Le Rien, la Nudité, Y'becca, La Laïcité
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MR TIGNARD YANIS, MR GABRIEL DE MESSNER.PIERRE y ALAIN POHER

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yanis la chouette



J'AI ÉTÉ MÉDIATEUR AVEC LA POLICE LORS DES GRÈVES 1995 ET JE DÉPLORE LE LAXISME DES ORGANISATEURS: EN EFFET, ON PRÉVOIT HÉLAS TOUJOURS LE PIRE LORS DE SES MANIFESTATIONS ET ON DÉCONSEILLE AUX FEMMES ENCEINTES ET MINEURS, CE GENRE D'ÉVÉNEMENTS COMME LE FONT TRÈS BIEN LES FORAINS AVEC CERTAINS DE LEURS MANÈGES. CITOYEN TIGNARD YANIS OU TAY LA CHOUETTE EFFRAIE. LE DÉMOCRATE ET PÈRE DE L'EUROPE ET DES EUROPES... EUROPÉEN ET UNIVERSEL TEL ÉTAIT LA DEVISE DE CELUI QUI SUCCÉDA AU TITRE DE PROVISOIRE PROMÉTHÉE DE LA RÉPUBLIQUE. AU DESSUS DE EMMANUEL, IL EST LA MÉMOIRE DE CONSCIENCE: LE PRÉSIDENT DU SÉNAT. ALAIN POHER TOUT COMME SES PRÉDÉCESSEURS ET SUCCESSEURS SONT LES GARDIENS DE LA LIBERTÉ D'EXPRESSION, DE PRESSE ET DE CONSCIENCE. CELUI QUI OUBLIE CET ASPECT SPARTIATE DE LA CONSTITUTION OUTRAGE LA LIBERTÉ DE TIERCE PERSONNE... CITOYEN TIGNARD YANIS

Alain Poher, né le 17 avril 1909 à Ablon-sur-Seine (Seine-et-Oise) et mort le 9 décembre 1996 à Paris, est un homme d'État français.

Membre du MRP, il assuma la charge de président du Sénat de 1968 à 1992. C'est en cette qualité qu'il est chargé d'assurer, par deux fois, la continuité de l'État, assumant alors la fonction de président de la République française par suppléance, dans un premier temps en 1969, à la suite de la démission du président Charles de Gaulle, puis dans un second temps en 1974, à la suite du décès du président Georges Pompidou.

Figure emblématique du Sénat de la Ve République, il reste encore aujourd'hui le titulaire du plus long mandat de président du Sénat.

Biographie
Famille, études et mariage

Alain Poher, fils unique d'Ernest Poher, ingénieur des chemins de fer (1875-1936) et de Louise Souriau (1872-1960), est issu d'une famille de la moyenne bourgeoisie bretonne et, selon la légende familiale, descendrait de l'antique Maison de Poher et, par elle, des comtes et ducs de Bretagne1.

Il était ingénieur civil diplômé de l'École nationale supérieure des mines de Paris et de l'École libre des sciences politiques.

Marié en 1938 à Henriette Tugler (Cahors, Lot, 1907-Ablon-sur-Seine, 2004), le couple a deux filles : Marie-Agnès Poher (1940), veuve de Jean-Pierre Joussain, et Marie-Thérèse Poher (1944-2002). Ils ont trois petits-enfants, qui ont relevé le nom de famille de leur grand-père Poher.
Au sein du gouvernement

En politique, il subit l'influence du personnalisme d'Emmanuel Mounier. En 1938, il entre au ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie et est rédacteur de troisième classe. Durant la guerre, il entre en contact avec le réseau Libération-Nord. À la Libération, il reste dans son ministère, tout en ayant présidé le comité d'épuration.

Chef des services sociaux du ministère à la Libération, il rejoint Robert Schuman dont il est le directeur du cabinet. De 1948 à 1952, il est commissaire général aux affaires allemandes et autrichiennes ; il préside également l'Autorité internationale de la Ruhr.

En 1945, il est élu maire d'Ablon-sur-Seine, dans le département de Seine-et-Oise, puis dans le Val-de-Marne après la réforme de 1964. Dans ce nouveau département contrasté, il incarne le Val-de-Marne d'essence provinciale, « versaillaise », comme il dit2, par opposition à l'autre Val-de-Marne, le Val-de-Marne « parisien » qui se situe dans une dynamique d'intégration métropolitaine.

Il est, en 1946, élu au Conseil de la République, puis constamment réélu, entre 1948-1952, et siège au Palais du Luxembourg jusqu'à 1995 comme MRP ou Union centriste. Il fut président du groupe MRP de la Haute Assemblée. Il est secrétaire d'État au Budget dans les deuxième cabinet Schuman et Gouvernement Henri Queuille (1) du 5 septembre au 20 novembre 1948, puis secrétaire d'État à la marine du 11 novembre 1957 au 14 mai 1958 dans le cabinet Félix Gaillard. Il assiste à la fin de la IVe République.
Président du Sénat

Le 3 octobre 1968, bien qu'il ne se soit pas porté candidat, Alain Poher est élu président du Sénat à l'issue du troisième tour de scrutin par 135 voix contre 107 à Pierre Garet et 22 à Georges Cogniot ; il devient ainsi le troisième personnage de l'État dans l'ordre constitutionnel, après le président de la République, Charles de Gaulle, et le Premier ministre, Maurice Couve de Murville.

C'est à ce titre que le 28 avril 1969, jour de la démission du général de Gaulle, Alain Poher est chargé, par la Constitution, d'exercer provisoirement la fonction de président de la République. Candidat à la succession du fondateur de la Ve République3, il parvient à se qualifier pour le second tour de l'élection présidentielle anticipée, avec 23,31 % des suffrages au premier tour face à l'ancien Premier ministre Georges Pompidou. Soutenu par la droite non gaulliste et les centristes, il est cependant vaincu par Pompidou, élu chef de l'État face à Poher, qui ne recueille que 41,79 % des voix. Les communistes, représentés par Jacques Duclos dans la course à l'Élysée, n'ont pas voulu choisir entre « bonnet blanc et blanc bonnet ». Le 20 juin suivant, il transmet le pouvoir au nouveau président de la République.

Le 2 octobre 1971, il est aisément réélu à la présidence de la Chambre haute, par 199 suffrages. Il sera continuellement reconduit à sa charge jusqu'en 1992.

Le 2 avril 1974, Alain Poher est de nouveau appelé à assumer l'intérim présidentiel, après la mort du président Pompidou. Il s'occupe de la continuité de l'État jusqu'à l'élection de Valéry Giscard d'Estaing à l'Élysée.

De nouveau candidat pour sa propre succession au « plateau », comme l'on désigne la tribune présidentielle du Sénat, le président Poher voit cependant sa candidature contestée : au premier tour de scrutin, le 2 octobre 1989, il ne recueille que 115 suffrages, loin des 159 voix requises pour la majorité absolue ; au second tour, il perd sept voix, les centristes ayant décidé de soutenir l'ancien ministre René Monory, avant d'être finalement élu à l'issue du troisième tour, avec 127 voix, grâce à la majorité relative suffisante pour l'élection. Il reconnaît alors « une journée difficile », qui ne saurait être « un exemple pour l'avenir ». L'ancien ministre de l'Intérieur, Charles Pasqua, qui présidait alors le groupe RPR du Sénat, se vantera, plus tard, d'avoir largement contribué à la réélection d'Alain Poher.

