Le Rien, la Nudité, Y'becca, La Laïcité
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Le rien n'est pas arrivé là par hasard, il a forcément été créé. Vous connaissez-tous le proverbe: On n'a rien sans rien. Supposons que Dieu était là depuis toujours

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L'EXODE, LE PATRIMOINE HUMAIN, LA MÉDECINE ET NOÉ

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yanis la chouette



MON EXODE ET MON ESPÉRANCE POUR L'HUMAINE ET L'HUMAIN...
MON DEVOIR ET LE RESPECT ENVERS LES ANIMAUX DE LA TERRE

MR MACRON EMMANUEL, L'EUROPE, UNE IDÉE DIGNE DES MERVEILLES DU MONDE ET ELLE SE RANGE DANS L'ASPECT DU PATRIMOINE. LE CROIRE S'EST L'HOMME. CROIRE EN L'AUTONOMIE FÉMININE DES L'ADOLESCENCE, CROIRE AUX UNIONS LIBRES ET AUX DIFFÉRENTS ASPECTS DU MARIAGE LAÏC, CELA N'EST PAS L'EUROPE: IL S4AGIT DU PROTESTANTISME ET DE LA VALEUREUSE LAÏCITÉ QUI EST UNE DES RARES EN TERME D'HUMANISME à POUVOIR PRÉTENDRE au TERME D'HUMANISME TOUT COMME LA CHARITÉ ET LE DEUIL à L’ESPÉRANCE DE DIRE ET DE CROIRE: NOUS SOMMES UN DANS NOTRE MULTIPLE...
POUR LE CLANS DES MOUETTES ET Y'BECCA...

CITOYEN TIGNARD YANIS

Invocation de François-René de CHATEAUBRIAND (1768-1848)

Je voudrais célébrer dans des vers ingénus
Les plantes, leurs amours, leurs penchants inconnus,
L'humble mousse attachée aux voûtes des fontaines,
L'herbe qui d'un tapis couvre les vertes plaines,
Sur ces monts exaltés le cèdre précieux
Qui parfume les airs, et s'approche des cieux
Pour offrir son encens au Dieu de la nature,
Le roseau qui frémit au bord d'une onde pure,
Le tremble au doux parler, dont le feuillage frais
Remplit de bruits légers les antiques forêts,
Et le pin qui, croissant sur des grèves sauvages,
Semble l'écho plaintif des mers et des orages :
L'innocente nature et ses tableaux touchants,
Ainsi qu'à mon amour auront part à mes chants.

(écrit à l'âge de 16 ans)

L'ÉTAT S'EST UNE ÉTHIQUE, LA NATION EST UNE CONVICTION ET LA PERSONNALITÉ EST UNE CONSCIENCE, MONSIEUR MACRON EMMANUEL, C'EST AINSI. Y'BECCA

L'EUROPE EST UN IDÉALISME, TOUTES LES CIVILISATIONS VIENNENT D'UN BERCEAU, IL SE RÉVEILLERA. LA POLITIQUE SERA DEVANT CE FAIT: L'A.D.N. SIDA

MR MACRON EMMANUEL, L'EUROPE, UNE IDÉE DIGNE DES MERVEILLES DU MONDE ET ELLE SE RANGE DANS L'ASPECT DU PATRIMOINE. LE CROIRE S'EST L'HOMME.

MR MACRON EMMANUEL, L'EUROPE EST UNE IDÉE DIGNE DES MERVEILLES DU MONDE ET ELLE SE RANGE DANS L'ASPECT DU PATRIMOINE. LE CROIRE S'EST L'HOMME.

TOUT COMME L'EURO, L'EUROPE N'EST PLUS UN ASPECT DE COMMUNICATION ET DE FRATERNITÉ MAIS UN DIGNE COMBAT HUMAIN: MAIS LA POLITIQUE L'A MUÉE.

LE CENTRALISME N'EST PAS UNE MORT: LE FAIT DE SOUFFRIR D'EGO SUR L'ÉVOLUTION EST LE GRAND PROBLÈME DE L'HUMANITÉ. DIT LE SCORPION À ORION.

