Le Rien, la Nudité, Y'becca, La Laïcité
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yanis la chouette



Le don colossal d'une princesse de Dubai à un village français
Par 6Medias,LePoint.fr il y a 14 heures

La fille du vice-président des Emirats arabes unis a offert 900 000 euros à un village peuplé de 1 100 âmes pour construire un parc de jeux pour enfants.
Comme un petit air de conte de fées à deux pas du Lac Léman. Lateefa bint Maktoum, artiste et richissime princesse dubaïote, vient depuis plusieurs années passer l'hiver avec sa fille à Excenevex, petit village de Haute-Savoie peuplé d'environ 1 100 habitants. Elle a décidé cette année de faire un cadeau un peu particulier à la mairie de la ville, révèle le Dauphiné Libéré dans son édition du 28 mars. "Elle vient d'offrir à la municipalité la coquette somme d'un million de dollars pour créer un parc de jeux pour enfants à connotation culturelle", avance le quotidien.

La motivation de la princesse vient d'un désir de sociabilisation de ses enfants, selon le maire de la ville, qui s'est confié au Dauphiné : " Lateefa bint Maktoum a une petite fille et elle souhaite, lors de ces séjours chablaisiens, qu'elle rencontre d'autres enfants ", avance Pierre Fillon, maire Les Républicains d'Excenevex (ndlr : aucun lien familial avec François Fillon). Encore mieux selon
La Dépêche, qui cite encore le maire de la ville, ce don intervient "sans quelque contrepartie que ce soit, pour réaliser un parc de jeux de luxe où ses enfants et ceux du village pourront jouer tous ensemble".

Excenevex, habituée des cadeaux

La municipalité a donc choisi un terrain en herbe, qui donne directement sur le lac. Comme une bonne nouvelle n'arrive jamais seule, il s'avère que ce terrain était justement en attente de financement pour en faire un parc paysager. La manne de la " généreuse donatrice " sera donc consacrée à son aménagement, en respectant sa volonté " d'ouverture au public ". Une histoire un peu trop belle pour être vraie ? Pas si sûr, la commune avait en effet déjà bénéficié (...)

Lire la suite sur LePoint.fr
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Pourquoi ressemblons-nous à notre prénom ?

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yanis la chouette



Histoire de l'OPEP, une histoire intéressante et méconnu des Citoyennes et Citoyens. Une Géopolitique sismique. TAY

L'OPEP est une organisation intergouvernementale réunissant 14 pays producteurs de pétrole. Son objectif historique est l’orientation à la hausse des cours du pétrole et la maîtrise de son cycle de production.
En 2014, l’OPEP a compté pour 41% de la production mondiale. Les réserves prouvées de pétrole de ses pays membres atteignent 1 216 milliards de barils à fin 2014, soit 71,6% des réserves mondiales.
Depuis les années 1990, l'influence de l’OPEP sur les prix des cours a décliné pour 3 raisons principales : des divergences internes et la violation des quotas de production par certains de ses membres, l’échec d’extension de sa zone d’influence aux nouveaux producteurs et l’influence des marchés de Londres et de New York qui orientent notablement les cours.
Depuis la chute des cours mi-2014, l'Arabie saoudite a refusé à plusieurs reprises de réduire sa production pour maintenir les cours du brut. Riyad privilégie actuellement la défense de ses parts de marché face à l'augmentation de la production américaine. Cette stratégie a un impact économique très négatif pour d'autres pays membres de l'OPEP comme l'Algérie et le Venezuela.
Sommaire

Définition et catégories
Fonctionnement
Passé et présent
Enjeux
Acteurs
Chiffres clés
Définition et catégories

L’OPEP (Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole), dénommée OPEC en anglais (Organization of Petroleum Exporting Countries), est une organisation intergouvernementale fondée à l’issue de la conférence de Bagdad le 14 septembre 1960 par le Venezuela, l’Irak, l’Arabie saoudite, le Koweït et l’Iran.

Cette organisation est créée à l’initiative de Juan Pablo Pérez Alfonzo, alors ministre du développement du Venezuela, qui souhaite en faire une force de régulation du marché pétrolier. Elle vise à rééquilibrer les relations entre les pays producteurs et les compagnies pétrolières occidentales qui régissent le marché depuis sa création à la fin du XIXe siècle. L'OPEP réunit aujourd'hui 14 pays membres : l'Algérie, l'Angola, l'Arabie saoudite, l'Équateur, le Gabon, l'Indonésie, l'Iran, l'Irak, le Koweït, la Libye, le Nigéria, le Qatar, les Émirats arabes unis et le Venezuela.

Au-delà du contexte économique, l’action de l’OPEP sur l’évolution des prix du pétrole est étroitement liée à l’environnement géopolitique. L’influence de l’organisation décroit depuis les années 1990, à l’image de sa part dans la production mondiale de pétrole (55% en 1970, 41% en 2014).
Fonctionnement

Le premier objectif de l’OPEP est l’orientation à la hausse du cours du pétrole et la maîtrise de son cycle de production. Depuis mi-2014, l'Arabie saoudite, qui a historiquement joué le rôle de « swing producer », privilégie toutefois la défense de ses parts de marché face à l'augmentation de la production américaine, dans un contexte de forte chute des cours.

L’OPEP dispose depuis 1982 d'un système de régulation de la production et du prix de vente au moyen d'un montant total de production d'environ 30 millions de barils par jour (le système des quotas de production a été arrêté en 2011). Le volume de production de chacun des membres est défini en fonction de ses réserves et ajusté en fonction des besoins des pays consommateurs. Les treize membres actuels de l’OPEP constituent donc un cartel de producteurs.

L’OPEP gère un « panier » qui fixe un prix de référence à partir des prix de treize pétroles bruts aux qualités différentes.

Le fonctionnement de ce système de régulation est toutefois affecté par les fluctuations du cours du dollar, monnaie de transaction du pétrole : le pouvoir d’achat des pays producteurs diminue lorsque le cours du dollar baisse et inversement.

De plus, l’OPEP gère un instrument de quantification : le panier de l'OPEP (ORB)(1) qui fixe un prix de référence à partir des prix de treize pétroles bruts aux qualités différentes reflétant les principales exportations de bruts des pays membres (par exemple, l'« Arab Light » d'Arabie saoudite). Entre juin 2015 et décembre 2015, le prix moyen du pétrole au sein de ce panier a baissé de 44% (pour atteindre 33,6$ en moyenne en décembre 2015).

Ce panier est concurrencé par le WTI et le Brent dont les prix ne diffèrent le plus souvent que de quelques centimes. La gestion de la production et des prix est prolongée par l’évaluation périodique des réserves disponibles.

Le cartel de l'OPEP est également un organe de collecte, de traitement et de diffusion d’informations sur le pétrole et sur l’environnement économique de cette ressource (ex : diffusion mensuelle de rapports sur le marché du pétrole).
Passé et présent

Entre février 1959 et 1960, les grandes compagnies pétrolières occidentales imposent des baisses de prix du pétrole pour affaiblir leurs concurrents. Cela affecte les revenus pétroliers des pays producteurs qui ont un statut de concédants et qui perçoivent des royalties basées sur des taux dérisoires et des taxes tout aussi modérées. Les 5 pays fondateurs (à l’origine de 82% des exportations mondiales) se réunissent au sein de l’OPEP alors que les 8 compagnies majors(2) contrôlent 90% de la production et 75% de la capacité mondiale de raffinage.

