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kanji: 漫画; hiragana: まんが; katakana: マンガ

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Manga (漫画 Manga?) are comics created in Japan or by creators in the Japanese language, conforming to a style developed in Japan in the late 19th century.[1] They have a long and complex pre-history in earlier Japanese art.[2]

The term manga (kanji: 漫画; hiragana: まんが; katakana: マンガ; About this sound listen (help·info); English /ˈmæŋɡə/ or /ˈmɑːŋɡə/) in Japan is a word used to refer to both comics and cartooning. "Manga" as a term used outside Japan refers to comics originally published in Japan.[3]

In Japan, people of all ages read manga. The medium includes works in a broad range of genres: action-adventure, business and commerce, comedy, detective, historical drama, horror, mystery, romance, science fiction and fantasy, sexuality, sports and games, and suspense, among others. Many manga are translated into other languages.[4] Since the 1950s, manga has steadily become a major part of the Japanese publishing industry,[5] representing a ¥406 billion market in Japan in 2007 (approximately $3.6 billion) and ¥420 billion (approximately $5.5 billion) in 2009.[6] Manga have also gained a significant worldwide audience.[7] In Europe and the Middle East the market was worth $250 million in 2012.[8] In 2008, in the U.S. and Canada, the manga market was valued at $175 million; the markets in France and the United States are about the same size.[citation needed] Manga stories are typically printed in black-and-white,[9] although some full-color manga exist (e.g., Colorful). In Japan, manga are usually serialized in large manga magazines, often containing many stories, each presented in a single episode to be continued in the next issue. If the series is successful, collected chapters may be republished in tankōbon volumes, frequently but not exclusively, paperback books.[10] A manga artist (mangaka in Japanese) typically works with a few assistants in a small studio and is associated with a creative editor from a commercial publishing company.[11] If a manga series is popular enough, it may be animated after or even during its run.[12] Sometimes manga are drawn centering on previously existing live-action or animated films.[13]

Manga-influenced comics, among original works, exist in other parts of the world, particularly in China, Hong Kong, Taiwan ("manhua"), and South Korea ("manhwa") What a Face

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Faire l'amour alors qu'il me défait
Vital d' AUDIGUIER DE LA MENOR (1569-1624)

Faire l'amour alors qu'il me défait,
Et tout défait, l'amour même défaire,
Le défaisant, le rendre plus parfait,
Le parfaisant, l'éprouver plus contraire.

Se délecter aux plaies qu'il me fait,
Chanter l'honneur de mon fier adversaire ;
Et de cent maux endurés en effet
Ne rapporter qu'un bien imaginaire.

Cacher son mal de crainte de le voir,
Crier merci de faire son devoir,
En même temps se louer et se plaindre,

Se détester et se faire la cour
Se mépriser et soi-même se craindre,
C'est en deux mots la défaite d'amour.

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3kanji: 漫画; hiragana: まんが; katakana: マンガ Empty Taira no Tadatsune (平忠常) Lun 2 Jan - 17:26

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La République du Bouregreg ou République de Salé, fut une république maritime, qui a existé à l'embouchure du fleuve Bouregreg durant la période allant de 1627 à 1668. Elle était formée des trois cités3 : Salé, Rabat et la Kasbah (aujourd'hui quartier de Rabat), où siégeait le diwan. Le développement de ces deux dernières cités, situées sur la rive gauche de l'embouchure du Bouregreg, est à l'origine de l'actuelle ville de Rabat, appelée alors « Salé-le-Neuf ».
On appelle également parfois ce petit État « République des pirates du Bou Regreg », car il s'agissait effectivement d'une association de pirates4, ou tout au moins de corsaires. Née de l'arrivée des musulmans (habitants d'Hornachos tout d'abord, puis Morisques andalous) expulsés par décision du roi d'Espagne, cette communauté de pirates, à l'abri des attaques derrière les hauts-fonds protégeant l'entrée de l'embouchure du Bouregreg, prospéra en attaquant des navires et en effectuant des raids jusqu'en Cornouailles, et même en Islande. Elle laisse au Royaume-Uni le souvenir des Sallee Rovers (« les écumeurs des mers de Salé »), comme en témoignent les aventures de Robinson Crusoé, captif des corsaires de Salé.

Géographie et toponymie[modifier | modifier le code]
Le territoire de la république du Bouregreg incluait non seulement l'actuelle Salé (« Salé-le Vieux »), sur la rive droite du Bouregreg, mais aussi l'actuelle Rabat (« Salé-le-Neuf ») et la Kasbah, sur la rive gauche.
À l'époque, le terme « Salé » sert à nommer cet ensemble de trois cités, reconnu par les nations européennes. Dans la médina de l'actuelle Rabat se trouve encore aujourd'hui une « rue des Consuls » où se trouvaient les représentations diplomatiques occidentales5.
Histoire[modifier | modifier le code]
À la fin du Moyen Âge, ces trois cités font partie des territoires de la dynastie mérinide ; Salé-le-Vieux a depuis le xiiie siècle une activité maritime importante, incluant de façon marginale la piraterie.
Origines de la République du Bouregreg[modifier | modifier le code]
Articles connexes : Expulsion des Morisques d'Espagne, Ibrahim Vargas et Jan Janszoon.