La forêt de François-René de CHATEAUBRIAND (1768-1848)

Forêt silencieuse, aimable solitude,
Que j'aime à parcourir votre ombrage ignoré !
Dans vos sombres détours, en rêvant égaré,
J'éprouve un sentiment libre d'inquiétude !
Prestiges de mon coeur ! je crois voir s'exhaler
Des arbres, des gazons une douce tristesse :
Cette onde que j'entends murmure avec mollesse,
Et dans le fond des bois semble encor m'appeler.
Oh ! que ne puis-je, heureux, passer ma vie entière
Ici, loin des humains !... Au bruit de ces ruisseaux,
Sur un tapis de fleurs, sur l'herbe printanière,
Qu'ignoré je sommeille à l'ombre des ormeaux !
Tout parle, tout me plaît sous ces voûtes tranquilles ;
Ces genêts, ornements d'un sauvage réduit,
Ce chèvrefeuille atteint d'un vent léger qui fuit,
Balancent tour à tour leurs guirlandes mobiles.
Forêts, dans vos abris gardez mes voeux offerts !
A quel amant jamais serez-vous aussi chères ?
D'autres vous rediront des amours étrangères ;
Moi de vos charmes seuls j'entretiens les déserts.

La mer de François-René de CHATEAUBRIAND (1768-1848)

Des vastes mers tableau philosophique,
Tu plais au coeur de chagrins agité :
Quand de ton sein par les vents tourmenté,
Quand des écueils et des grèves antiques
Sortent des bruits, des voix mélancoliques,
L'âme attendrie en ses rêves se perd,
Et, s'égarant de penser en penser,
Comme les flots de murmure en murmure,
Elle se mêle à toute la nature :
Avec les vents, dans le fond des déserts,
Elle gémit le long des bois sauvages,
Sur l'Océan vole avec les orages,
Gronde en la foudre, et tonne dans les mers.

Mais quand le jour sur les vagues tremblantes
S'en va mourir ; quand, souriant encor,
Le vieux soleil glace de pourpre et d'or
Le vert changeant des mers étincelantes,
Dans des lointains fuyants et veloutés,
En enfonçant ma pensée et ma vue,
J'aime à créer des mondes enchantés
Baignés des eaux d'une mer inconnue.
L'ardent désir, des obstacles vainqueur,
Trouve, embellit des rives bocagères,
Des lieux de paix, des îles de bonheur,
Où, transporté par les douces chimères,
Je m'abandonne aux songes de mon coeur.

PROPOS ET SYNTHÈSE POUR VICTOR HUGO ET CHARLES BAUDELAIRE
PAR
CITOYEN TIGNARD YANIS

yanis la chouette



Talmud de Jérusalem
Autrefois, Dans la rue du Taur à Toulouse, il y avait un restaurateur Libanais, sa Femme et un de ses fils...
Dans ce restaurant Kebab Libanais, le seul qui le faisait avec une galette et pas avec un pain...
Le restaurateur m'enseigna le Talmud et m'appris à discerner le bon, la Brute et Le Truand selon celui de
Jérusalem à ne pas confondre avec l'Universel Babylone...
J'ai appris une autre numérotation que celle du Pardon et ne croyez pas qu'il s'agisse de la
vengeance... C'est celle de la Justice des Juges sur le serment de David.
Ainsi Parlait Zarathoustra.
Ainsi est Jérusalem devant Babylone.
Le témoin de cette histoire est Tristan le Charpentier ami de Attou Magali et Clemence Tednoudji.
Son plaisir était de partager son thé à la menthe et il était fier des études de droit de son fils.
Un jour, j'ai aidé son fils à décharger un camion difficile, celui ci me dit que veut tu ?
"Rien" ai je répondu au fils mais le père m'invita à boire un thé... "
et c'est ainsi que j'ai appris à voir l'enseignement du Talmud de Jérusalem... L'avarice et la convoitise
ronge les profiteurs et surpris sur l'aspect des lois qui engendre richesse sur le palais en oubliant
la rue. Surpris de voir que quand je fais dix heures, on me dit : je te donne neuf heures,
tu me donnes une heure pour la charité et tu m'en fais une de plus pour la gratitude et le pardon.
Mais voilà l'aspect de charité est une forme d'aveu de déséquilibre de l'égalité dans le terme du
légal et du temps: C'est une forme avancé de profit sur l'aspect de l'harmonie pour celui qui est
charitable dans un aspect du temps et; celui qui devient l'aspect même de la mauvaise foi car
il est celui qui se donne de l'importance dans l'attribution du Temps.
Talmud de Jérusalem

Ecrit
de
Monsieur Tignard Yanis
ou
TAY
La chouette effraie

Le Printemps, l'Eté et l'Hiver de François-René de CHATEAUBRIAND (1768-1848)