Jusqu'au début des années 1970, l'OPEP ne parvient pas à provoquer une hausse des prix du pétrole en raison de ses rivalités internes et de l’inexpérience de ses membres. Son influence est aussi largement entravée par des causes externes telles que la surabondance de l’offre, notamment due à l’exploitation de nouveaux gisements au Moyen-Orient.

Entre 1971 et 1972, une vague de nationalisations de la production influe sur les relations entre pays producteurs et compagnies pétrolières exploitantes.

Durant les années 1970, les pays de l'OPEP contrôlent plus de 55% de l'offre mondiale de pétrole et fixent des quotas de production. Les pays producteurs renforcent leur coopération dans un contexte de demande croissante. Entre 1970 et 1973, le prix du baril de pétrole passe ainsi de 1,80$ à 3,01$.

Entre 1971 et 1972, une vague de nationalisations de la production (Algérie, Egypte, Syrie, Irak) influe sur les relations entre pays producteurs et compagnies pétrolières exploitantes. Le système des concessions tombe peu à peu en déshérence, remplacé par des « joint ventures » : compagnies étrangères et États créent une société d’exploitation dont le capital est réparti entre eux à parts égales, soit 50% du permis pétrolier pour chacun(3).

En octobre 1973, la guerre du Kippour entre Israël et l'Égypte(4) déclenche le premier choc pétrolier : les principaux producteurs du golfe Persique décident d'augmenter de 70% le prix du baril de pétrole brut. L’OPEP organise un embargo pétrolier contre les pays qui soutiennent Israël et réduit sa production de 25%. En décembre 1973, deux mois après le début de la guerre, la hausse moyenne du prix du baril a atteint 130%. Après 1973, sous le contrôle de l'OPEP, le prix du pétrole se stabilise à la hausse aux alentours de 10$ par baril.

La révolution iranienne en 1979 puis la guerre Irak-Iran en 1980 provoquent une nouvelle crise pétrolière. Le prix du baril dépasse alors 35$. La réaction des pays consommateurs de l’OCDE, représentés notamment par l’AIE, modère le pouvoir pris par l’OPEP.

En 1982, un contre-choc pétrolier (baisse des prix) est initié par l’Iran qui souhaite augmenter sa part de marché et ainsi financer la guerre contre l’Irak. La baisse de prix du baril à 15 $ décide l’OPEP à adopter le système des quotas par pays membres (en vigueur jusqu'en 2011). L’OPEP connaît alors l’apogée de son influence et constitue une vraie force de régulation des cours.

Au cours des années 1990, l'influence de l’OPEP sur les prix des cours décline pour trois raisons : des divergences internes et la violation des quotas de production par certains de ses membres, l’échec d’extension de sa zone d’influence aux nouveaux producteurs (Russie, Mexique, Norvège, Royaume-Uni, Colombie, etc.) et l’influence des marchés de Londres et de New York qui orientent notablement les cours.
Enjeux

Après avoir limité son action à l’amélioration des recettes tirées de l’exploitation pétrolière par les pays membres, l’OPEP est devenue un interlocuteur économique majeur capable d’influer sur le prix d’une ressource stratégique. Elle est aussi implicitement devenue un acteur politique de premier plan, en particulier dans le cadre du conflit israélo-palestinien.

Emmenée par l’Arabie saoudite, l'OPEP a pour objectif de concilier l’optimisation des revenus de ses membres et la gestion sur le terme de leurs ressources pétrolières tout en préservant la stabilité des relations et des échanges avec les pays clients.

La réalisation de cet objectif paradoxal implique un contrôle permanent sans faille des prix mondiaux du pétrole. Ce contrôle n'est toutefois pas assuré depuis la chute des cours mi-2014 : l'Arabie saoudite a refusé à plusieurs reprises de réduire sa production, ce qui impliquerait une perte de parts de marché au profit des États-Unis, devenu premier producteur mondial grâce à l'exploitation de ses hydrocarbures non conventionnels.

La Russie, non membre de l'OPEP, produit autant que l’Iran, le Nigéria, le Venezuela, l'Algérie et l’Équateur réunis.

Cinquante ans après sa fondation, l’OPEP doit relever trois défis majeurs qui perdurent depuis les années 1990 :

la résolution des nouveaux conflits internes : la fracture entre membres pro et anti-Américains exacerbe ces conflits. L’Arabie saoudite, alliée traditionnelle des États-Unis, est confrontée à l’Iran et au Venezuela, deux des pays les plus ouvertement anti-Américains dans le monde, qui contestent son influence sur l’organisation. Au-delà des divergences idéologiques, une frontière se dessine entre les pays pour qui l’OPEP doit avant tout être l’animateur d’un marché de matières premières et ceux désireux d’en faire une arme plus politique ;
la montée en puissance de la Russie…et des autres : l’OPEP est le seul cartel dans son domaine et ne possède pas de moyen de pression sur les États qui n’en sont pas membres, notamment sur la Russie. Dopée par des investissements importants et des réserves a priori substantielles, la Russie s’est engagée dans une course à la production. Entre maintien des prix pour l’un et gain de parts de marché pour l’autre, les intérêts de l’OPEP et ceux de la Russie sont clairement divergents. Avec 10,8 millions de barils par jour en 2014(5), la Russie produit autant que l’Iran, le Nigéria, le Venezuela, l'Algérie et l’Équateur réunis.
La production croissante d'hydrocarbures non conventionnels aux États-Unis (qui ont fait du pays le premier producteur mondial avec 11,6 millions de barils par jour en 2014) est également susceptible de réduire l'influence de l'OPEP. Si cette influence tient encore à ses réserves d’hydrocarbures annoncées comme les premières au monde, personne ne sait les évaluer avec précision. Les nouveaux gisements découverts notamment au Canada ou au large du Brésil pourraient bouleverser la répartition mondiale de ces réserves et donc diminuer significativement la part de l’OPEP. Dans un contexte économique mondial difficile, la consommation de pétrole est soutenue par la croissance des BRIC (Brésil, Russie, Inde et Chine). Sauf à convaincre de nouveaux États d’adhérer à son organisation, l’influence de l’OPEP sur les cours du pétrole pourrait décliner ;
les déclins simultanés de son influence et de l’économie pétrolière : la dépendance des pays industrialisés envers le pétrole décline (ex. la facture pétrolière de la France représentait 4 % de son PIB en 1980 et 2,1% en 2014). A contrario, les pays de l’OPEP restent très dépendants du pétrole. A l’exception du Koweït et du Qatar, les membres ont encore peu développé un modèle économique pérenne pouvant relayer l’industrie pétrolière, or les revenus pétroliers représentent en moyenne plus de la moitié de leur PIB. Les contextes politiques favorisent cette atonie dans la mesure où une partie importante des revenus du pétrole finance en priorité des activités militaires ou de maintien de l’ordre. Notons que la consommation de gaz naturel croît plus vite que celle de pétrole, ressource à laquelle se limite l’OPEP.
La conjugaison de ces facteurs affaiblit l’influence géopolitique de l’institution OPEP. Ce déclin est mis en exergue par la concurrence des marchés organisés apparus au début des années 1980. Ces marchés tels que le New York Mercantile Exchange (NYMEX) gèrent des contrats à terme ou des options dont les prix servent de plus en plus de référence de marché (le volume de pétrole brut traité par des contrats à terme a dépassé le volume de la production mondiale).
Acteurs

Le siège de l’OPEP est basé à Vienne (Autriche) et abrite les services du seul organe permanent, le secrétariat général, l’organe exécutif chargé de faire appliquer les résolutions de la conférence ou les décisions du conseil d’administration. Le secrétaire général en poste depuis le 1er janvier 2007 est le Libyen Abdalla Salem El-Badri, ancien dirigeant de la compagnie nationale NOC.