Carte de la République de Salé, montrant l'emplacement des trois cités : Salé-le-Vieux, la Kasbah, et Rabat.
Un changement important résulte de la fin de la Reconquista en Espagne, et surtout de la politique hostile aux Morisques, qui se concrétise en 1609-1610 par les décrets d'expulsion des Musulmans hors d'Espagne.
Avant même ces décrets, une communauté de Hornacheros (originaires de la ville de Hornachos, en Estrémadure) s'installe dès les premières années du xviie siècle dans la région de Salé, précisément dans la Kasbah alors en ruines. Ces musulmans, restés largement arabophones anticipent les mesures d'expulsion et parviennent à quitter l'Espagne en emportant leurs biens6 ; leur richesse et leur précoce implantation à Salé leur permettent de jouer un rôle dominant dans la politique locale au moins jusqu'en 1630.
En 1610, suite aux décrets entérinant la décision par le roi Philippe III de chasser tous les musulmans d'EspagneN 1, une vague de plusieurs milliers de Morisques andalous arrive dans la région. Ils sont particulièrement nombreux à s'implanter à Salé-le-Neuf, au pied de la Kasbah. Ceux-ci parlent généralement l'espagnol7, contrairement aux Hornacheros.
L'activité de piraterie prospère alors sur la rive gauche du Bouregreg, sous l'autorité de son premier gouverneur, Ibrahim Vargas8. À partir de 1624, c'est le Hollandais Jan Janszoon (Murad Reis) qui en est le « Grand Amiral », et donc le chef exécutif.
Création et organisation de la république[modifier | modifier le code]

Vue de l'embouchure du Bouregreg depuis la Kasbah des Oudaïas. Au loin, on aperçoit les murailles de Salé.
Après le départ de Jan Janszoon en 1627N 2, les Morisques cessèrent de reconnaître l'autorité du sultan Moulay Zidane, auquel ils reprochaient de prélever la dîme sur leurs revenus9. Les Hornacheros prirent le pouvoir et constituèrent la république corsaire du Bouregreg, dirigée par un diwan, lui-même présidé par un « Grand-Amiral ». Ce diwan, ou divan, sorte de cabinet gouvernemental formé de 12 à 14 notables, était contrôlé dans les toutes premières années de la république (entre 1627 et 1630) par les seuls Hornacheros10, dont la mainmise était mal supportée par la population croissante de Morisques andalous.
Aussi, après quelques affrontements sanglants, un accord fut-il trouvé en 1630, prévoyant l'élection d'un caïd par les Andalous de « Salé-le-Neuf » - l'actuelle ville de Rabat, située sur la rive gauche du Bouregreg11 - et l'élection de 16 notables pour constituer le divan, nommés en nombre égal par la Kasbah et par Salé-le-Neuf. Enfin, les revenus des prises maritimes et des droits de douane devaient être également répartis entre la Kasbah et Salé-le-Neuf12.
L'organisation de la république faisait appel à des talents multiples : Marocains de Salé-le-Vieux, mais surtout Maures espagnols exilés, s'y mêlaient avec des Hollandais, des Allemands et des Anglais, et parlaient une étrange lingua franca à base d'espagnol mâtiné d'arabe, de français, de portugais et d'italien13.
À partir des années 1660, les sultans alaouites Moulay Rachid puis Moulay Ismaïl finirent cependant par venir à bout de cette petite république14 empêtrée dans des luttes internes.
Querelles intestines et décadence[modifier | modifier le code]
Articles connexes : Zaouia de Dila et Moulay Rachid.