En 1992, il dit ne pas vouloir se présenter pour un neuvième mandat à la présidence de la Chambre haute, qu'il laisse au centriste René Monory le 2 octobre 1992, après avoir présidé cette institution durant quasiment vingt-quatre ans.
Centriste et européen

Pendant toute sa vie, Alain Poher manifeste de très fortes convictions européennes. Il tente de convaincre de Gaulle de renoncer au référendum sur la réforme du Sénat en 1969. Il saisit le Conseil constitutionnel qui annule la loi sur la liberté d'association de Raymond Marcellin et René Pleven en 1971. Cet événement marque « la seconde naissance du Conseil Constitutionnel » comme l'a relevé le Professeur Pierre Avril.

Il profite de son second intérim pour déposer les instruments de ratification de la Convention européenne des droits de l'homme. Cette convention signée par la France en 1950, n'avait jamais été ratifiée par le pouvoir gaulliste. C'est avec en mémoire la conviction de son mentor, Robert Schuman, qu'Alain Poher a ratifié, en qualité de président du Sénat chargé d'exercer provisoirement les fonctions de président de la République, la Convention européenne des droits de l'homme. Il vient symboliquement en témoigner lors des 25 ans du Conseil de l'Europe le 6 mai 1974. Il veille à la régularité des opérations électorales de 1974 dans la France d'outre-mer qui pouvait jouer un rôle décisif pour départager Valéry Giscard d'Estaing et François Mitterrand lors de l'élection présidentielle. Il préside les cérémonies marquant le centenaire du Sénat en 1975. Avec la gauche au pouvoir dès 1981, il s'efforce au dialogue mais en 1984, il rejette la révision constitutionnelle sur les libertés proposée par Laurent Fabius.
Carrière
Au gouvernement

Secrétaire d'État au Budget dans le deuxième gouvernement Schuman (du 5 au 11 septembre 1948).
Secrétaire d'État au Budget dans le premier gouvernement Queuille (du 11 septembre au 20 novembre 1948).
Secrétaire d'État aux Forces armées (Marine) dans le gouvernement Félix Gaillard (du 11 novembre 1957 au 14 mai 1958).

Au Sénat

Sénateur de Seine-et-Oise puis du Val-de-Marne de 1946 à 1995.
Président du Sénat du 3 octobre 1968 au 1er octobre 1992.

À la présidence de la République

Chargé des fonctions de président de la République par intérim du 28 avril au 20 juin 1969 et du 2 avril au 27 mai 1974.

Autres fonctions

Maire d'Ablon-sur-Seine (Seine-et-Oise puis Val-de-Marne) de 1946 à 1983.
Président de l'Association des maires de France.
Président de l'Assemblée parlementaire des Communautés européennes (aujourd'hui Parlement européen) de 1966 à 1969.

Décorations

Chevalier de la Légion d'honneur Chevalier de la Légion d'honneur (reçu en 1950 des mains de Robert Schuman).
Croix de guerre 1939-1945.
Médaille de la Résistance française.
Grand officier de l'ordre du Mérite de la République italienne.
Grand-croix de l'ordre de la Couronne de chêne du Luxembourg.
Grand-Croix du Mérite de l'Ordre souverain de Malte.

Généalogie
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Ascendance d'Alain Poher4

Notes et références

↑ Le patronyme Poher désigne celui « qui est originaire du Poher », nom d'une ancienne vicomté de Cornouaille, en Bretagne. Le nom est surtout porté dans le Finistère. Le toponyme Le Poher vient lui-même du breton Poher, Pou Kaer : « pays fortifié », de pou : « pays », « ancienne circonscription des cités gallo-romaines », et de caer, kaer : « forteresse », « ville fortifiée » (Sources: Généanet.org/onomastique [archive]).
↑ Film documentaire en ligne [archive], sur le Val-de-Marne, réalisé à l'occasion de la parution du livre "Val-de-Marne : Anthologie 1964 - 2014" paru aux Éditions de l'Atelier en 2014 et dirigé par Emmanuel Bellanger (chercheur CNRS) et Julia Moro (Archives départementales du Val-de-Marne). La personnalité d'Alain Poher, qui incarne le Val-de-Marne d'essence provinciale y est cité à plusieurs reprises.
↑ Jean-Jérôme Bertolus, Frédérique Bredin, Tir à vue - la folle histoire des présidentielles, éditions Fayard, 2011, p. 311.
↑ Généastar : Ascendants d'Alain Poher [archive]

Bibliographie

Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata : Fichier d'autorité international virtuel • International Standard Name Identifier • Bibliothèque nationale de France (données) • Système universitaire de documentation • Bibliothèque du Congrès • Gemeinsame Normdatei • WorldCat
David Ouvrard, Alain Poher : l'autre force tranquille, L'Harmattan, 2011.

Liens externes

Biographie d'Alain Poher sur le site de la présidence de la République [archive]
Sa fiche sur le site du Sénat [archive]

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Présidents de la République française
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Chronologie des présidents du Sénat français
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Élection présidentielle française de 1969
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Candidats du centre aux élections présidentielles françaises
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Gouvernement Robert Schuman II (5 septembre - 7 septembre 1948)
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Gouvernement Henri Queuille I (11 septembre 1948 - 5 octobre 1949)
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Gouvernement Félix Gaillard (6 novembre 1957 - 15 avril 1958)
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Drapeau de l’Union européenne Présidents du Parlement européen
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Présidents du groupe du Parti populaire européen au Parlement européen

UNE OMBRE QUI GUIDA TOUT LES HORIZONS DE LA République Française; JE PENSE QUE ALAIN POHER
DIRAIT DE L’ANNÉE ÉLECTORALE 2017 FRANÇAISE:
André Wartelle, Bibliographie historique et critique d'Eschyle et de la tragédie grecque : 1518-1974 (« Collection d'études anciennes »), Paris, Belles Lettres, 1978, XVI-685 p. (ISBN 2251325735)

RAPPORT DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
OU
TAY
La chouette effraie


yanis la chouette

Messages : 235
Date d'inscription : 24/02/2017


yanis la chouette



NAUTILUS, LE POISSON. UN GRAND NETTOYEUR ET UNE GRANDE COMPAGNIE. DIGNE DE L'ÉQUIPAGE.
J'AI ÉTÉ MÉDIATEUR AVEC LA POLICE LORS DES GRÈVES 1995 ET JE DÉPLORE LE LAXISME DES ORGANISATEURS: EN EFFET, ON PRÉVOIT HÉLAS TOUJOURS LE PIRE LORS DE SES MANIFESTATIONS ET ON DÉCONSEILLE AUX FEMMES ENCEINTES ET MINEURS, CE GENRE D'ÉVÉNEMENTS COMME LE FONT TRÈS BIEN LES FORAINS AVEC CERTAINS DE LEURS MANÈGES.
CITOYEN TIGNARD YANIS OU TAY LA CHOUETTE EFFRAIE.