Vallée au nord, onduleuse prairie,
Déserts charmants, mon coeur, formé pour vous,
Toujours vous cherche en sa mélancolie.
A ton aspect, solitude chérie,
Je ne sais quoi de profond et de doux
Vient s'emparer de mon âme attendrie.
Si l'on savait le calme qu'un ruisseau
En tous mes sens porte avec son murmure,
Ce calme heureux que j'ai, sur la verdure,
Goûté cent fois seul au pied d'un coteau,
Les froids amants du froid séjour des villes
Rechercheraient ces voluptés faciles.
Si le printemps les champs vient émailler,
Dans un coin frais de ce vallon paisible,
Je lis assis sous le rameux noyer,
Au rude tronc, au feuillage flexible.
Du rossignol le suave soupir
Enchaîne alors mon oreille captive,
Et dans un songe au-dessus du plaisir
Laisse flotter mon âme fugitive.
Au fond d'un bois quand l'été va durant,
Est-il une onde aimable et sinueuse
Qui, dans son cours, lente et voluptueuse,
A chaque fleur s'arrête en soupirant ?
Cent fois au bord de cette onde infidèle
J'irai dormir sous le coudre odorant,
Et disputer de paresse avec elle.
Sous le saule nourri de ta fraîcheur amie,
Fleuve témoin de mes soupirs,
Dans ces prés émaillés, au doux bruit des zéphyrs,
Ton passage offre ici l'image de la vie.
En des vallons déserts, au sortir de ces fleurs,
Tu conduis tes ondes errantes :
Ainsi nos heures inconstantes
Passent des plaisirs aux douleurs.
Mais si voluptueux, du moins dans notre course,
Du printemps nous allons jouir,
Nos jours plus doucement s'éloignent de leur source,
Emportant avec eux un tendre souvenir :
Ainsi tu vas moins triste au rocher solitaire,
Vers ces bois où tu fais toujours,
Si de ces prés ton heureux cours
Entraîne quelque fleur légère.
De mon esprit ainsi l'enchantement
Naît et s'accroît pendant tout un feuillage.
L'aquilon vient, et l'on voit tristement
L'arbre isolé sur le coteau sauvage
Se balancer au milieu de l'orage.
De blancs oiseaux en troupes partagés
Quittent les bords de l'Océan antique :
Tous en silence à la file rangés
Fendent l'azur d'un ciel mélancolique.
J'erre aux forêts où pendent les frimas :
Interrompu par le bruit de la feuille
Que lentement je traîne sous mes pas,
Dans ses pensers mon esprit se recueille.
Qui le croirait ? plaisirs solacieux,
Je vous retrouve en ce grand deuil des cieux :
L'habit de veuve embellit la nature.
Il est un charme à des bois sans parure :
Ces prés riants entourés d'aunes verts,
Où l'onde molle énerve la pensée,
Où sur les fleurs l'âme rêve bercée
Aux doux accords du feuillage et des airs,
Ces prés riants que l'aquilon moissonne,
Plaisent aux coeurs. Vers la terre courbés
Nous imitons, ou flétris ou tombés,
L'herbe en hiver et la feuille en automne.

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La Fermentation ou L'Univers et Les Arbres...

Les étoiles se consument, pourtant, l'électrique attire
l’électricité statique... Quelles sont les combustions qui
permet de créer l'éclair... Unique et multiple tout comme à
chacun, je me laisse bercer dans ces questions soulevant
un nuage de poussières pour y attraper des réponses
élémentaires. Certains y cherchent de l'or, je me recueille à
y trouver des informations sur le temps et le présent.

En effet, dans mon vocabulaire provinciale, la masse compose
l'infini, les étoiles bien sur nous fixent toujours des angles et
cela ne fut toujours pas le cas.

"LE SENS ET L'ATOME": Me jete le Horla de MAUPASSANT GUY et
RAPHAEL de LA Peau de Chagrin, mon esprit se mets à bouillir et
évapore cette réaction au surnaturel...

Le lait tout comme la chaleur provient de la fermentation et de l'union,
Car même si l'univers rétrécie tout comme le lait se modifie;
Son énergie demeure infini dans la condition de la circonstance
et de l'environnement... Le contexte se modifie mais il demeure...

Alors, Sache qu'une étincelle n'est pas uniquement de feu, c'est une
évolution issu et voué à une modification qui se perpétue en des aspects
autres qu'au visuel: transparente et invisible, demeure la perceptive
d'un mouvement moléculaire temporelle sensorielle concluant, définissant
les aspects de vie et de mort dans la perceptive d'un environnement
d'un système voué à l’Éternité... L'Infini dans la vie et la Vie dans l'infini...
INFINI ET VIE...

ECRIT DU
CITOYEN TIGNARD YANIS

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