La kasbah des Oudaïas, citadelle et centre du pouvoir des Hornacheros.
Si efficace qu'elle ait pu se montrer sur mer, la république du Bouregreg fut fragilisée tout au long de sa courte histoire par les querelles intestines entre ses différentes communautés : toute sa vie politique est en effet formée de longs affrontements opposant les habitants des trois cités : les Hornacheros de la Kasbah et les Andalous de la ville basse de Salé-le-Neuf, mais aussi les musulmans plus traditionalistes de Salé-le-Vieux, sur fond de tentatives de contrôle par les autorités chérifiennes ou d'interventions étrangères. C'est sans doute dans ces rivalités sanglantes que l'on peut voir les germes de la fin de la république15.
Ainsi, la guerre civile à peine larvée de 1630, née de la révolte des Andalous pauvres de la basse ville de Salé-le-Neuf face aux riches Hornacheros de la Kasbah qui se sont attribué non seulement tout le pouvoir politique mais aussi tous les revenus de la Douane, ne fut conclue par un accord que sous la pression de l'ambassadeur d'Angleterre Harrison3.
Puis, en 1636, les Andalous, de nouveau révoltés contre la domination qu'exerçaient toujours dans les faits les habitants de la Kasbah, prirent celle-ci d'assaut et en chassèrent les Hornacheros, dont certains partirent s'exiler à Alger ou encore à Tunis15.
Les Andalous, décidant alors de compléter leur victoire en parachevant l'unification des trois cités sous leur autorité, attaquèrent Salé-le-Vieux et son chef, le marabout El-Ayachi. Cependant, une flotte anglaise arrivée le 3 avril 1637 se porta au secours de Salé-le-Vieux en canonnant la Kasbah, parachevant de ce fait l'état de guerre civile qu'accompagnait sa cohorte de misère, voire de famine. Le sultan profita de la situation pour essayer en 1638 d'asseoir son autorité en installant des soldats dans la Kasbah, mais la ville fut rapidement reconquise grâce à une alliance des Andalous et des Hornacheros demeurés au Bouregreg15.
Plus tard encore, à partir de 1641, ce sont les Dilaïtes qui prirent un réel ascendant tant sur les Hornacheros que sur les Andalous, après avoir fait assassiner El-Ayachi16,17. Pendant toute cette période, les nations européennes intervinrent dans les querelles opposant les différentes factions des cités du Bouregreg, les Hollandais, les Espagnols et les Anglais se montrant plus particulièrement actifs18.
La fin de l'aventure de la république du Bouregreg arriva, après un long siège entre 1660 et 166419, par la chute en 1664 de la Kasbah aux mains du raïs el-Khadir Ghaïlan20, en lutte avec les Dilaïtes, puis avec la montée de la puissance de la dynastie alaouite dans les années 1660, avant que le souverain alaouïte devienne celui de tout le Maroc en 1666. La victoire du sultan Moulay Rachid fut complétée en 1668 par la prise de la Zaouia de Dila20, date à laquelle le Bouregreg perdit toute autonomie politique.
Cette situation ne mit cependant pas fin à l'activité des corsaires de Salé, comme le montre l'aventure de Germain Moüette, survenue en 1670, et la piraterie - bien qu'en décadence, tout comme l'activité commerciale de la ville - subsista à Salé longtemps après que la république cesse d'exister21. La tentative pour relancer officiellement la course au xviiie siècle ne fit qu'accélérer la décadence de la « cité des Deux-Rives » et de son activité corsaire, supplantée qu'elle fut de toutes façons à partir de 1760 par la fondation de Mogador, mieux armée pour la course moderne22. Enfin, en 1818, Moulay Sliman renonça officiellement à la guerre sainte, mettant définitivement fin à toute activité corsaire sur les rives du Bouregreg22.
Le métier de « corsaire »[modifier | modifier le code]
Article connexe : Corso (piraterie).

Les pavillons salétins, selon la liste de Carington Bowles23.
La course pratiquée à Salé ne répondait pas rigoureusement aux critères retenus en Europe pour définir l'activité de corsaire, c'est-à-dire une activité officiellement autorisée à des particuliers par une lettre de marque du gouvernement leur conférant le droit de « courir sus aux ennemis de l'État »24 (et à personne d'autre) ; elle était donc considérée en Europe comme de la piraterie. Elle présente cependant quelques caractéristiques qui expliquent l'application du terme de « corsaire » aux pirates salétins : reversement du dixième des profits au roi du Maroc tout d'abord (avant 1627), puis au diwan ensuite, ou encore état de « guerre sainte » larvée contre les États chrétiens, jusqu'en 1818.
Navires[modifier | modifier le code]

Le chébec, proche de la polacre et de la pinque, était l'un des bâtiments préférés des corsaires musulmans, du fait de sa vitesse. De plus, les rames permettaient une approche discrète, même en l'absence de vent.
Selon le Père Dan, dans son Histoire de Barbarie et de ses corsaires (1646), la piraterie à Salé commença avec l'arrivée des Morisques, dont les richesses apportées d'Espagne leur permirent d'acheter quelques navires, qu'ils armèrent en course. Ils écumèrent alors les mers, arborant tout d'abord le pavillon espagnol, en reversant 10 % du produit de leurs prises (tant en richesses qu'en captifs) au roi du Maroc, avant de se rebeller avec succès contre son autorité25.
Protégée par les hauts-fonds marquant l'entrée de son port, dans l'embouchure du Bouregreg, la flotte des pirates de Salé n'était de ce fait composée que de navires à faible tirant d'eau26, petits, mais rapides, tels que polacres, pinques et carraques27. Ils étaient au nombre de dix-huit avant 1627, à l'époque où les pirates de Salé étaient dirigés par Jan Janszoon, avant que la flotte salétine ne prenne toute son ampleur. La plupart des navires jaugeaient entre 200 et 300 tonneaux28, et étaient équipés de voiles, mais aussi de rames29.
L'un des navires les plus efficaces, utilisé tant à Alger qu'au Maroc, était le chébec ; ses dimensions pouvaient atteindre 39 mètres de long, 7,5 mètres de large, avec un tirant d’eau de 2,7 mètres. L'armement pouvait comprendre huit canons de 6 livres sur les bordées, quatre canons de 12 livres sur la poupe, et huit couleuvrines de 3 livres sur le pavois30.
Cependant, la petite taille des navires de Salé avait une contrepartie, leur interdisant la haute mer lorsque les rudes conditions météorologiques de l'Atlantique étaient défavorables. En réalité donc, on ne pratiquait la course à Salé que d'avril à octobre, au cours d'une campagne annuelle qui ne durait guère que six ou sept mois. En dehors de cette saison, outre l'état de la haute mer, la redoutable barre du Bouregreg interdisait l'accès du port plus de la moitié du temps, et les navires restaient alors au mouillage31.
Équipages[modifier | modifier le code]