Claire Bloom est une actrice britannique, née le 15 février 1931 à Finchley, Londres.

Biographie

Claire Bloom a été mariée à Rod Steiger (dont elle eut un enfant), à Hillard Elkins (en) puis à Philip Roth, et a eu des liaisons avec Richard Burton et Laurence Olivier.
Carrière

Après une formation à l'École Guildhall de Musique et Théâtre et à l'École Centrale de Locution et Théâtre, elle fait ses débuts à la BBC. Puis elle monte à quinze ans sur les planches du Théâtre du Répertoire d'Oxford en 1946. Parmi d'autres interprétations, son Ophélie dans Hamlet à Stratford-on-Avon lui vaut, à dix-sept ans, l’enthousiasme des critiques. The Lady's Not for Burning de Christopher Fry, face à Richard Burton, un de ses partenaires fétiches à l'écran, constitue sa première apparition sur scène à Londres. Engagée par l'Old Vic Theater pour deux ans, elle poursuit une longue et brillante carrière théâtrale, à New York notamment (Hedda Gabler)1.

Son rôle le plus connu au cinéma reste celui de la jeune danseuse Terry recueillie et aidée par Charles Chaplin dans Les Feux de la rampe (1952). Elle assista très émue à une projection exceptionnelle du film cinquante ans plus tard sur la Piazza Maggiore de Bologne devant quatre mille spectateurs et rappela combien ce chef-d'œuvre avait compté dans sa carrière2.

Les années suivantes, elle se partage entre son pays d'origine et l'Amérique. Elle s'illustre dans le thriller avec L'Homme de Berlin de Carol Reed, l'adaptation shakespearienne avec Richard III, dirigé et interprété par Laurence Olivier, et dostoïevskienne avec Les Frères Karamazov de Richard Brooks, au côté de Yul Brynner, le merveilleux avec Les Amours enchantées d'après les frères Grimm, le mélodrame avec Les Liaisons coupables réalisé par George Cukor, la comédie avec l'italien Elio Petri, opposée à Charles Aznavour ou Alberto Sordi, le péplum avec Alexandre le Grand de Robert Rossen, face à Richard Burton - qu'elle retrouve deux ans plus tard pour Les Corps sauvages, signé par l'un des plus brillants représentants de la Nouvelle Vague britannique, Tony Richardson, et neuf ans plus tard pour le film d'espionnage L'Espion qui venait du froid d'après John Le Carré et mis en scène par Martin Ritt, cinéaste qui la retrouve pour L'Outrage, un remake de Rashōmon, le chef-d'œuvre d'Akira Kurosawa. Claire Bloom se paie même le luxe d'interpréter un classique de l'horreur : La Maison du diable de Robert Wise. La star maintient sur grand écran à un très haut niveau jusqu'au milieu des années 1960.

Ses films suivants ont moins de retentissement, qu'il s'agisse de The Illustrated Man, d'après un roman de l'auteur de science-fiction Ray Bradbury, en compagnie de Rod Steiger, ou de Maison de poupée d'après la pièce de Ibsen, au côté d'Anthony Hopkins.

Après sa composition dans L'Île des adieux d'après Ernest Hemingway, sorti en 1977, dont elle partage l'affiche avec George C. Scott, elle incarne la déesse Héra (et Olivier est son Zeus) dans Le Choc des Titans original, et travaille pendant les années 1980 avec Stephen Frears pour Sammy et Rosie s'envoient en l'air et Woody Allen pour Crimes et délits inspiré de Crime et Châtiment de Fedor Dostoïevski. Allen l'emploiera de nouveau dans Maudite Aphrodite en 1995. Elle joue la reine Marie dans Le Discours d'un roi en 2010.

Bloom est aussi très active à la télévision depuis les années 1950, incarnant Roxane face à José Ferrer en Cyrano de Bergerac, la Belle face à Charlton Heston en Bête, Anna Karenine face à Sean Connery en Wronski... En 1979, elle est Athéna et Diana Rigg Clytemnestre dans une adaptation d'Eschyle et en 1986 elle interprète Jocaste et John Gielgud Tirésias dans une adaptation de Sophocle ; entre les deux elle joue la mère de Hamlet alias Derek Jacobi, est nommée aux Emmy Awards pour la série Retour au château (avec son autre partenaire fétiche Laurence Olivier) et se confronte à une consœur prestigieuse, Deborah Kerr, dans un téléfilm intitulé Ann and Debbie. Cela ne l'empêche pas de participer à des adaptations de Barbara Taylor Bradford et Barbara Cartland (Le Cavalier masqué avec Hugh Grant). L'actrice travaille également avec John Schlesinger pour Tables séparées d'après la pièce de Terence Rattigan et retrouve Richardson en 1988. Le public a pu la voir en outre dans deux aventures de Miss Marple, cette dernière sous les traits de Joan Hickson puis Geraldine McEwan, New York : Section criminelle, Doctor Who pour un double épisode avec David Tennant, et dans Doc Martin pour quatre épisodes de 2005 à 2013.
Filmographie
Claire Bloom en 2011.
Au cinéma

1948 : The Blind Goddess : Mary Dearing
1952 : Les Feux de la rampe (Limelight) : Thereza (Terry) Ambrose
1953 : Week-end à Paris (Innocents in Paris), de Gordon Parry : Susan Robbins
1953 : L'Homme de Berlin (The Man Between) : Susanne Mallison
1955 : Richard III : The Lady Anne
1956 : Alexandre le Grand (Alexander the great) : Barsine
1958 : Les Corps sauvages (Look Back in Anger) : Helena Charles
1958 : Les Frères Karamazov (The Brothers Karamazov) : Katya
1958 : Les Boucaniers (The Buccaneer) : Bonnie Brown
1960 : Le Joueur d'échecs (Schachnovelle) : Irene Andreny
1962 : Les Amours enchantées (The Wonderful World of the Brothers Grimm) de George Pal : Dorothea Grimm
1962 : Les Liaisons coupables (The Chapman Report) : Naomi Shields
1963 : Il Maestro di Vigevano : Ada
1963 : 80,000 Suspects : Julie Monks
1963 : La Maison du diable (The Haunting) : Theodora 'Theo'
1964 : Haute infidélité (Alta infedeltà) : Laura (segment Peccato nel pomeriggio)
1964 : L'Outrage (The Outrage) : Nina Wakefield
1965 : L'Espion qui venait du froid (The Spy Who Came in from the Cold) : Nan Perry
1968 : Charly : Alice Kinian
1969 : L'Homme tatoué (The Illustrated Man) : Felicia
1969 : Auto-Stop girl (Three Into Two Won't Go) : Frances Howard
1970 : A Severed Head : Honor Klein
1971 : Red Sky at Morning (en) de James Goldstone : Ann Arnold
1973 : A Doll's House : Nora Helmer
1977 : L'Île des adieux (Islands in the Stream) : Audrey
1981 : Le Choc des Titans (Clash of the Titans) : Hera
1985 : Déjà Vu : Eleanor Harvey
1987 : Sammy et Rosie s'envoient en l'air (Sammy and Rosie Get Laid) : Alice
1989 : Crimes et délits (Crimes and Misdemeanors) : Miriam Rosenthal
1990 : Pas de deux : Maria Cruz
1993 : The Princess and the Goblin : Great Great Grandmother Irene (voix)
1993 : Le Temps de l'innocence (The Age of Innocence)
1994 : A Village Affair : Cecily Jordan
1995 : Mad Dogs and Englishmen : Liz Stringer
1995 : Maudite Aphrodite (Mighty Aphrodite) : la mère d'Amanda
1996 : Daylight : Eleanor Trilling
1998 : Wrestling with Alligators : Lulu Fraker
2002 : The Book of Eve : Eva Smallwood
2003 : The Republic of Love : Onion
2003 : Disparitions (Imagining Argentina) : Sara Sternberg
2004 : Daniel and the Superdogs : Claire Martin
2006 : Kalamazoo? : Eleanor
2010 : Le Discours d'un roi : la reine Mary, épouse de George V
2012 : While We Were Here de Kat Coiro : la grand-mère
2013 : Max Rose de Daniel Noah : Eva Rose