L’OPEP regroupe actuellement 14 pays membres :

Afrique

l’Algérie : membre depuis 1969. Premier pays à avoir nationalisé la production d’hydrocarbures ;
l’Angola : membre depuis 2007. Une des plus grandes zones d’exploration, principalement menée comme la production par les grandes compagnies pétrolières de l’OCDE ;
le Gabon : membre qui avait quitté l'organisation en 1995 et qui l'a à nouveau rejointe en juillet 2016 ;
la Libye : membre depuis 1962. Un très grand potentiel d’exploration non exploité en raison du conflit qui touche actuellement ce pays ;
le Nigéria : l’industrie pétrolière la moins nationalisée de l’OPEP ;
Amérique du Sud

le Venezuela : pays disposant des premières réserves de pétrole au monde grâce à ses ressources en sables bitumineux ;
l’Équateur : membre entre 1973 et 1992 puis à nouveau depuis 2007. Plus petit producteur de l'OPEP(6) ;
Asie

l'Indonésie : membre de 1962 à 2008 qui a réintégré l'OPEP au 1er janvier 2016, six ans après l'avoir quittée. Importateur net de pétrole (et seulement 24e producteur mondial) ;
Moyen-Orient

les Emirats arabes unis : membre depuis 1967. Un grand producteur aux réserves a priori déclinantes ;
l’Arabie saoudite : membre fondateur. Leader traditionnel de l’OPEP. Deuxième pays producteur au monde. Possèderait les plus vastes réserves conventionnelles ;
l’Iran : membre fondateur. Deuxième plus grand producteur de l'OPEP et quatrième plus grand exportateur de pétrole brut dans le monde ;
l’Irak : membre fondateur. Une production montant en puissance depuis la fin du conflit conduisant à la chute de Saddam Hussein ;
le Koweït : membre fondateur. Un gisement unique dont le pic de production serait atteint ;
le Qatar : membre depuis 1961. Des réserves de brut limitées, le pays se distinguant davantage par ses ressources gazières (3es réserves prouvées au monde).
Chiffres clés

Les réserves prouvées en pétrole des pays de l’OPEP atteignent, fin 2014, 1 216 milliards de barils, soit 71,6% des réserves prouvées dans le monde, selon les données de BP.

Il est à noter que dans la mesure où la valorisation des compagnies pétrolières et la notation des pays producteurs dépend pour une part importante de l’appréciation des réserves, les montants communiqués, en particulier par l’OPEP, sont souvent surestimés
dernière modification le 08 août 2016
Sources / Notes
Panier « ORB » de l'OPEP
Cinq américaines, une anglaise, une anglo-hollandaise et une française.
On parle de joint venture de production quand les associés partagent la production et de joint venture de services quand la société est rémunérée en pétrole sans droit de propriété sur celui-ci.
A la tête d'une coalition avec la Syrie.
BP Statistical Review of World Energy, juin 2015
Sauf en 2011, année durant laquelle l'Équateur a produit légèrement plus de pétrole que la Libye (en conflit).
Site de l'OPEP

Site d'IFPEN

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yanis la chouette



Mondiaux de patinage: Medvedeva nouvelle reine de la glace

La jeune Russe Evgenia Medvedeva est devenue la nouvelle reine de la glace en remportant avec brio l'épreuve dames des championnats du monde de patinage artistique à Boston. Troisième à l'issue du programme court, elle a réalisé un programme libre époustouflant pour finalement s'imposer avec 223,86 point devant l'Américaine Ashley Wagner et une autre Russe Anna Pogorilaya.

Medvedeva a brisé le rêve d'un succès américain à domicile. Mais les espoirs qui reposaient sur Gracie Gold, étaient trop lourds pour ses épaules. Alors qu'elle avait pris le meilleur après le programme court, l'Américaine a semblé perturbée après le récital de Medvedeva, ce qui lui a fait perdre tous ses moyens sur la glace. Elle a complètement raté sa sortie dans le libre, échouant encore à la 4e place, comme en 2015, au plus grand désarroi du public du TD Garden qui la voyait succéder à Kimmie Meissner, la dernière championne du monde américaine, sacrée en 2006. Heureusement pour la fierté nationale, Ashley Wagner a malgré tout apporté aux États-Unis une belle médaille d'argent (215,39 pts), devant une autre Russe Anna Pogorilaya (213,69 pts).
Pour l'or, Medevedeva était intouchable. Présentée comme la grande favorite pour ce le titre mondial, après ses démonstrations de la finale du Grand Prix en décembre et des Championnats d'Europe en janvier, la prodige de Moscou a retrouvé toute sa virtuosité qui l'avait désertée lors du programme court jeudi. Seulement troisième à mi-parcours, elle a éclaboussé de son talent le programme libre où elle a intégré pas moins de sept triple sauts et deux double axels. Pour expliquer ce brillant programme, crédité d'un score de 150,10 points, du jamais-vu, elle a avoué avec une simplicité désarmante et très poétique qu'elle n'avait plus aucune émotion en elle: "Je les ai toutes laissées sur la glace", a-t-elle expliqué. "J'étais en fait moins nerveuse que d'habitude, je me sentais bien sur la glace", a-t-elle commenté après son triomphe qui lui permet de devenir la première à enchaîner un titre mondial en junior et un sacre planétaire dès sa première année en senior. "C'est un moment que je ne suis pas prête d'oublier", a souligné celle qui succède à sa compatriote Elizaveta Tuktamysheva, qui, ce qui témoigne de la suprématie actuelle de la Russie, n'a pas réussi à décrocher son billet pour Boston.
Avec Medvedeva, 16 ans seulement, c'est une nouvelle génération qui prend le pouvoir. Signe des temps, la Japonaise Mao Asada, triple championne du monde, a dû se contenter de la 7e place
DUHAMEL-RADFORD CONSERVENT LEUR TITRE

En couples, les Canadiens Meagan Duhamel et Eric Radford ont conservé leur titre mondial. Au terme d'un libre parfaitement exécuté et crédité de 153,81 points, nouveau record personnel, les champions du monde 2015, 2e après le programme court, ont devancé avec un total de 231,99 points les Chinois Sui Wenjing et Han Cong qui étaient déjà leurs dauphins en 2015 et qui avaient remporté le programme court. La médaille de bronze est revenue à Aliona Savchenko et Bruno Massot qui a fait ses débuts cette saison après deux années d'attente, le temps que Massot, de nationalité française, soit autorisé à représenter l'Allemagne. Les Russes Tatiana Volosozhar et Maxim Trankov, champions olympiques en titre, de retour cette saison après une année 2015 blanche, ont sombré à la 6e place finale. Le couple français Vanessa James et de Morgan Ciprès s'est classé 10e
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Evgenia Medvedeva fonce vers le doublé aux Mondiaux
Les champions olympiques de danse sur glace Davis-White ne seront pas aux JO-2018

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Rapport de
Y'becca

yanis la chouette



Tiébilé Dramé : « Le gouvernement malien manque de vision et fait preuve d’amateurisme »

Quand Alger servait de refuge aux militants africains-américains
Publié le 28 mars 2017 à 11h48
Par Jules Crétois

Pendant près d’une décennie, l’Algérie nouvellement indépendante a apporté un soutien actif aux militants africains-américains, notamment les plus radicaux, qu’elle a même accueillis à bras ouverts sur son sol. Flash-back.