La vie des galériens de la chiourme était particulièrement dure, à Salé comme en Europe.
Les navires salétins étaient montés par un équipage de l'ordre de 200 personnes, entassées à bord de ces petits bâtiments32. L'équipage-type de ces navires se composait de trois catégories de personnes :
les officiers et spécialistes (pilote, canonniers, chirurgien, calfat...), très généralement des renégats venus de divers pays d'Europe. De fait, selon le Père Dan, « les « Turcs » et ceux de Barbarie se connaissent fort peu à la navigation »33 ;
l'équipage proprement dit, formé d'esclaves chrétiens, rassemblés en puisant parmi les quelque 1 000 ou 1 500 captifs chrétiens qu'hébergeait Salé en permanence29. Ce sont eux en particulier qui composaient la chiourme, que l'on enchaînait avant chaque combat « avec de grandes barres de fer » et des menottes33 ;
enfin, la « compagnie d'abordage », composée d'Andalous et de Marocains de souche. Armés de haches, de cimeterres et de pistolets, ces hommes se réservaient pour l'abordage des navires marchands choisis comme cible. Leur motivation était directement liée au caractère plus ou moins rémunérateur du métier : tant que l'activité de pirate se montra très profitable, le recrutement de ces compagnies d'abordage se fit sans grand problème ; mais lorsque, après 1668, le sultan voulut réglementer la course, entraînant alors une baisse du profit, de nombreux Salétins se désintéressèrent de cette activité, contribuant au déclin de l'ancienne république32.
Tactique[modifier | modifier le code]

Au choc frontal de l'abordage, glorieux, mais toujours hasardeux, les corsaires de Salé préféraient la ruse et l'intimidation.
Les corsaires de Salé conduisaient leurs opérations de façon toute pragmatique. La violence n'était pour eux qu'un ultime recours, destiné à suppléer à la ruse si celle-ci ne suffisait pas. Plutôt que de mener des abordages héroïques et sanglants, ils préféraient donner le change, tromper et rassurer leurs futures victimes, par exemple en arborant le pavillon d'une nation en paix avec la leur, ou monter pacifiquement à bord après avoir prétexté la vérification des « passeports » du navire34, comme le firent les corsaires qui capturèrent Germain MoüetteN 3. Comme l'a formulé le comte de Castries, « à la glorieuse incertitude du combat, ils préféraient des victimes désarmées et pacifiques »35.
La tactique des corsaires de Salé reposait en grande partie sur l'évaluation des navires qu'ils rencontraient : dès l'aube, selon les mémoires d'Henry Mainwaring, ils hissaient toute la voilure et commençaient à scruter l'horizon, puis, lorsqu'une cible potentielle était identifiée, discutaient avec le plus grand soin de l'intérêt de cette cible, des risques possibles et de la tactique à adopter (pavillon à hisser, ruses et prétextes...)36.
Outre l'inutilité de la violence lorsque la ruse ou l'intimidation suffisaient, l'intérêt des corsaires était de ne pas risquer d'endommager la précieuse marchandise que constituaient les captifs.
Coups de main et expéditions lointaines[modifier | modifier le code]