À la télévision

1961 : Anna Karenina (téléfilm) : Anna
1962 : Wuthering Heights (téléfilm) : Cathy
1971 : The Going Up of David Lev (téléfilm) : Hannah
1979 : The Shakespeare Plays (série télévisée)
1979 : Henry VIII (téléfilm) : Catherine d'Aragon
1979 : Backstairs at the White House (feuilleton TV) : Edith Bolling Galt Wilson
1979 : Oresteia (feuilleton TV) : Athene
1980 : Hamlet, Prince of Denmark (téléfilm) : Gertrude
1981 : Brideshead Revisited (feuilleton TV) : Lady Marchmain
1982 : Cymbeline (téléfilm) : Queen
1983 : Separate Tables (téléfilm) : Miss Cooper
1984 : Oedipus the King (téléfilm) : Jocasta
1984 : The Ghost Writer (téléfilm) : Hope
1984 : Ellis Island, les portes de l'espoir (Ellis Island) (feuilleton TV) : Rebecca Weiler
1984 : The Life and Death of King John (téléfilm) : Constance
1985 : Time and the Conways (téléfilm) : Mrs. Conway
1985 : This Lightning Always Strikes Twice (téléfilm)
1985 : Shadowlands (téléfilm) : Joy Davidman
1985 : Florence Nightingale (téléfilm) : Fanny Nightingale
1985 : Palmer, père et fils (Promises to Keep) (téléfilm) : Sally
1986 : Liberty (téléfilm) : Madame Bartholdi
1986 : Hold the Dream (en) (téléfilm) : Edwina, Lady Dunvale
1986 : Anastasia : Le Mystère d'Anna (Anastasia: The Mystery of Anna) (téléfilm) : Czarina Alexandra
1987 : Intimate Contact (téléfilm) : Ruth Gregory
1987 : Queenie (téléfilm) : Vicky Kelley
1988 : Beryl Markham: A Shadow on the Sun (téléfilm) : Lady Delamere
1989 : Le Cavalier masqué (The Lady and the Highwayman) (téléfilm) : Lady Emma Darlington
1993 : Un amour à haut risque (Remember) (téléfilm) : Anne Deveraux Rawlings
1956 : As the World Turns (série télévisée) : Orlena Grimaldi (aka Lena Smythe) #1 (1993-1995)
1967 : Soldier in Love (téléfilm) : Queen Anne
1992 : The Camomile Lawn (feuilleton TV) : Sophy - Older
1992 : The Mirror Crack'd (téléfilm) : Marina Gregg
1993 : La Vengeance au cœur (It's Nothing Personal) (téléfilm) : Evelyn Whitloff
1997 : Family Money (série télévisée) : Frances Pye
1997 : Les Secrets du silence (What the Deaf Man Heard) (téléfilm) : Maddie Tynan
1998 : Imogen's Face (téléfilm) : Elinor
1999 : The Lady in Question (en) (téléfilm) : Emma Sachs
2000 : Love and Murder (téléfilm) : Nina Love
2000 : Les Ombres du passé (Yesterday's Children) (téléfilm) : Maggie
2006 : Trial & Retribution X: Sins of the Father (téléfilm) : Helen Masters
2006 : Marple: By the Pricking of My Thumbs (téléfilm) : Aunt Ada
2006 : The Ten Commandments (en) (feuilleton TV) : Rani
2009 : Doctor Who : La Prophétie de Noël : La femme

Notes et références

↑ premiere.fr
↑ Bonus du DVD Les Feux de la rampe, reportage Chaplin aujourd'hui.

Liens externes

Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata : Fichier d'autorité international virtuel • International Standard Name Identifier • Bibliothèque nationale de France (données) • Système universitaire de documentation • Bibliothèque du Congrès • Gemeinsame Normdatei • WorldCat
(en) Claire Bloom [archive] sur l’Internet Movie Database

RAPPORT DE Y'becca
sur
Le passé du
CITOYEN TIGNARD YANIS
ALIAS
TAY La chouette effraie
DARK OBSCUR, PSEUDO DE PHOTOGRAPHIE

yanis la chouette



Le groupe du Parti populaire européen (groupe PPE)2 est le principal des huit groupes politiques du Parlement européen.

Le groupe réunissait jusqu'en 2009 sous le nom « groupe du Parti populaire européen et des Démocrates européens » (PPE-DE) deux partis politiques européens, le Parti populaire européen et les Démocrates européens. Il ne regroupe plus, à présent, que les députés européens du Parti populaire européen, les Démocrates européens (Parti conservateur britannique et Parti démocratique civique tchèque) ayant fait scission et formé un nouveau groupe, les Conservateurs et réformistes européens (CRE), rejoints par certains partis du PPE (Forum démocrate hongrois) ou d'autres groupes.

Il est le plus grand groupe du Parlement européen, disposant, au 29 mars 2017, de 216 députés, soit 29 % des sièges3.

Le groupe est présidé depuis juin 2014 par Manfred Weber, député européen allemand, membre de la CSU.

Chambre Parlement européen
Législature(s) 1re, 2e, 3e, 4e, 5e, 6e, 7e et 8e
Partis membres Parti populaire européen
Président Manfred Weber
Représentation
216 / 751
Idéologie Démocratie chrétienne
Conservatisme
Libéralisme
Fédéralisme européen
Couleurs Bleu et or

Une malédiction est un état de malheur inéluctable qui semble imposé par une divinité, un sort maléfique, jeté sur un individu ou une communauté, ou le destin.

La malédiction est aussi un rituel appelant les puissances divines à exercer leur action punitive contre un individu ou un groupe d'individus, objet de cette malédiction.

Une malédiction agit comme un envoûtement "négatif", un malheur qui agit sur une réputation, qui fait que les autres vont se méfier de cette personne et craindre de la fréquenter face à la possibilité, voir au risque d'avoir à partager ce malheur.