Le pirate de l’air dégaine son arme et menace le personnel de bord. Le vol 841 Detroit-Miami de la Delta Air Lines ne suivra pas son trajet initial. Le chef du commando, Melvin McNair, un militant noir américain, exige d’être emmené avec ses complices à Alger. Nous sommes en juillet 1972. En juin, un vol Los Angeles-Seattle avait également été détourné vers la capitale algérienne, cette fois par un vétéran noir de la guerre du Vietnam, Roger Holder.

Ces détournements d’avion renvoient à la relation complice – tombée aujourd’hui progressivement dans l’oubli – que le régime algérien, à l’indépendance, avait nouée avec les mouvements révolutionnaires internationaux, dont l’aile radicale des militants africains-américains.

Les Black Panthers à Alger

« Roger Holder savait qu’un groupe de Black Panthers vivait à Alger. C’est ce qui l’a poussé à choisir cette destination », nous explique Brendan Ian Koerner, auteur de The Skies Belong to Us, un ouvrage consacré aux détournements d’avion aux États-Unis.

À l’époque, les Black Panthers, révolutionnaires marxistes africains-américains, disposent d’un siège dans la capitale algérienne. « Si vous vous promenez dans la Casbah, il suffit d’arrêter une personne âgée à hauteur de l’ancien local pour qu’elle vous parle de ces révolutionnaires “à la coupe de cheveux amusante”, c’est‑à-dire des afros imposantes », nous explique le sociologue Saïd Bouamama.

« Le siège était dans le centre. Ses énormes baies vitrées étaient recouvertes d’affiches. Je me souviens avoir croisé Eldridge Cleaver », se remémore l’écrivain algérien Tahar Lamri, qui approche la soixantaine. Eldridge Cleaver. Ce nom ne dit plus rien aujourd’hui à la majorité des Algériens. Mais à l’époque les journalistes américains se pressaient pour le rencontrer. « Notre autre homme à Alger », titrait même à son sujet le New York Times. « Un exilé privilégié », écrivait de son côté Newsweek.

Recherché par la police, Cleaver se réfugie en 1969 en Algérie, où il sera choyé. Alors « ministre de l’Information » des Black Panthers, il fait montre d’une intransigeance qui le conduit à « placer aux arrêts révolutionnaires » – c’est-à-dire séquestrer – le célèbre Timothy Leary, un militant blanc hippie favorable à l’usage de psychotropes, ce qu’Eldridge condamne fermement.

« Les nègres de la France »

L’Algérie avait tout pour plaire aux militants africains-américains, y compris le plus pacifiste d’entre eux, Martin Luther King, qui, en octobre 1962, passa deux heures en tête à tête avec Ahmed Ben Bella, le président algérien, de passage à New York pour s’exprimer à la tribune des Nations unies, qui lui affirme que « la ségrégation et le colonialisme sont liés ».

Séduit, Martin Luther King écrira après leur rencontre : « Nous sommes frères. » Le pasteur n’est pas le premier à relever des similitudes entre la lutte pour l’indépendance et le combat contre l’apartheid.

L’auteur noir américain James Baldwin avait en effet écrit, lors d’un séjour en France dans les années 1950, que les Algériens sont « les nègres de la France ». Lors de son séjour new-yorkais, Ben Bella, auréolé de son statut de héros indépendantiste, rencontra Malcolm X et donna une interview à Muhammad Speaks, organe de la Nation of Islam, le célèbre mouvement politico-religieux radical, dans laquelle il salue la cause des Africains-Américains, dont les droits sont quotidiennement bafoués, et assure que leur combat inspire le continent africain.

Un long-métrage, La Bataille d’Alger, une reconstitution de Gillo Pontecorvo, sorti aux États-Unis en 1966, viendra ancrer l’horizon algérien dans les consciences noires américaines.

Malcolm X dresse un parallèle entre la casbah d’Alger et le ghetto de Harlem.
Pour illustrer l’impact du film, l’historien Samir Meghelli cite, dans l’ouvrage Black Routes to Islam, paru en 2009, un article d’époque signé Francee Covington, une étudiante en sciences politiques à l’université de Harlem : « Les techniques révolutionnaires employées dans la bataille d’Alger sont-elles applicables à Harlem ? »

Malcolm X, lui, dresse un parallèle entre la casbah d’Alger, qu’il a visitée, et le ghetto de Harlem. Pour lui, les opprimés noirs américains doivent combattre « l’occupation policière » du ghetto comme les Algériens ont combattu celle de la Casbah.

Des slogans faisant référence à la bataille d’Alger fleurissent durant les émeutes et manifestations qui secouent alors le quartier noir de la Grosse Pomme. « À l’époque, de nombreux Africains-Américains fantasment sur l’Algérie pour son soutien aux mouvements révolutionnaires à travers le monde. Boumédiène est perçu comme un héros et un opposant à l’Occident raciste », tranche Brendan Ian Koerner.

Alger, chef d’orchestre

C’est dans ce contexte que se déroule, en 1969, le Festival panafricain d’Alger (Panaf). Tous les révolutionnaires du continent sont là, mais aussi des artistes, des intellectuels, des journalistes… Les Noirs américains ne sont pas en reste : la chanteuse Nina Simone, la poétesse Maya Angelou, le jazzman Archie Shepp et des cadres des Black Panthers, comme Raymond Hewitt, Stokely Carmichael, David Hilliard, Emory Douglas, Kathleen Cleaver…

Pour l’Algérie, la force des mouvements africains-américains en fait un allié « de l’intérieur » niché dans le ventre de l’impérialisme.
Ce séjour algérien leur offre l’occasion de rencontrer les révolutionnaires du continent. « Des réunions étaient organisées avec le Frelimo du Mozambique, l’ANC sud-africain, le Zapu zimbabwéen », raconte Nacer Mehal, ancien ministre algérien de la Communication. Le cinéaste William Klein immortalisera certaines scènes dans son film consacré à Eldridge Cleaver. On y voit ce dernier se promener dans la Casbah, entouré d’enfants et de vieux coiffés d’une chéchia, dissertant sur la révolution mondiale.

Les luttes et les expériences s’accordent. Alger joue le chef d’orchestre. « Il y avait une sincérité dans cet engagement auprès des peuples en lutte. À l’époque, les cadres du FLN gardent en mémoire la solidarité dont ils avaient bénéficié et veulent en faire de même », nous dit Mehal.