Reykjavik, l'une des avancées extrêmes en Atlantique des corsaires de Salé. Ce n'était alors qu'un très petit village.
Originaires d'Espagne, mais aussi d'autres pays d'Europe dans le cas des « renégats », les pirates excellaient à collecter d'utiles renseignements sur leurs cibles potentielles à terre ; car ils ne se bornaient pas à s'attaquer à des navires, mais menaient de véritables raids destinés à capturer des habitants des côtes européennes pour les vendre comme esclaves en Afrique du Nord. Tant pour leur proximité que du fait de l'origine des corsaires salétins, ce sont les côtes d'Espagne que ceux-ci privilégiaient. Toujours soucieux d'efficacité, ils avaient en effet mis en place en Espagne, dont ils parlaient parfaitement la langue, un « véritable réseau d'espionnage »31.
Dès les premières années, les corsaires de Salé menèrent également des raids audacieux et lointains : en 1624, unis aux pirates d'Alger, ils allèrent jusqu'à donner la chasse aux pêcheurs de Terre-Neuve37. En 1627, ils effectuèrent un raid contre la ville de Reykjavik, en Islande38, où fut capturée Guðríður Símonardóttir dite Tyrkja-Gudda (Gudda la Turque).
Il existait une véritable spécialisation entre les pirates d'Alger et ceux de Salé. Fort de leur nombre et de leur antériorité, les pirates algériens se réservaient en pratique la course en « mer du Levant » (la Méditerranée), les corsaires de Salé se réservant la « mer du Ponant », c'est-à-dire l'océan Atlantique, avec le détroit de Gibraltar pour frontière39.
Ils s'en prenaient par conséquent aussi aux îles britanniques, situées sur leur terrain de chasse. Ils attaquèrent par exemple les côtes de Cornouailles. En 1625, ils enlevèrent des captifs à Plymouth ; en 1626, ils capturèrent cinq navires au large du Pays de Galles38. En 1631, Jan Janszoon, à la tête de corsaires salétins40, effectue un coup de main contre Baltimore, qu'il met à sac en enlevant 237 personnes, « hommes, femmes et enfants jusqu'à ceux du berceau » selon le Père Dan40, dans le but de les revendre comme esclaves sur les marchés d'Afrique du Nord. Une flotte forte de 27 navires des « écumeurs des mers de Salé » (Sallee Rovers) était vers le milieu du xviie siècle stationnée en embuscade au large du cap Land's End41.
Produit des prises[modifier | modifier le code]
Articles connexes : Religieux de la Merci et Dominique Busnot.

Après avoir été vendus au marché de Salé, les captifs pouvaient être libérés contre rançon, ou rachetés par des religieux tels que ceux de la Merci (ce sont eux qui rachetèrent Germain Moüette).
Les prises — biens ou captifs — étaient monnayées sur les marchés de Salé. Les biens étaient écoulés bien souvent au travers de trafiquants installés à Salé, qui les revendaient en Europe par des villes interlopes telles que Livourne, Gênes et Pise42. Les captifs, enfermés tout d'abord dans les « matamores »43 (les matmoura, silos à grain souterrains44), étaient vendus au marché aux esclaves, situé sur la rive sud de l'embouchure du Bouregreg, au pied de la Kasbah21. Lors de la vente aux enchères de ces captifs, les acheteurs potentiels examinaient leurs mains avec la plus grande attention, car des mains soignées et sans callosités indiquaient une personne de qualité, que l'on pouvait espérer échanger plus tard contre une importante rançon ; ainsi le capitaine du navire de Moüette et sa mère furent-ils vendus pour 1 500 écus, alors que Moüette n'atteignit qu'un prix de 360 écus45.
Le produit des prises était réparti ainsi :
10 % pour le diwan ;
45 % pour l'armateur du navire, pour le rémunérer des risques pris ;
45 % pour l'équipage : les officiers, le maître canonnier, le pilote et le chirurgien recevaient chacun trois parts ; le calfat, le maître de manœuvre et les canonniers recevaient de leur côté deux parts chacun46. Dans certains cas, le capitaine était aussi propriétaire de son navire, et pouvait ainsi accumuler une petite fortune, comme ce fut le cas de Murad Reis46.
Les corsaires de Salé dans la littérature[modifier | modifier le code]
Articles détaillés : La Vie et les aventures étranges et surprenantes de Robinson Crusoé et Germain Moüette.

Robinson Crusoé, la victime la plus connue des corsaires de Salé.
En dehors même d'ouvrages purement historiques, comme l’Histoire de Barbarie et de ses corsaires, du Père Dan, la menace constante représentée par les corsaires de Salé pour les côtes et la navigation en Atlantique était telle qu'elle a marqué la mémoire collective en Europe.
Le souvenir le plus notoire des Sallee Rovers se trouve dans le livre de Daniel Defoe, La Vie et les aventures étranges et surprenantes de Robinson Crusoé, dont le héros est capturé par les corsaires « turcs » de SaléN 4. Robinson Crusoé est ensuite emmené à Salé, où il est gardé comme esclave par un « Maure » pendant deux ans avant de pouvoir s'échapper47.
Mais la connaissance que l'on peut avoir du sort des prisonniers des corsaires de Salé provient en bonne partie du livre autobiographique de Germain Moüette, Relation de la captivité du Sr. Mouette dans les royaumes de Fez et de Maroc, où il a demeuré pendant onze ans, publié en 1683. Capturé par les corsaires de Salé à l'âge de 19 ans et vendu à l'encan comme esclave, Moüette eut différents maîtres et exerça divers métiers pendant ses onze années de captivité, avant d'être racheté à Meknès par des religieux de la Merci. De retour en France, il écrivit le récit de ses aventures, source d'autant plus précieuse sur la vie des captifs chrétiens comme sur la vie quotidienne dans le Maroc de l'époque que Moüette avait appris l'arabe et l'espagnol et s'en était servi pour s'informer du monde qui l'entourait.