Diverses malédictions
Malédictions historiques

Malédiction du pharaon.
Malédiction des Templiers.
Malédiction de Tecumseh en 1811 qui porte sur tous les présidents américains élus lors d'une année divisible par 20.

Malédictions à caractère religieux

Tablettes de malédiction employées dans l'antiquité
Article détaillé : défixion.
damnatio memoriae prononcées contre certains empereurs romains.
Malédictions prononcées contre Yitzhak Rabin et contre Ariel Sharon par des rabbins extrémistes.

Malédictions « médiatiques »

Ces anecdotes utilisées par des médias sensationnalistes rencontrent un public d'ésotérisme. Une présentation orientée de quelques coïncidences (plusieurs décès) relevées dans un contexte morbide (momie, assassinat), "expliqués" par une thèse de malédiction occulte ou de complot peuvent parfois suffire à créer une légende. Citons dans l'ordre chronologique :

Malédiction de Toutânkhamon, forgée en 1923 par un journaliste anglais après le décès de Lord Carnarvon, vieillard maladif.
Malédiction des Kennedy.
Malédiction d'Ötzi.

Autres malédictions

Les malédictions peuvent s'appliquer à des sujets variés, par exemple les objets ou une date maudite par exemple:

Les malédictions peuvent souvent s'appliquer à des personnalités publiques qui se sont attiré à juste titre on non, la vindicte de certaines individualités ou de certains groupes et que ceux-ci leur font "payer" pour un acte délictueux ou supposé tel, parfois pour une infraction à une "loi morale", ou considérée telle.. que la personne ou le groupe vindicatif estime devoir châtier. On a vu certaines vedettes des médias, des artistes célèbres ou non, ou des personnalités politiques se trouver ainsi atteintes par une déveine particulièrement frappante et inexplicable, ou pire encore atteintes dans leur déroulement de vie (parfois des accidents mortels ou handicapants), et/ou dans leur santé. Sans bien sûr, donner des noms de ces "victimes", citons l'exemple des "rôles maudits" qui commence à être connu, tels que ceux de démons, de vampires etc.. qu'il s'avère à l'usage être pour le moins "imprudent" d'incarner à l'écran..

On a vu dans ce cadre précis, certains acteurs sombrer dans des maladies dites "mentales", là où d'aucuns ont reconnu l'effet d'une malédiction, on a vu aussi des accidents paraissant particulièrement malchanceux frapper plus ou moins gravement des acteurs ou actrices célèbres.

La caractéristique essentielle d'une malédiction "réussie" est la difficulté à la distinguer des apparences du hasard et donc de pouvoir la neutraliser, que ce soit par une cure psychologique ou analytique, par l'application d'une pensée positive, ou de toute autre forme d'aide, qu'elle soit religieuse, professionnelle, familiale ou amicale.

Ces derniers types de malédictions "personnelles" et individuelles rejoignent bien entendu les malédictions médiatiques et religieuses.. Le domaine de la politique est particulièrement fourni en phénomènes de ce type, passant le plus souvent inaperçus du fait des tensions extrêmes considérées comme "normales", sinon "naturelles"... en un tel milieu.

Sort de protection des livres, des inscriptions dans les livres, particulièrement médiévaux, visant à les préserver du vol ou dégradation.

Bibliographie

(en) Alan Warren, « The Curse », dans S.T. Joshi (dir.), Icons of Horror and the Supernatural : An Encyclopedia of Our Worst Nightmares, vol. 1, Westport (Connecticut) / Londres, Greenwood Press, 2007, 796 p. (ISBN 978-0-313-33780-2 et 0-313-33781-0), p. 129-159.

Articles connexes

Ushi no toki mairi

Ushi no toki mairi (丑の時参り?) ou ushi no koku mairi (丑刻参り?). (« Visite du sanctuaire à l'heure du bœuf »)« 2 désigne un procédé de malédiction traditionnel au Japon, ainsi appelé parce qu'il est mené au cours de l'heure du bœuf (entre 1 et 3h). Le praticien - généralement une femme - 3,4, tout de blanc vêtu et couronné d'un anneau de fer fixé avec trois bougies verticales allumées, enfonce des clous dans l'arbre sacré5,note 1 d'un sanctuaire shinto. Dans la pratique habituelle contemporaine, les clous sont enfoncés dans une effigie en paillenote 2 de la victime, empalée sur l'arbre situé derrière elle4,6. Le rituel doit être répété sept jours de suite, après quoi il est admis que la malédiction a réussi, causant la mort de la victime5. Cependant, être témoin de la pratique est supposé annuler le sortilège7. Le Kibune-jinja à Kyoto est fortement associé au rituel8.

La pratique est également appelée ushi no toki mōde (丑時詣?), ushi mairi (丑参り?), ushimitsu mairi (丑三参り?)9,10.

Vue générale

Les sources indiquent que la méthode commune du rituel s'est développée au cours de l'époque d'Edo (1603-1868)5?

La femme pratiquant la malédiction est généralement dépeinte comme vêtue de blanc, les cheveux épars4, portant une « couronne » de fer avec trois bougies allumées3,5 avec suspendu à son cou un miroir sur sa poitrine1,3,9,11 (qui reste caché1) et portant une paire de hauts geta6,note 3. Elle cloue alors une poupée de paille représentant sa cible à un arbre sacré (神木, shimboku?) au sanctuaire shinto4.

La « couronne » de fer qu'elle porte est en fait un tripode (五徳, gotoku?) (ou trépied12, un support pour installer des marmites, etc. au-dessus d'une source de chaleur) qu'elle porte à l'envers6. Elle fait glisser l'anneau de fer au-dessus de sa tête et colle les bougies sur le trépied4.
Femme invoquant un yōkai lors d'un ushi no toki mairi, de Katsushika Hokusai

On croyait que l'endroit frappé sur la poupée de paille correspondait à la zone du corps où la cible commencerait à éprouver maladie ou blessure4,10. Toutefois, cette poupée de paille ou autre forme d'effigie n'était pas une condition définitive dans le rituel, même relativement à la fin de l'époque d'Edo. Par exemple, le Konjaku Gazu Zoku Hyakki de Toriyama Sekien (1779, représenté en haut à droite) dépeint la femme tenant un marteau mais pas de poupée, et aucune poupée n'est mentionné dans la légende1. Dans ce cas, les clous sont enfoncés directement dans les branches de l'arbre sacré.

Les accessoires utilisés sont décrits un peu différemment en fonction de la source. Les clous d'une taille particulière appelés 五寸釘 (gosun kugi?, « clous de cinq pieds ») sont prescrits selon certaines autorités9,13. Elle peut tenir un peigne dans sa bouche13 ou une « torche de bambou ou des racines de pins allumées à chaque extrémité »4. L'« heure fatidique appropriée » est, à proprement parler, l'Ushi pas mitsu doki 2 h~2.3 h1.

Dans les estampes de Sekien ou Hokusai (ci-dessus), la femme qui effectue le rituel de malédiction est représentée avec un bœuf noir à côté d'elle. Une tel bœuf noir, couché, doit apparaître durant la septième nuit du rituel et il faut enjamber ou chevaucher l'animal pour achever la tâche avec succès14 mais si l'on trahit sa peur à l'apparition de bœuf, la « puissance du charme est perdue »4.
Histoire
Article connexe : Hashihime.

