A0V+...
150638 81891 16h 43m 38,73s −32° 06′ 21,2″ 6,46 −0,44 784 B8V
155985 84556 17h 17m 05,54s −44° 46′ 42,9″ 6,46 B0.5Iab:
163234 87865 17h 56m 55,89s −40° 18′ 20,3″ 6,46 0,22 576 K3III
150420 81803 16h 42m 29,11s −37° 04′ 44,9″ 6,47 1,09 388 G3III
153919 83499 17h 03m 56,77s −37° 50′ 39,0″ 6,48 O5f
159312 86098 17h 35m 43,08s −37° 26′ 23,3″ 6,48 1,40 338 A0V
153234 83202 17h 00m 14,26s −44° 59′ 18,5″ 6,50 2,98 165 F3V
V636 Sco 156979 85035 17h 22m 46,48s −45° 36′ 51,4″ 6,68 F7/F8Ib/II
25 Sco 25 151179 82140 16h 46m 51,35s −25° 31′ 42,7″ 6,72 −0,10 755 K0II
RR Sco 152783 82912 16h 56m 37,85s −30° 34′ 48,1″ 6,97 −0,76 1148 M6IIIe
HD 159868 159868 86375 17h 38m 59,53s −43° 08′ 43,8″ 7,27 3,66 172 G5V Exoplanète
Scorpius X-1 12,2 9000 Binaire X
PSR B1620-26 12,2 5600 Binaire étoile à neutrons / naine blanche orbitée par une exoplanète ; membre de l'amas globulaire M4

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