Notes[modifier | modifier le code]
↑ Décrets d'expulsion pris du 22 septembre 1609 au 18 janvier 1610 (voir Coindreau 2006, p. 35).
↑ Il reviendra plus tard à Salé.
↑ Ils se bornèrent une fois à bord à tirer un coup de fusil dans le ventre d'un « jeune Huguenot », peut-être pour marquer le sérieux de leurs intentions (voir Moüette 1683, p. 9).
↑ Citation originale : [...] our ship, making her course towards the Canary Islands, [...] was surprised, in the gray of the morning, by a Turkish rover, of Sallee [...] (« [...] notre navire, qui faisait route vers les îles Canaries, [...] fut surpris, au petit matin, par un écumeur des mers turc, de Salé [...] »)
Références[modifier | modifier le code]
↑ Leïla Maziane, « Salé au xviie siècle, terre d’asile morisque sur le littoral Atlantique marocain », Cahiers de la Méditerranée, no 79,‎ 2009 (lire en ligne [archive])
↑ a et b Maziane 2007, p. 116
↑ a et b Coindreau 2006, p. 50
↑ Pickens, Peuriot et Ploquin 1995, p. 230
↑ Coindreau 2006, p. 45, note 1.
↑ Coindreau 2006, p. 42
↑ Coindreau 2006, p. 43-44
↑ « Rabat/Salé, la conquête pirate », Le Monde,‎ 1er septembre 2009 (lire en ligne [archive])
↑ Maziane 2007, p. 59
↑ Coindreau 2006, p. 48
↑ Coindreau 2006, p. 44-45
↑ Coindreau 2006, p. 49-50
↑ (en) Barnaby Rogerson, « The Sallee Rovers » [archive], sur travelintelligence.com (consulté le 7 avril 2010)
↑ Potocki 2004, p. 342
↑ a, b et c Coindreau 2006, p. 51
↑ de Epalza 2001, p. 106
↑ (en) B. A. Mojuetan, History and underdevelopment in Morocco: the structural roots of conjuncture, LIT Verlag Münster, 1995 (lire en ligne [archive]), p. 43
↑ de Epalza 2001, p. 107
↑ Maziane 2007, p. 238
↑ a et b Coindreau 2006, p. 53
↑ a et b Coindreau 2006, p. 57
↑ a et b Coindreau 2006, p. 58
↑ C. Bowles, Bowles's universal display of the naval flags of all nations in the world, 1783
↑ Coindreau 2006, p. 19
↑ Dan 1649, p. 205-206
↑ Coindreau 2006, p. 41
↑ Dan 1649, p. 209
↑ Coindreau 2006, p. 69
↑ a et b Coindreau 2006, p. 66
↑ « Œuvres ire Flotte Marocaine » [archive] (consulté le 23 avril 2010), p. 36
↑ a et b Coindreau 2006, p. 125
↑ a et b Coindreau 2006, p. 68
↑ a et b Coindreau 2006, p. 67
↑ Moüette 1683, p. 7
↑ Cité dans Lamborn Wilson 2003, p. 151
↑ Cité dans Lamborn Wilson 2003, p. 153
↑ « Piraterie en Méditerranée au xviie siècle » [archive], sur algerie-ancienne.com (consulté le 7 avril 2010)
↑ a et b Lamborn Wilson 2003, p. 151
↑ Coindreau 2006, p. 124
↑ a et b Maziane 2007, p. 173
↑ Walcott 1859, p. 462
↑ Coindreau 2006, p. 56
↑ Dan 1649, p. 412
↑ Josiah Conder, The Modern Traveller: Africa, J. Duncan, 1830 (lire en ligne [archive]), p. 367
↑ Moüette 1683, p. 22
↑ a et b Lamborn Wilson 2003, p. 147
↑ Defoe 1857, p. 18 et suivantes
↑ Pouillon 2008, p. 710-711

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L'anéantissement des Taira de Kyoto voit la fin de l'ère Heian et le début de la période Kamakura, dominée par le bakufu de Kamakura, le premier gouvernement samouraï. Yoritomo, suivant les conseils de ses vassaux, choisit en effet d'installer son gouvernement à Kamakura au lieu d'aller à Kyoto et s'emploie ensuite à mettre en place une structure de commandement lui donnant barre sur les clans de samouraïs, et se fait nommer en 1192 Seii Taishogun (征夷大将軍) par l'empereur, après la mort de Go-Shirakawa. Les Taira des plaines du Kantō, qui avaient été les alliés de Yoritomo depuis le tout début de la guerre, choisirent d'apporter leur soutien au bakufu (幕府).
De son côté, Yoshitsune vient s'installer à Kyoto où on lui donne une place auprès de l'empereur retiré Go-Shirakawa. Yoritomo, inquiet de l'influence de l'Hō-ō sur son frère, et considérant comme une violation de ses privilèges le fait que Yoshitsune avait attribué des terres à ses vassaux pour les récompenser, rappelle alors son frère à Kamakura pour le tenir à l'œil. Yoshitsune finit par demander de l'aide à Go-Shirakawa, et celle-ci venant trop tard, il prend alors la fuite et se voit contraint de fuir dans la province de Mutsu chez son vieux protecteur Fujiwara no Hidehira (藤原秀衡). Il trouve finalement la mort en 1189, aux côtés de ses derniers alliés, parmi lesquels le moine Benkei (弁慶), lors d'un assaut mené par Fujiwara no Yasuhira (藤原安衡), sur ordre de Yoritomo (voir l'article Bataille de Koromogawa.) Quelques mois plus tard, Yoritomo fait exécuter Yasuhira sous prétexte qu'il avait hébergé Yoshitsune, ce qui lui permet de s'assurer le contrôle des riches terres des Ōshū Fujiwara (奥州藤原).