Dans les premiers temps, le terme renvoyait simplement à l'adoration dans le sanctuaire pendant les heures du bœuf et la connotation de malédiction s'est développée plus tard. Au Kibune-jinja de l'arrondissement Sakyō-ku de Kyoto, une tradition voulait que si l'on priait ici à l'« heure de buffle de la journée de buffle du mois du buffle de l'année du buffle » le souhait était susceptible d'être accordé car c'était pendant cet alignement de l'heure, du jour, du mois et de l'année que la divinité Kibune était supposée être descendue sur le sanctuaire. Cependant, le sanctuaire est devenu connu comme lieu de malédiction dans les développements ultérieurs15.

Le sanctuaire Kibune est devenu fortement associé à la malédiction de l'heure du bœuf à la suite de la renommée de la légende médiévale de Hashihime d'Uji (« La princesse du pont d'Uji » (ja). La légende est considérée comme la principale source de la conception ultérieure du Ushi no toki mairi comme malédiction de rituel15,16. Selon la légende, Hashihime dans la vie mortelle était la fille d'un homme noble, mais consommée par la jalousie, fit vœu de devenir un kijin (démon oni) capable de détruire sa rivale en amour. Après sept jours passés au sanctuaire Kibune, elle a finalement reçu la révélation par la divinité résidente « de se baigner pendant trente sept jours dans les rapides de la Yodo-gawa »17. Notez que même si Kibune a plus tard été considérée comme une Mecque pour le rituel, Hashihime a appris la recette ici seulement et l'a mise en œuvre à des kilomètres de là (Kibune est dans le nord de Kyoto, la rivière Uji est au sud).

Le premier texte écrit de la légende se trouve dans une variante du texte (Yashirobon codex18) de la fin de l'époque de Kamakura du Heike monogatari sous le chapitre Tsurugi no maki (« Livre de l'épée »)19. Selon ce texte, Hashihime est à l'origine une mortelle durant le règne de l'empereur Saga (809 to 823)17 mais après âtre devenu démon et tué sa rivale, les parents de son homme et indistinctement d'autres personnes innocentes, elle a vécu au-delà de la durée normale de la vie humaine, pour faire de sa proie le samouraï Watanabe no Tsuna au pont Ichijo Modoribashi (一条戻橋?), pour finalement avoir son bras sectionné par l'épée Higekiri (髭切?)19. Tsuna conserve le bras du démon dont la puissance est contenue par le maître Yinyang (陰陽師, onmyōji?) Abe no Seimei en chantant le sūtra Ninnō-kyō18. Dans cette variante du « chapitre de l'épée », la cérémonie que la femme subit à la rivière Uji pour se métamorphoser en démon est ainsi décrite :

« Se retirant dans un endroit désert, elle divise ses longs cheveux en cinq grappes et les façonne en cornes. Elle se barbouille le visage avec du vermillon et son corps de cinabre et se met sur la tête un trépied de fer avec des marques de brûlure [* note 4], attachée à ses jambes et tient dans sa bouche un autre brandon brûlant aux deux extrémités. De Tsurugi no Maki »

12,20,21

Ainsi dans le Tsurugi no maki, on peut observer des éléments tels que le port du trépied (appelé ici 鉄輪 (kanawa?)) et l'étaiement de torches allumées (similaire à des bougies dans la tradition ultérieure), mais la femme a peint tout son visage et son corps rouge, plutôt que de rester en costume blanc pur .

Plus tard durant l'époque de Muromachi, cette légende est adaptée par Zeami12 dans le drame nô Kanawa ou La couronne de fer20. La pièce nô hérite essentiellement de la même tenue pour la femme principale à laquelle l'oracle commande de se « barbouiller le visage de rouge et de porter des vêtements écarlates »15,20 et n'utilise ni une poupée de paille ni un marteau15 mais fait créer par le maître yingyang Seimei « deux effigies de paille grandeur nature de l'homme et sa nouvelle épouse [avec] leurs noms [placés] à l'intérieur » pour accomplir les rites d'exorcisme du démon de Hashihime20. Par conséquent, la forme plus tardive du Ushi no to mairi se développe par le mariage de l'utilisation de poupées dans l'art ésotérique japonaise de l'onmyōdō avec le sanctuaire de visite à l'heure de bœuf.
Malédiction utilisant des poupées dans l'antiquité

L'utilisation de poupées dans le rituel de malédiction était pratiquée depuis l'antiquité, avec une référence dans la chronique Nihon Shoki sous le règne de l'empereur Yomei, qui rapporte qu'en l'année 587, Nakatomi no Katsumi no Muraji a préparé des représentions du prince impérial Oshisaka no Hikohito no Ōe (ja) et leur a [jeté un sort] « mais cela n'a pas fonctionné »22. Cependant, ce document ne précise pas si les poupées ont été piquées par des instruments tranchants.

Il existe des reliques archéologiques déterrées en forme de poupées humaines soupçonnées d'avoir été utilisées dans des malédictions. Appelées figurines purificatrices (木製人形代, mokusei hitogatashiro?), certaines ont des visages dessinés de manière réaliste à l'encre et d'autres avec des clous de fer enfoncés dans le sein. Un exemplaire du VIIIe siècle est conservé par l'Institut national de recherches de Nara sur les biens culturels23,24. Il existe une autre relique en provenance du site de Tatechō à Matsue dans la préfecture de Shimane, étiquette en bois représentant une figure féminine, apparemment une femme noble peut-on en déduire de ses vêtements, et cette poupée a trois chevilles ou des clous enfoncés dans ce bois, en direction de ses seins et de son cœur25.
Articles connexes

Shintai
kekkai (結界)
Ara-mitama et nigi-mitama
Magie
Rinki no hi no tama (ja), répertoire rakugo dans lequel la vie et les amours du principal protagoniste sont toutes deux soumises au ushi no toki mairi

Notes et références

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Ushi no toki mairi » (voir la liste des auteurs).