Bouamama acquiesce, non sans préciser qu’« il y avait aussi, bien sûr, une stratégie ». La force des mouvements africains-américains en fait un allié « de l’intérieur » niché dans le ventre de l’impérialisme au moment où l’Algérie est encore en butte au bloc occidental et atlantiste.

Rencontres entre révolutionnaires

D’autre part, rappelle Bouamama, « les Algériens sont aussi en quête de légitimité sur le continent et auprès des nations du Tiers Monde ». Des figures du FLN sont directement impliquées dans ces rencontres entre révolutionnaires. Abdelaziz Bouteflika, alors ministre des Affaires étrangères, est tenu au courant, sans en être un artisan direct.

Mais, au fil du temps, l’Algérie normalise ses rapports avec les nations occidentales. « En outre, les divisions qui minaient le mouvement africain-américain avaient fini par lasser les Algériens, qui ne trouvaient pas cela sérieux », souligne Bouamama.

En 1973, Boumédiène rencontre le secrétaire d’État américain Henry Kissinger. Les rapports entre les autorités et les révolutionnaires africains-américains se détériorent. Ces derniers quittent petit à petit le pays.

Reste la mémoire de cette période. Une mémoire que Saïd Bouamama, Nacer Mehal et Tahar Lamri invoquent comme un argument pour lutter contre le racisme anti-Noirs qui s’installe insidieusement dans le pays.

FANON, LA RÉFÉRENCE ULTIME

Frantz Fanon, le psychiatre martiniquais qui a rejoint la lutte algérienne et s’est rapproché du FLN, a nécessairement contribué à alimenter l’attrait des Noirs américains pour l’Algérie. Son livre phare, Les Damnés de la terre, interdit en France à sa sortie en 1961, paraît aux États-Unis en 1965.

Les Blacks Panthers organisent des lectures publiques et des débats autour de ce texte consacré au colonialisme et à l’Algérie en premier lieu. L’historien Samir Meghelli rappelle que quelque 750 000 copies avaient été écoulées aux États-Unis en quelques années. Un livre qu’Eldridge Cleaver surnommait la « Black Bible ».

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TAY

Rapport de
Y'becca
et
Monsieur Tignard Yanis
Dit
TAY
La chouette effraie

Les Républiques de Israël et de La Palestine sont constituante du secourisme
de la République de L'Olivier... Deux fois un = La République de L'Olivier.
La citoyenneté devant l'élection du Juge de la république de L'Olivier ?
Oui, Un débat réelle sur la Terre et L'Eau au niveau international
selon les bases et les protections de la Charte de l’Antarctique...

Rapport de
Y'becca
et
Monsieur Tignard Yanis
Dit
TAY
La chouette effraie

yanis la chouette



Conflits et lutte antiterroriste au menu du sommet arabe en Jordanie
AFP
Publié le 29/03/2017 à 04:11 | AFP

Les dirigeants arabes se retrouvent mercredi en Jordanie pour leur sommet annuel, sur fond d'impuissance face aux multiples conflits et guerres dans leur région, principalement en Syrie.
Ce 28e sommet ordinaire des Etats membres de la Ligue arabe s'ouvre vers 11H00 locales (09H00 GMT) à Sweimeh, au bord de la mer Morte et 17 des 22 dirigeants arabes y prendront part, dont le roi Salmane d'Arabie saoudite, poids lourd régional, selon le pays hôte.
L'envoyé spécial de l'ONU pour la Syrie Staffan de Mistura et le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres y seront également présents.
A l'ordre du jour, les conflits en Syrie, au Yémen et en Libye, la lutte contre les groupes jihadistes Al-Qaïda et Etat islamique (EI) qui sévissent notamment en Syrie et en Irak, ainsi que l'insoluble conflit israélo-palestinien.
"Ce sommet ne sera pas différent des précédents. L'ordre (politique) dans le monde arabe est faible, divisé et souffre de dysfonctionnements depuis de longues années", a déclaré à l'AFP Oraib Rantawi, directeur du Centre Al-Quds pour les études politiques.
Il a dit ne pas s'attendre à des décisions surprise lors de ce sommet, alors que les membres de la Ligue arabe, minée par les divisions, ne parviennent pas à régler les conflits qui agitent le Moyen-Orient, surtout depuis le Printemps arabe.
'Rôle plus actif'
Qualifiant la guerre en Syrie de "la plus grave crise de l'histoire récente de la région", le chef de la Ligue arabe Ahmed Aboul Gheit a appelé lundi les Arabes à jouer un "rôle plus actif" dans la résolution de ce conflit.
La Russie et l'Iran, alliés du régime de Bachar al-Assad, et la Turquie, soutien de la rébellion, ont pris la main dans le conflit syrien qui a fait plus de 320.000 morts et des millions de réfugiés, et qui s'est complexifié avec l'implication des groupes jihadistes et d'acteurs régionaux et internationaux.
L'Iran est le principal rival régional de l'Arabie saoudite qui soutient l'opposition syrienne. Un 5e round de négociations est organisé actuellement sous l'égide de l'ONU à Genève entre régime et opposition mais sans avancée notable.
Le régime syrien a perdu depuis 2011 son siège au sein de la Ligue arabe et la Syrie n'est pas représentée au sommet.
Pour sa part, Antonio Guterres, lors d'une visite dans le camp de réfugiés syriens de Zaatari en Jordanie, a estimé mardi que les pays arabes devraient mettre leurs différends de côté pour faire face à la crise syrienne.
"Quand les pays arabes sont divisés, cela permet à d'autres d'intervenir, de créer de l'instabilité, de favoriser les conflits et (la montée en puissance) des organisations terroristes", a-t-il dit.
Mohammed VI et Béchir présents
L'année dernière, le Maroc avait renoncé à accueillir le sommet arabe, en disant redouter "une fausse impression d'unité et de solidarité (...) dans un monde arabe qui traverse une période difficile". Le sommet s'était finalement tenu en Mauritanie.
Le roi Mohammed VI est attendu cette année en Jordanie, pour la première participation d'un souverain marocain à un sommet arabe depuis 2005, selon une source officielle jordanienne.
La guerre au Yémen sera aussi à l'ordre du jour alors que le conflit dans ce pays pauvre de la péninsule arabique a fait selon l'ONU quelque 7.700 morts depuis mars 2015 et l'intervention d'une coalition militaire arabe commandée par Ryad pour venir en aide au pouvoir face aux rebelles.
La crise en Libye, plongée dans le chaos à cause des rivalités et des combats entre factions rivales, sera également abordée par les dirigeants arabes.
Enfin, et malgré les protestations d'ONG, le président soudanais Omar el-Béchir participera au sommet de Jordanie où il est arrivé mardi soir. M. Béchir est visé par des mandats d'arrêt par la Cour pénale internationale (CPI), qui l'accuse de génocide et crimes contre l'humanité pour son rôle présumé dans le conflit dans la région du Darfour.
29/03/2017 04:10:47 - SWEIMEH (Jordanie) (AFP) - © 2017 AFP