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Taira no Tadatsune (平忠常) (? - 1031) était un chef du clan Taira. Il a été gouverneur de la province de Kazusa et s'est aussi occupé du temple d'Ise.
En 1028, Taira no Tadatsune, attaqua la province de Kazusa et la province d'Awa (dans le Kanto). La cour impériale chercha alors à l'empêcher d'étendre son pouvoir et chargea Minamoto no Yorinobu, gouverneur de la province d'Ise d'attaquer celui-ci. Minamoto no Yorinobu refusa mais après avoir demandé à d'autres personnes qui ne purent arrêter Taira no Tadatsune, la cour impériale lui redemanda et cette fois il accepta. Il amena une armée pour vaincre Taira no Tadatsune, et celui-ci se rendit sans combattre sachant qu'il ne pourrait pas gagner.
Taira no Tadatsune est le père de Chiba no Suke, le fondateur du clan Chiba.

Le clan Chiba (千葉氏) est un clan japonais qui est en fait une branche du clan Taira. Le clan Chiba descend de Chiba no Suke, le fils de Taira no Tadatsune. Le nom du clan vient du fait qu'il contrôlait la ville de Chiba, à l'est de Tokyo.
Le clan Chiba n'a pourtant pas soutenu le clan Taira pendant la guerre de Gempei et s'est rangé aux côtés du clan Minamoto avec le clan Hojo et le clan Doi.
Le clan était installé dans la province de Shimosa.

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yanis la chouette



UNIVERS: LE LABYRINTHE, L'EXODE, LES SACRIFICES ET L'ESPOIR.

MANCHESTER, LE 22-23 MAI 2017 APRES JÉSUS CHRIST. CERTAINS REFUSENT LE
CALENDRIER DE CONSTANTIN ET TOUS LES VESTIGES DE L'ANCIEN MONDE POLYTHÉISTE.
MAIS CE QUI IMPORTE POUR DIEU, C'EST LE RESPECT DE SES RÈGLES DANS LE TERME
DE SA CONSCIENCE. IL EST INTERDIT DE PRIER UNE AUTRE MÉTAPHORE DE DIEU MAIS
CELA FUT ECRIT PAR LE FAIT QUE LA FEMME ET L'HOMME SE DÉTOURNÈRENT DE LA
CONNAISSANCE DE DIEU.

LA LAÏCITÉ EST POUR L'ESPRIT DE JUSTICE DE DIEU ET ACCORDE UNE MISÉRICORDE
VERS LES AGNEAUX, LOUPS ET ROSES QUI SE DÉTOURNENT DE LA VISION DE DIEU
ET DE VENGEANCE SELON SODOME ET GOMORRHE; ET C'EST AINSI QUE UNE SORTE DE JARDIN
D’ÉDEN SE CRÉA AUTOUR DE LA LAÏCITÉ. CERTES ? CE JARDIN SE FAIT HUMBLE DEVANT SES
INJUSTICES CAR SANS VOULOIR ÊTRE SUPÉRIEUR à DIEU, IL CHERCHE à L’ÉGALER DANS
LE CONCEPT DE NUDITÉ, DE VISION, D’ÉGALITÉ ET DE RESPECT.

ALORS, CERTAINS DISENT QUE LA LAÏCITÉ EST PEUPLE DE MÉCRÉANTS ET DE SERPENTS
ET ILS DÉSIGNENT DES IMAGES TEL QUE L’HOMOSEXUALITÉ, LA RACE, LE CROIRE,
LE CONCEPT DE JUSTICE COMME ÉTANT LES DÉGÉNÉRESCENCE DE NOTRE SOCIÉTÉ
ET DE NOS ÂMES. LE PÉCHER DEVIENT LEURS CONSCIENCES DE VIVRE ET AINSI ILS
FONT NAÎTRE DES INQUISITIONS, DES MASSACRES ET DES FEUX DE BENGALIES DIGNE
DES PLUS MACABRES DANSES DU MALHEUR DÉCRIT DANS L'ENFER DE DANTE.