Notes

↑ arbre sacré (御神木|神木, shinboku?)
↑ poupée de paille (藁人形, wara ningyō?)
↑ 三橋 2011, p. 264–5 déclare qu'elle porte de grands sabots avec un seul panneau de support (「一本歯の高下駄」, même si l'illustration d'accompagnement sur une impression de Utagawa Toyohiro montre clairement deux supports
↑ ou « à chacune de ses jambes, une torche faite de bois de pin est attachée et mise à feu » dans Kusano 1962, p. 30

Références

↑ a, b, c, d et e Sekien (1779), cite : 「丑時まいりハ、胸に一ツの鏡をかくし、頭に三つの燭〔ともしび〕を點じ、 丑みつの比神社にまうでゝ杉の梢に釘うつとかや。 はかなき女の嫉妬より起りて、人を失ひ身をうしなふ。 人を呪咀〔のろわ〕ば穴二つほれとは、よき近き譬ならん」 Traduction : Dans l'ushi doki mairi, [une femme] recèle un miroir en son sein, allume trois bougies autour de la tête, visite le sanctuaire pendant l'heure Mitsu Ushi (troisième partie de l'heure du bœuf, 2 h ~ 2.3 h, et enfonce des clous dans un arbre sugi. Les jalousies fugaces d'une femme apportent la ruine à la personne et au corps. Il dit bien le proverbe « maudit quelqu'un, creuse une deuxième fosse [pour toi] »
↑ »« »Nelson 1996, p. 143 donne « Visite du sanctuaire à l'heure de la vache »
↑ a, b et c Joly 1912, p. 41-
↑ a, b, c, d, e, f, g et h Pfoundes 1875, p. 19–20, cité dans Hildburgh 1915, 65. Notes.. Magical Methods for Injuring Persons, p. 118
↑ a, b, c et d Nelson 1996, p. 143–4, citant Susumu (小野進) Ono, 古語辞典,‎ 1974
↑ a, b et c Griffis 1876, p. 474
↑ Elisonas 1997, p. 290 et note 72
↑ Ian Reader et George Joji Tanabe, Practically Religious: Worldly Benefits and the Common Religion of Japan, University of Hawaii Press, 1998 (ISBN 0824820908, lire en ligne [archive]), p. 140
↑ a, b et c 広辞苑 (Kojien, 第4版,‎ 1991éditeur=岩波書店 (ISBN 978-4-00-080101-0), « うしのときまいり »
↑ a et b « 日本国語大辞典 (Nihon kokugo daijiten) » [archive], 小学館,‎ 1972, p. 567
↑ Mitford 1870, p. 139–140
↑ a, b et c Eisaburō Kusano, « Stories behind noh and kabuki plays » [archive], Tokyo News Service, 1962, p. 30
↑ a et b 小松和彦(Komatsu, Kazuhiko)「いでたちは白い着物を着て、髮を乱し、顔に白粉、歯には鉄漿、口紅を濃くつくる、頭には鉄輪をかぶり、その三つの足にろうそくを立ててともす。胸に鏡を掛け、口に櫛をくわえる。履き物は歯の高い足駄である」 cité dans :吉昭 松井, « 多賀社参詣曼陀羅を読む » [archive] [snippet], 時と文化: 日本史攷究の視座 : 岡田芳朗先生古稀記念論集, 歴研],‎ 2000 (ISBN 4947769025), p. 173
↑ 宗教人類学入門, 弘文堂,‎ 2004, p. 149
↑ a, b, c et d 三橋 2011, p. 264–5
↑ Stephen E. Marvin, Heaven has a face, so does hell: the art of the Noh mask, vol. 1, Floating World Editions, 2007 [détail de l’édition] (ISBN 1891640321, lire en ligne [archive]), p. 278
↑ a et b Eileen Kato, « The Iron Crown (Kanawa) » [archive], Twenty Plays of the Nō Theatre, Columbia University Press, 1970, p. 193–194ff
↑ a et b Vyjayanthi R. Selinger, « Writing Margins: The Textual Construction of Gender in Heian and Kamakura Japan » [archive], BRILL, 2013 (ISBN 9004255338), p. 130
↑ a et b Terry Kawashima, « Writing Margins: The Textual Construction of Gender in Heian and Kamakura Japan » [archive], Harvard Univ Asia Center, 2001 (ISBN 0674005163), p. 272-
↑ a, b, c et d Kato 1970
↑ Kato, cité dans Murguia 2013
↑ William George Aston, Nihongi: Chronicles of Japan from the Earliest Times to A.D. 697, vol. 1, Japan Society of Londres, 1896 [détail de l’édition] (lire en ligne [archive]), p. 109-
↑ 靖 (Nagafuji, Yasushi) 永藤, « 古代仏教説話の方法: 霊異記から験記へ » [archive], 三弥井書店,‎ 2003, p. 22
↑ 潔 (Umeya, Kiyoshi) 梅屋, « のろい (noroi) » [archive] [PDF] (consulté le 30 octobre 2015)
↑ 昭 勝部, « タテチョウ遺跡発掘調査報告書III » [archive], 島根県教育委員会,‎ 1990, p. 375, 377註2 本編(2).pdf [archive]

Bibliographie

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William Elliot Griffis, The Mikado's Empire, Harper & Brothers, 1876 [détail de l’édition] (lire en ligne [archive]), p. 474
New Edition of 1883 [archive]
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Hernri L. Joly, Bakemono, vol. 9, 1912, 41- p. (lire en ligne [archive])
A. B. Mitford, Tales of Old Japan: No. II The Loves of Gompachi and Komurasaki, vol. 8, coll. « new series », 1870, 139- p. (lire en ligne [archive])
Salvador Jimenez Murguia, The Cursing Kit of Ushi no Koku Mairi, vol. 2, 2013, 73–91 p. (DOI 10.5325/preternature.2.1.0073, lire en ligne [archive]), chap. 1
John K. Nelson, Freedom of Expression: The Very Modern Practice of Visiting a Shinto Shrine, vol. 23, 1996, 143–144 p. (lire en ligne [archive] [PDF])
John K. Nelson, Enduring Identities: The Guise of Shinto in Contemporary Japan, Presses de l'université de Hawaï, 2000 (ISBN 0824822595, lire en ligne [archive]), p. 47
C. Pfoundes, Fu-so Mimo Bukuro: A Budget of Japanese Notes, Japan Mail, 1875, 19–20 p. (lire en ligne [archive])

Sources japonaises

健 三橋, 決定版知れば知るほど面白い! 神道の本, 西東社,‎ 2011, 264–5 p. [détail de l’édition] (ISBN 4791618165, lire en ligne [archive])

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Assemblage (art)

L'assemblage est un procédé artistique qui consiste à assembler divers objets découverts par l'artiste et mis en scène par celui-ci dans le cadre d'une composition en trois dimensions.

Picasso réalise ses premiers assemblages avec la série des "guitares" en 1912 ; tandis que Marcel Duchamp invente le « ready-made » ("Roue de bicyclette", 1913). Puis les dadaistes créent des assemblages à partir de 1914, avec Jean Arp et ses "reliefs" (Der Hirsch, 1914 ; Trousse d'un Da, 1920-21, constituée de bois flottés récupérés, MNAM, Paris) et en 1919 Marcel Janco avec ses "masques" du Cabaret Voltaire ou Kurt Schwitters. Le russe Vladimir Tatline, créé également des reliefs picturaux" et contre-reliefs" dès 1914 et Jean Pougny des Compositions en 1915. La première femme à travailler sur les assemblages fut Elsa von Freytag-Loringhoven, la baronne du Dada, suivie de Louise Nevelson qui commença à créer ses sculptures à partir de pièces de bois récupérés vers la fin des années 1930. Les surréalistes, tels que Man Ray, Max Ernst, Victor Brauner ou Joseph Cornell pratiquèrent aussi l'assemblage.

Simon Hantaï introduit à partir de 1952 des ossements (arrêtes de poisson, crâne) sur ses toiles ; tandis que Jean Dubuffet a commencé à créer des assemblages à partir d'août 1953 et les mois suivants1, puis de nouveau en février 1955 et les mois suivants2, en utilisant des éléments végétaux (écorce) et également animaux (ailes de papillons) dénommés assemblages d'empreintes, où cette expression est pour la première fois employée dans ce sens.