Chant diphonique mongol
https://www.youtube.com/watch?v=hEUuXpQ-d-8

Rapport de
Y'becca
et
Du
Juge de La République de L'Olivier ( Israël et La Palestine en Républiques: Débat Interne à la République de L'Olivier).
TAY
La chouette effraie

yanis la chouette



Luc Ferry, philosophe de l’ère des nanotechnologies, des biotechnologies et de la cognitique
Laurent Alexandre 03 juin 2016 à 10h05
Laurent Alexandre : « Le transhumanisme n’est pas une science-fiction : l’homme va rapidement disposer d’un pouvoir démiurgique sur sa nature biologique. Il est urgent d’agir en n’oubliant jamais que les NBIC génèrent des oppositions philosophiques et politiques parfaitement légitimes qui n’opposent pas les bons et les salauds »

Luc Ferry est le premier philosophe à se pencher sur les bouleversements que les NBIC (Nanotechnologies, Biotechnologies, Informatique et Cognitique) vont induire. L’originalité de sa démarche tient à sa vision résolument prospective. La révolution transhumaniste est le livre le plus abouti sur le XXIe siècle vertigineux que nous promettent les NBIC. Évitant à la fois la naïveté technologique de la Silicon Valley et la technophobie des élites françaises, le philosophe offre une réflexion profonde sur la régulation du tsunami technologique qui déferle sur notre civilisation judéo-chrétienne.
Génétique et Uberisation, même combat
La révolution transhumaniste résume parfaitement les trois objectifs démiurgiques de la Silicon Valley : allonger nos existences, augmenter nos capacités - eventuellement en nous hybridant avec des automates intelligents - et choisir les caractéristiques de nos enfants en supprimant la loterie génétique. Nous subissons une irrésistible révolution industrielle qui bouleverse le monde avec, d’un côté, la naissance d’une technomédecine fondée sur les NBIC ; de l’autre, celle d’une économie collaborative menée par des applications à la croissance foudroyante comme Uber, Airbnb ou BlaBlaCar. Luc Ferry affirme que les liens entre transhumanisme et ubérisation sont étroits, même s’ils sont «souterrains» ; il se propose donc d’analyser ces deux révolutions simultanément.

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Selon lui, les deux révolutions, NBIC et économique, s’appuient sur la même infrastructure technique : l’Internet, le big data, l’intelligence artificielle, les imprimantes 3D, la robotique, les nanotechnologies… Elles ont le même fondement philosophique : il s’agit de donner aux individus la maîtrise de leur destin « dans des pans entiers du réel, qui appartenaient encore naguère à l’ordre de la fatalité ». Elles sont sous-tendues par la même idéologie politique – l’ultralibéralisme anglo-saxon et le techno-capitalisme futuriste, qui veulent en finir avec le poids de l’héritage judéo-chrétien.
Ces deux révolutions sont organisées par les géants de la Silicon Valley, notamment Google, qui s’intéresse à toutes les formes de big data, y compris le patrimoine génétique de l’Humanité. Ainsi, le transhumanisme et la Net-économie ont une patrie, l’Amérique, et plus précisement la Californie. Il rejette les thèses des utopistes de l’Internet, selon lesquels l’économie collaborative va détruire le capitalisme et instaurer une société équitable et solidaire. Il ne croit pas, contrairement à Jeremy Rifkin, à la fin du capitalisme au profit d’un monde de gratuité, de bienveillance et de souci de l’autre. Luc Ferry craint au contraire que les entreprises comme Uber ou Airbnb soient en train de créer un «hypercapitalisme» prédateur, «sauvagement concurrentiel, mercantile et dérégulateur», qui n’apportera ni bonheur ni prospérité.
Transhumanisme oui, Posthumanisme non !
Luc Ferry n’est pas contemplatif : c’est un homme d’action qui propose une grille de lecture et un plan pour bâtir une philosophie des NBIC. Leur croissance exponentielle pourrait rendre la démocratie technologiquement obsolète et certaines des perspectives ouvertes par les NBIC sont enthousiasmantes, d’autres effrayantes. On ne pourra ni tout interdire ni tout autoriser, il faut donc repenser la notion de régulation au niveau national et mondial. Luc Ferry positionne le transhumanisme face aux deux grandes traditions humanistes. L’humanisme chrétien qui, avec Saint Thomas, privilégie l’idée de loi naturelle. L’humanisme laïc, de Pic de La Mirandole et Condorcet, qui définit l’humain par sa liberté, sa faculté de transgresser la nature, pour accèder à une une perfection biologique illimitée. Le philosophe décrypte la complexité politique du transhumanisme qui associe utilitarisme, libertarisme, néo-liberalisme et social-démocratie. Beaucoup pensent à tort que le transhumaniste est élitiste alors qu’il milite pour l’immortalité et l’augmentation pour tous, ce qui le rendra difficile à combattre par la gauche.
Luc Ferry défend un point de vue d’humaniste laïc : la nature est aveugle, injuste, elle ne connaît que la force brute et la vertu morale consiste à lutter contre elle. La grandeur de l’être humain réside dans sa liberté, son travail et ses efforts et non sa nature. Il n’y a donc aucune raison de ne pas vouloir la corriger ou l’améliorer. « Si on pouvait accroître de vingt ans la vie de ma mère, je serais preneur. La vraie question pour moi est bien plus complexe et c’est celle-ci : à quel prix ? » explique le philosophe des NBIC. Luc Ferry a une conviction « L’Homme doit toujours être une fin en soi ». Mais il n’est pas naïf : le projet transhumaniste qui prétend donner plus d’autonomie à l’Homme sera très difficile à encadrer et à réguler. Il pense que l’idéal de l’autonomie qui anime les démocraties depuis la Révolution française rendra la régulation des NBIC bien complexe. Du reste, c’est par ce biais que le transhumanisme rejoint l’économie collaborative, qui vise aussi à plus d’autonomie en court-circuitant les intermédiaires pour s’organiser entre particuliers. Il craint la dérive vers des pratiques extrêmes sans même que les pouvoirs politiques ni l’opinion ne s’en aperçoivent.
Il fait une distinction entre deux courants. Un transhumanisme «à visage humain», qu’il accepte et qualifie « hyperhumanisme», héritier des Lumières. Un «posthumanisme», qui envisage froidement «une hybridation homme-machine», combinant la biologie, la robotique et l’intelligence artificielle – pour engendrer «une autre espèce», bien éloignée de notre Humanité 1.0 et auquel il s’oppose. Pour Luc Ferry, le posthumanisme est «inquiétant», «absurdement réductionniste» et surtout «matérialiste», c’est-à-dire à la fois déterministe et athée. Il reproche au transhumanisme de ne faire aucune place à l’héritage religieux européen. Le désir d’immortalité passerait ainsi de la religion à la science. Or, philosopher c’est apprendre à mourir. Que devient la philosophie si on ne meurt plus ?
Un Etat fort pour encadrer l’Homme 2.0
Luc Ferry confesse être excédé par les idéologies dépressives et les nostalgies de la IIIe République. Il pense le monde nouveau dans lequel vont vivre ses enfants, et refuse de pleurer sur la disparition du monde de ses ancêtres. Le transhumanisme n’est pas une science-fiction : l’homme va rapidement disposer d’un pouvoir démiurgique sur sa nature biologique. Il est urgent d’agir en n’oubliant jamais que les NBIC génèrent des oppositions philosophiques et politiques parfaitement légitimes qui n’opposent pas les bons et les salauds.
Ce livre cherche à réhabiliter l’idéal philosophique de la régulation, tant du côté de la médecine que de l’économie. La question de la régulation deviendra cruciale, voire vitale. Tout autoriser serait effrayant ; néanmoins, tout interdire n’aurait aucun sens, du moment qu’il ne s’agit pas de fabriquer des monstres, mais bel et bien d’améliorer l’humanité, par exemple d’augmenter sa longévité en bonne santé. Le jour où nous pourrons éradiquer dans l’embryon la mucoviscidose ou la chorée de Huntington, non seulement nous le ferons, mais, dans le cas contraire, nos enfants nous reprocheraient de ne pas l’avoir fait. Plutôt que de créer des ministères aux intitulés stériles, «l’habitat durable» ou «l’égalité réelle», il faut dès maintenant que les politiques se réveillent sur ces questions. Luc Ferry défend la beauté du compromis politique démocratique : toute autre forme de régulation des NBIC lui semble dangereuse et inefficace.
Seule une régulation européenne, voire mondiale, peut avoir un sens. La Commission et le Parlement européens se sont déjà saisis du problème, dans deux grands rapports consacrés au transhumanisme, mais, sans connexion avec les Etats nationaux, rien ne sera possible. A l’échelle de la France, il faudrait placer la réflexion sur l’innovation au coeur de la question politique. Pour le moment, les GAFA (Google, Apple, Facebook et Amazon) sont tous américains. C’est toujours avec un temps de retard que l’Europe découvre les problèmes posés par la troisième révolution industrielle. Il préconise, sans surprise, le retour d’un Etat à la fois éclairé et fort qui sera capable de réguler ces révolutions en trouvant le juste milieu entre l’interdiction brutale et le laisser-faire intégral. Il sait que la partie n’est pas gagnée. L’ignorance et l’immobilisme des élites françaises, totalement désarmées face à ces immenses bouleversements, sont de sérieux freins. Luc Ferry est le prototype des élites du 21 ème siècle, mais il est encore bien seul.
Le transhumanisme pour les nuls
Laurent Alexandre est urologue, énarque et diplômé d’HEC. Ce chirurgien est aussi entrepreneur : fondateur du site Doctissimo (revendu), il dirige DNAVision, une startup belge spécialisée dans le séquençage d’ADN. Il est, en France, un des pédagogues du transhumanisme. Dernier ouvrage paru : La défaite du cancer (JC Lattès). Pour l’Opinion, il chronique le dernier ouvrage de Luc Ferry La révolution transhumaniste (Plon).