J'ENTENDS DIEU PLEURER AU COTE DE LA LAÏCITÉ. JE LUI DIT DANS MA PRIÈRE DE ARIELLE
ET DE ARIEL, LES VENTS DE LA VENGEANCE:
"POURQUOI DÉTRUIRE L’ŒUVRE D'UNE VIE POUR UNE SEULE DE TES CRÉATIONS,
QUI EST L'HOMME POUR UN TEL INTÉRÊT, TU LUI PERMET DE RÊVER ET LUI INTERDIT L'ART
DE L'AUTRUI; JE ME SAIS DESIGNER PAR LA MARQUE NOIRE ET POURTANT, ILS CÉLÈBRENT
AVEC JOIE TON RETOUR DANS LA CONVICTION D’ÊTRE TES ENFANTS. JE CROIS AUX
ÉTOILES MALGRÉ LEURS ADVERSITÉS CAR ELLES SONT L'ENSEMBLE DE LA CRÉATION;
TU AS DIT à ABRAHAM QUE L'HOMME AURA DROIT à DES ÉTOILES DANS L'UNIVERS TANT
QUE DES SACRIFICES HUMAINS NE SERONT PAS REVENDIQUÉS EN TON NOM.

JE PRENDS CONSCIENCE DU NOM DE JÉSUS CHRIST ET DE SON PARDON, DU PRINCIPE DE
SON CALENDRIER MAIS, O ÉTERNEL. QUAND ILS TUENT S'EST POUR REJOINDRE TON PARADIS
ET CELA EST UN SACRIFICE HUMAIN DE SOI ET DE SES VICTIMES... PLUS COUPABLE
DE LEURS CRIMES QUE LES SACRIFICATEURS INDIENS EXTERMINÉS PAR TA COLÈRE
ET LA MÉCHANCETÉ AVIDE DE L'OR: MAINTENANT, C'EST LE PÉTROLE QUI EST LA DEVISE DE DIEU.
L'HOMME EST CONFRONTE à LA VISION DU REFLET DE SON ÉGALITÉ; DIEU N'EST PLUS
JUSTICE DE DIEU ET L'HOMME EST DEVENU L'ADORATEUR DE L'HOMME ET DE SES SERVANTES.

IL POINTE DU DOIGT ET LÈVE LE POUCE TEL UN EMPEREUR ROMAIN DANS UNE ARÈNES;
DES TRIOMPHATEURS DE LA VERTU AU SERVICE DE L'ARROGANCE. LE PEUPLE N'EST PLUS
DANS LE CONCEPT DE PYRAMIDE ET DANS SON MALHEUR, IL TROUVE IVRESSE DANS LE REGARD
DE CEUX QUI CONSTRUISENT à PRÉSENT DES CERCUEILS POUR L’INTÉRÊT DE DIEU ET DE LEUR
PROPHÈTE... TEL LE LOUP QUI DÉVORE L'AGNEAU SOUS PRÉTEXTE DE NE PAS VOULOIR
PARTAGER SA FONTAINE: IDOLÂTRIE, SACRIFICE HUMAIN ET MENSONGE SONT LES ARGUMENTS
DES ATTENTATS DE CEUX QUI SE REVENDIQUENT ÊTRE DE LA JUSTICE DE DIEU.

O ÉTERNEL DONNE MOI UN MIROIR; ET CELUI DE FAIRE ENTENDRE LE CŒUR DE TA VISION.
JE NE TRANCHERAI PAS LA TÈTE DE MÉDUSE CAR CELUI QUI POSSÈDE LE REGARD DE DIEU:
PROVOQUE LA CLAMEUR DANS LA CHEVELURE DE LA GORGONE... SES SERPENTS QUI SONT LES
ÂMES VICTIMES DES SACRIFICES ODIEUX ET HUMAINS DICTÉS AU NOM DE DIEU
ET DES CALENDRIERS. LA LAÏCITÉ M'AS APPRIS LA RIGUEUR ET LE JUGEMENT. LA RÉPUBLIQUE
ET LA DÉMOCRATIE M'ONT DONNÉE CE REGARD NOUVEAU VERS DIEU SI JE TRANSFORME LES
IDOLES EN DES IDÉES SUR LE MULTIPLE DE DIEU ALORS CES TERRORISTES
DEVIENNENT DES SACRIFICATEURS HUMAINS AUX YEUX DE L’ÉTERNEL. MON DIEU; ET EN TOUTE
LOUANGE, JE PEUX LEUR BARRER LA ROUTE DE L’ÉTERNITÉ ET DE LEURS QUARANTE VIERGES.

NON à LA FAIM ET OUI à LA GRÉVE
NON AUX ESCLAVAGES, TORTURES ET VIOLS QU'ILS SOIENT PHYSIQUES ET MORAUX...

Y'BECCA

LE REGARD D'UN JUGE LAÏC DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER
DANS LA FOI DE DIEU ET AU REGARD PORTÉ SUR LE SECOURISME
ET LE PARTAGE...

NON à LA FAIM ET OUI à LA GRÉVE
NON AUX ESCLAVAGES, TORTURES ET VIOLS QU'ILS SOIENT PHYSIQUES ET MORAUX...

Y'BECCA

ECRIT DU CITOYEN TIGNARD YANIS
ET DU
JUGE SUPRÊME DE LA RÉPUBLIQUE DE L'OLIVIER
ALIAS
TAY La chouette effraie

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