Du 2 octobre au 12 novembre 1961, l'exposition "The Art of Assemblage" (l'art de l'assemblage), organisée par William Seitz avec la collaboration active de Pierre Restany, se tient au MoMA à New York. On y trouve le travail de plus de cent cinquante artistes3, originaires d'Europe, depuis le début du XXe siècle, comme Braque, Dubuffet, Marcel Duchamp, Picasso, Kurt Schwitters ou plus récents comme Daniel Spoerri, Wolf Vostell et Joseph Beuys, mais aussi américains comme Man Ray, Joseph Cornell et Robert Rauschenberg avec ses "combines", en incluant aussi des artistes "assembleurs" moins connus de la côte Ouest, comme Edward Kienholz, George Herms et Bruce Conner. William C Seitz, le commissaire de l'exposition, décrit les assemblages comme étant réalisés à partir des matériaux naturels ou manufacturés, des objets, entiers ou non, qu'on ne pourrait considérer comme des matériaux d'art4.

Niki de Saint Phalle, qui participe également à cette exposition, expose en particulier le tableau Tu est moi (sic), technique mixte, composée de rasoirs, d'un marteau, de ciseaux, d'un pistolet, 19603, que Seitz choisit pour sa collection personnelle5. Une exposition intitulée En joue! Assemblages & Tirs (1958-1964) réunit les assemblages de Saint Phalle en 2013 à la Galerie Vallois à Paris6. Le catalogue rédigé par Catherine Francblin porte le même titre 7
Artistes ayant créé des assemblages

Louise Nevelson (1899 - 1988), une artiste américaine, connue pour ses boites expressionnistes abstraites reliées pour former une nouvelle création. Elle utilise des objets trouvés ou des objets délaissés de la vie de tous les jours dans ses assemblages8
Joseph Cornell (1903 - 1972), qui a vécu à New York, est connu pour ces boites délicates, fermées par une vitre, dans lesquelles il collectionnait des objets, des images de peintures de la renaissance et vieilles photographies. Beaucoup de ces boites, comme les fameuses boites "Medici Slot Machine", sont interactives et nécessitent d'être portées9.
John Chamberlain (1927) est un artiste de Chicago, connu pour ses sculptures d'épaves soudées de voitures.
Wolf Vostell (1932-1998) est célèbre pour son assemblage avec télévision. La Chambre noire10
Betye Saar (1926) est une artiste de Los Angeles qui est célèbre pour son assemblage autour de Tante Jemima.
Bernard Pras, artiste charentais (France), qui est célèbre pour notamment pour son portrait : Albert Einstein tirant la langue.
Armand Avril 1926, artiste lyonnais. Il est connu pour ses assemblages avec des bouchons de champagne découpés installés dans des Casses, ou mêlés à des épingles à linge pour former des compositions souvent intitulées La Mer à Cassis11
Markus Meurer (1959), un artiste allemand, qui transforme des matériaux trouvés en objets figuratifs.
Mohammad El Rawas (1951), un artiste libanais qui développe une pratique basée sur des constructions de balsa, d’aluminium et de cordes superposées sur des toiles. Pour ces œuvres complexes, il utilise de nombreuses références à la culture populaire (manga, comics) de même que des œuvres des maîtres comme Las Meninas de Diego Velázquez.

Bibliographie

Gaétan Picon, Jean Dubuffet et François Mathey, Rétrospective Jean Dubuffet, Paris, Éditions Musée des arts décoratifs, 1961, 398 p.
Collectif Grand Palais, Niki de Saint Phalle, Paris, RMN, 2014, 367 p. (ISBN 978-2-7118-6151-4).
catalogue établi à l'occasion de l'exposition au Grand Palais Paris, et de l'exposition au musée Guggenheim (Bilbao) avec la participation de la Niki Charitable Art Foundation de Santee (Californie).

Notes et références

↑ Picon Dubuffet Mathey 1961, p. 146
↑ Picon Dubuffet Mathey 1961, p. 173
↑ a et b Camille Morineau et al 2014, p. 257.
↑ William C. Seitz, The Art of Assemblage, Doubleday (1962)
↑ Émilie Bouvard conservatrice du Musée Picasso à Paris dans Camille Morineau et al 2014, p. 55.
↑ quelques exemples d'assemblages [archive]
↑ Catherine Francblin, Michelle Grabner, Norber Nobis et Jacques Villeglé, En joue ! Assemblages et tirs 1958-1964, Paris, Galerie Georges-Philippe et Nathalie Vallois, Fondation Ahlers Pro Arte, 2013 (ISBN 978-2-954-28711-9)
↑ Biographical Note, The Louise Nevelson Papers [archive], Archives of American Art, Smithsonian Institution.
↑ Deborah Solomon, Utopia Parkway: The Life and Work of Joseph Cornell, New York: Farrar, Straus & Giroux (1997).
↑ Wolf Vostell, La Chambre noire, 1958 [archive]
↑ au musée des beaux arts de Lyon [archive]

AINSI

Assemblage peut avoir plusieurs significations, selon le domaine d'activité concerné :

En mécanique, l'assemblage mécanique consiste à assembler des pièces.
En viticulture, l'assemblage est un procédé consistant à assembler des vins de différents cépages, cuvées, ou des eaux-de-vie.
En biologie :
l'assemblage est une méthode qui permet d'obtenir à partir de deux séquences d'ADN possédant une partie commune (séquences chevauchantes) une séquence d'ADN unique d'une longueur supérieure à celle de chacune des deux séquences.
l'assemblage est une technique de bio-informatique permettant l'alignement et/ou la fusion de fragments d'ADN ou d'ARN issus d'une plus longue séquence, afin de reconstruire la séquence originale.
En informatique, l'assemblage est une méthode de programmation.
En imprimerie, l'assemblage consiste à assembler des cahiers préalablement pliés, des feuillets, ou des films plastiques.
En arts plastiques, l'assemblage est un procédé de réalisation en trois dimensions qui consiste à assembler différents objets trouvés. À distinguer du collage, qui s'élève en plus ou moins faible relief ; le papier collé est un collage parmi d'autres.
En archéologie, un assemblage (en) consiste en l'ensemble des vestiges de l'activité humaine, collecté dans un endroit précis (site archéologique, niveau archéologique, etc.),
En ingénierie nucléaire, l'assemblage combustible d'un réacteur à eau ordinaire est constitué d'un ensemble de « crayons » contenant le Combustible nucléaire (uranium enrichi, MOX).
En charpenterie, l'assemblage consiste à assembler les pièces d'une charpente.
En menuiserie, un ouvrage d'assemblage désigne toute menuiserie composée de plusieurs pièces assemblées à tenons et mortaises, et qui renferment des panneaux qui y sont embrevés.
En cartographie, un tableau d'assemblage représente la division d'un ouvrage en différentes feuilles.
En musique, Assemblage est le titre d'un coffret du groupe The Cure regroupant au format CD les douze premiers disques de ce groupe.

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