en effet

Présent dans trois segments, les tests agroalimentaires (30 % de l’activité), pharmaceutiques (55 %) et environnementaux (15 %), Eurofins est devenu un groupe mondial leader dans tous ses métiers, présent dans 39 pays. © DR

Leader mondial de la bio-analyse, le groupe a réalisé une levée de fonds de 200 millions d’euros auprès de la Caisse de Dépôt et Placement du Québec.
Une première en seize ans ! Contrôlé par la famille Martin, Eurofins avait réussi jusqu’à présent à éviter les augmentations de capital susceptibles de diluer sa participation. Le placement privé réalisé auprès de la Caisse de Dépôt du Québec (CDPQ) lui permet de garder la main sur le spécialiste mondial de la bio-analyse, dont elle détient actuellement 42 % du capital et 59 % des droits de vote, tout en crédibilisant son plan de développement à moyen terme.

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Un chimère ou Une Chimère ?

L’opération fait rentrer 200 millions d’euros dans les caisses. Cela ne suffira pas à doubler le chiffre d’affaires d’Eurofins d’ici à 2020 mais « elle ouvre la voie à une accélération via de potentielles acquisitions de plus grande ampleur », soulignent les analystes de Natixis. L’objectif du groupe est effectivement ambitieux : après avoir doublé ses ventes à trois reprises au cours des dix dernières années, il espère encore faire la culbute et atteindre 4 milliards dans quatre ans, contre 2 milliards en 2015. D’ores et déjà, le nouvel actionnaire québécois est prêt à remettre au pot en cas de besoin pour un ou plusieurs investissements, a précisé l’entreprise dirigée par Gilles Martin.
Réseau de laboratoires. Depuis sa création en 1987 avec dix employés, le laboratoire a mixé croissance interne et surtout externe – plus d’une centaine d’acquisitions – pour assurer son développement. Présente dans trois segments, les tests agroalimentaires (30 % de l’activité), pharmaceutiques (55 %) et environnementaux (15 %), l’ex-PME nantaise est devenue un groupe mondial leader dans tous ses métiers, présent dans 39 pays. Le tiers de son chiffre d’affaires émane aujourd’hui des Etats-Unis, la France reste pour le moment son deuxième marché (19 %), talonnée par l’Allemagne (12,8 %).

Clé du succès ? Le rachat de sociétés rentables et la constitution d’un réseau mondial de 225 laboratoires très pointus qui permettent à Eurofins de faire preuve d’une grande réactivité, lors des poussées de fièvre sanitaires notamment. Elles n’ont pas manqué ces dernières années, vache folle, grippe aviaire, scandale de la viande de cheval… Dernières emplettes annoncées le mois dernier, le français Agro-Analyses et ses 157 salariés, ainsi que le néerlandais Bureau de Wit, fournisseur de services de labo spécialisé dans le testing alimentaire pour l’agroalimentaire, l’hôtellerie et la restauration.
Pour l’avenir, le bureau d’études de Natixis s’inquiète « du renchérissement des grosses cibles sur les segments historiques d’Eurofins en raison de l’intérêt des fonds de private equity ». Mais à plus court terme, les comptes du début d’année sont en ligne avec l’objectif d’un chiffre d’affaires de 2,5 milliards en 2016, avec une croissance organique supérieure à 10 % au premier trimestre. « Depuis quelques années, Eurofins dit ce qu’il fait et fait ce qu’il dit », se félicite la société de Bourse Portzamparc.
Si tout va bien, le groupe réalisera donc dans quatre ans 4 milliards de ventes pour un résultat d’exploitation (ebitda) de 800 millions d’euros. Les analystes appliquent à cette perspective de croissance des ratios différents, qui justifient les écarts de leurs prévisions de cours : alors que l’action se traite aujourd’hui à 342 euros (valorisant la participation de la famille Martin à 2,2 milliards d’euros), Goldman Sachs a un objectif de 430 euros à un an. Portzamparc est à 380 euros, contre 365 pour Oddo, mais 315 euros seulement pour Natixis.

yanis la chouette



MANIÈRE NAÏVE, LA TRAGÉDIE POLITIQUE SUR LES PROPOS AFFIRME LE CARACTÈRE HUMAIN DE Y'BECCA. AINSI LA FRANCE EST SOUMISE À LA TRAHISON. TAY

Hamon et Rebsalem ont réussi à faire voter leur loi sous les gouvernements Valls sans manif et opposition parlementaires. Mr Macron et Valls

Montebourg fut critiqué en tant que Ministre par la délégation socialiste du parlement mais Hamon jamais. Mr Valls est il jaloux, Mr Macron?

La droite républicaine à fait le choix d'un candidat irréprochable mais il est un fait à avouer sa défaite sera personnelle. Réveillez Vous!

Mr Fillon joue sur l'aspect d'une façon incernable. Il est vrai qu'il est confronté à une fronde de rue. Richelieu s'est t'il mue en Victime.

Conflits et lutte antiterroriste au menu du sommet arabe en Jordanie http://w.lpnt.fr/2115517t #International via @LePoint

Quand Alger servait de refuge aux militants africains-américains
Publié le 28 mars 2017 à 11h48
http://www.jeuneafrique.com/mag/418291/politique/alger-servait-de-refuge-aux-militants-africains-americains/

Mondiaux de patinage: Medvedeva nouvelle reine de la glace... Félicitations. http://sport.francetvinfo.fr/patinage/mondiaux-de-patinage-medvedeva-nouvelle-reine-de-la-glace-327877 … via @francetvsport

Florence Portelli‏ @FloPortelli 29 mars
Plus
Est-on 1homme d'honneur en s'étant engagé sur l'honneur à soutenir son camp pour finalement le trahir? #Valls @Fillon2017_fr @TousFillon

TIGNARD YANIS‏ @TIGNARDYANIS 22 hil y a 22 heures
Plus
Histoire de l'OPEP, une histoire intéressante et méconnu des Citoyennes et Citoyens. Une Géopolitique sismique. TAY http://tinyurl.com/6vhanyk

PRÉTENTION, J'AFFIRME QUE AGIR DANS L'ASPECT DU TERRITOIRE TERRESTRE ET OCÉANIQUE RENDS YANIS ET KOUNAK CRÉDIBLE POUR L'ÉVOLUTION. Y'BECCA

Elections Françaises 2017: Un certain pont prénommé Kwai. https://www.youtube.com/watch?v=TDIYd1MBOcU&sns=tw … via @youtube

Le clans des mouettes
« Être » comme substantif et Le verbe (du latin verbum).
http://la-5ieme-republique.actifforum.com/t275-etre-comme-substantif-et-le-verbe-du-latin-verbum
ainsi est la force.

CIC - La Chaîne CIC‏Compte certifié @cic 14 hil y a 14 heures
Plus
"Le statut étudiant-#entrepreneur est né d'une idée que nous avons proposée au gouvernement de l'époque", @d_restino #PrixMoovjee2017

Valérie Boyer ن‏Compte certifié @valerieboyer13 3 hil y a 3 heures
Plus
"Il faut que certains actes médicaux puissent se faire par des infirmiers ou des pharmaciens" @FrancoisFillon #RTLMatin

Daft Punk - Get Lucky (Official Audio) ft. Williams, Rodgers
https://www.youtube.com/watch?v=5NV6Rdv1a3I
U.S.A 2017: Don"t Afraid !
La Chine...
Y'becca...

C'est quoi un coup de V ?
LE CHANT DES PARTISANS
https://www.youtube.com/watch?v=QRhg-Ioik8c

Lorsque j'ai un coup de V, je sifflote ce sifflotement vers celui qui me donne une mauvaise morale. TAY https://www.youtube.com/watch?v=83bmsluWHZc&sns=tw … via @youtube

Rapport de
Y'becca

Malgré tout, Le chant des partisants doit résonner quand on entends ce chant qui
ne vient plus de l'opéra mais de la Rue...
4° - Nabucco choeur des Esclaves ou Le Cri de la Misére "en Instrumentale".
https://www.youtube.com/watch?v=y73i8YejSCU
Oui à la Gréve et Non à L'Esclavage, Tortures, Viols, Abus qu'ils soient Physiques et Morales...
Notre Evolution dans le serment de Y'becca

La Foi de Y'becca
Secouristes de La République de L'Olivier: "Les Républiques de Israël et La Palestine"

yanis la chouette



У РАДІ ПРОПОНУЮТЬ ЗАБОРОНИТИ АБОРТИ ЗА БАЖАННЯМ ЖІНКИ
30.03.2017 12:26
Нині зареєстровано законопроект, згідно з яким штучне переривання вагітності можливе лише у певних випадках
ЗА ТЕМОЮ
>
Папа Римський закликав не засуджувати ґеїв та аборти
Народний депутат Дмитро Голубов запропонував законодавчо заборонити аборти. Відповідний законопроект № 6239 опубліковано на офіційному сайті Верховної Ради України.
Зазначається, що законопроект регламентує, що штучні переривання вагітності можуть здійснюватися лише за медичними показаннями або в разі, якщо зачаття відбулося в результаті зґвалтування.

"Аборт підриває основи держави (виникає демографічна проблема) і сім’ї (психічне здоров’я жінки надломлюється, моральна єдність подружжя послаблюється, сімейна гармонія порушується). Наслідки аборту в першу чергу несприятливі для жінок – виникає велика ймовірність як фізичних, так і психічних травм чи втрата здатності народжувати дітей у майбутньому", – йдеться у пояснювальній записці до законопроекту.

Нагадаємо, раніше законопроект про заборону абортів викликав жваву дискусію в суспільстві.

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LE CONSEIL A OFFERT À L’INTERDICTION DES AVORTEMENTS À LA DEMANDE DE LA FEMME
30.03.2017 12:26
Maintenant un billet enregistré, selon lequel l’interruption artificielle de grossesse est possible que dans certains cas
PAR SUJET
>
Le pape a exhorté ne pas de condamner l’avortement et ǵeïv
MP Dmytro Golubov proposé à interdire l’avortement. Le projet de loi n° 6239 affiché sur le site officiel de la Verkhovna Rada de l’Ukraine.
Note que le projet de loi réglemente que l’interruption artificielle de grossesse peut être effectuée uniquement à des fins médicales ou si la conception a eu lieu à la suite de viols.

« L’avortement sape État (survient le problème démographique) et la famille (santé mentale nadlomlûêt′sâ, l’unité morale du couple est affaiblie, harmonie familiale est cassé). Les conséquences d’avoir un avortement dans le premier placer la défavorable pour les femmes – il y a une bonne chance de blessures physiques et mentales ou la perte de la capacité d’enfanter à l’avenir, « a indiqué dans la note explicative du projet de loi.

Plus tôt, le projet de loi interdisant l’avortement provoqué une discussion animée dans la communauté.

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Problématique de Vie sur l'aspect des visions... En Ethique; Le caractère d'une Femme ne doit pas être dicter
par un viol et par le caractère de vue de ses proches: Elle doit mesurer l'acte tout en sachant que le Père devra répondre
du déchirement maternel afin de distinguer la silhouette du couple.
En effet, on ne parle jamais des médecins qui par étude du couple et des raisons, refuse l'avortement
par éthique morale de la psychologie du couple en faisant acte de ce choix aux avocats des parents et à la Justice
de L'Etat des Citoyennes et Citoyens...

Within You, Without You (Live 1994) Beatles Harrison (cover)
https://www.youtube.com/watch?v=dEAyE0PH-sU
The Beatles - Within You Without You
https://www.youtube.com/watch?v=y__Zs3e6BdA

Rapport de
Y'becca.

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