LE CONSENTEMENT PRENDS EN COMPTE LA CAPACITÉ MORALE DU MINEUR MAIS IL EXISTE LA CHAIR ET SA FORMATION. AVOIR DES RÈGLES DONNE UNE APTITUDE À FÉCONDER MAIS IL Y A DES RISQUES: LA JEUNE FILLE DOIT PASSER DES EXAMENS RADIOLOGIQUE DANS L'INTÉRÊT MORALE DE SON AVENIR. TAY
donc
La majorité des organes sexuels mâle et femelle proviennent des mêmes tissus du développement d'un fœtus. La vulve n'est pas différente. L'anatomie de la vulve est liée à l'anatomie des organes génitaux masculins par une biologie développementale partagée. De cette façon, les organes qui ont une ascendance développementale commune seraient homologues.
Le gland du clitoris est homologue au gland du pénis chez les mâles, et le corps du clitoris et la hampe du clitoris sont homologues au corps caverneux du pénis. Les grandes et petites lèvres et le capuchon du clitoris sont homologues au scrotum, à la peau de la hampe du pénis, et au prépuce, respectivement. Les bulbes vestibulaires sous la peau des petites lèvres sont homologues au corpus spongiosum penis, le tissu du pénis qui entoure l'urètre. Les glandes vestibulaires principales sont homologues aux glandes de Cowper chez les mâles.
la ceinture pelvienne:
Ceinture pelvienne
La ceinture pelvienne est le dispositif osseux qui, chez les vertébrés, permet de relier et d'articuler les membres inférieurs à la colonne vertébrale. Contrairement à la ceinture scapulaire, la ceinture pelvienne est fréquemment soudée au squelette axial. Absente chez les lamproies qui ne possèdent pas de nageoires pelviennes, elle est présente et indépendante de la colonne vertébrale chez les poissons. Chez les tétrapodes, la vie terrestre implique une étroite liaison avec le squelette axial en raison du rôle particulier des membres postérieurs (ou inférieurs) : ils supportent le poids du corps et assurent le rôle principal dans la propulsion ; la jonction s'opère au niveau de l'ilion. La ceinture pelvienne est susceptible de régresser, voire de disparaître, en cas de régression ou de perte des membres postérieurs. Chez l'homme, elle forme le bassin osseux. Chez les femmes, le bassin est surtout incliné vers l'avant et l'ouverture plus large. De plus, il est lisse mince et léger. Tandis que chez l'homme, il est moins incliné vers l'avant et il a une ouverture plus étroite. Il est aussi plus épais et plus lourd.
Articulations
La ceinture pelvienne est composée, au niveau articulaire de :
La symphyse pubienne (articulation cartilagineuse)
Les articulations plates sacro-illiaques droite et gauche
ainsi
Chez les mammifères donc l'humain aussi, la symphyse pubienne est l'articulation antérieure du bassin, entre les os coxaux. C'est un tissu de cartilage fibreux, situé en avant de la vessie et au-dessus des organes génitaux.
Pour la femelle, il est au-dessus de la vulve et pour le mâle au-dessus du pénis.
Chez les mâles, le ligament suspenseur du pénis s'attache à la symphyse pubienne. Chez les femelles, la symphyse pubienne est intimement reliée au clitoris.
L'écartement systématique de la symphyse pubienne peu de temps avant la mise à bas est une particularité anatomique du cobaye. Cette disjonction peut se rencontrer accidentellement chez d'autres espèces (chez l'humain notamment).
Il faut également noter que la symphyse pubienne est une articulation cartilagineuse de type amphiarthrose très peu mobile. Elle est plus horizontale chez la femme que chez l'homme.
de plus;
L'articulation sacro-iliaque est l'articulation du sacrum avec les deux os iliaques (il y a donc deux articulations sacro-iliaques, à droite et à gauche du sacrum).
Cette articulation dite "en coin" est maintenue par une capsule et un réseau de trois ligaments très puissants sur sa face postérieure qui forment plusieurs plans (du plus au moins superficiel) :
Un plan inter-osseux
Un plan inter-articulaire, s'insérant sur les processus articulaires des vertèbres sacrées
Un plan inter-transversaire, s'insérant lui sur les processus transverses des vertèbres sacrées.
Sur la face antérieure, deux ligaments, moins puissants que les postérieurs, renforcent cette articulation.
C'est une articulation amphi-diarthrose ou di-amphiarthrose car on considère deux types articulaires : une amphiarthrose (partie postérieure) et une diarthrose (partie antérieure ou surface auriculaire). Rail plein côté os iliaque, rail creux du côté du sacrum. Il n'y a pas de muscles articulant ces os entre eux mais on y décrit les mouvements du sacrum dans le plan sagittal qui sont la nutation et la contre-nutation (respectivement qui rapprochent ou éloignent les ailes iliaques, bascule le plateau sacré en avant ou en arrière). Ces mouvements sont minimes dans la vie courante et sont particulièrement intéressants pour l'accouchement car ils modifient le volume du petit et du grand bassin permettant le passage du bébé dans le bassin (engagement par franchissement du détroit supérieur) puis l'expulsion.
alors,
La vulve (du latin volva, puis de vulva, « utérus ») est l'ensemble des organes génitaux externes de la femme et de certaines femelles de mammifères, constitué principalement des grandes et des petites lèvres enserrant l'entrée du vagin, de la partie externe du clitoris et du méat urinaire1.
Son développement se fait en plusieurs phases : les périodes fœtale et pubertaire en sont les plus importantes. Véritable porte de la matrice humaine, elle en protège l'ouverture par une flore microbienne normale qui s'écoule de l'intérieur vers l'extérieur. Une hygiène vulvaire simple est suffisante.
L'ensemble de ces organes externes ont une fonction sexuelle liée au plaisir : ils sont richement innervés, spécialement le gland du clitoris et participent à l'acte sexuel lorsqu'ils sont sollicités adéquatement. Depuis toujours, la vulve fait l'objet de représentations artistiques diverses qui représentent le pouvoir que son organe interne a pour « donner la vie », et le plaisir sexuel qu'il procure, « paradis perdu » des hommes et des femmes.
Cet article traite essentiellement de la vulve humaine, le sexe de la femme ; bien que ses structures soient similaires à celles d'autres mammifères.
Vue d'ensemble
Chez l'être humain, le sexe de la femme est composé de plusieurs structures anatomiques majeures (du haut vers le bas) :
le mont du pubis, et ses poils pubiens : en bas du ventre ;
les grandes lèvres, placées de part et d'autre, grands replis de peau adipeux ;
les petites lèvres, replis muqueux, à l'intérieur ;
le clitoris, organe érectile et son capuchon ou prépuce clitoridien, au sommet des petites lèvres. Formé de deux corps caverneux, il est placé à l'avant de la vulve, et le gland du clitoris est en partie protégé par le capuchon formé par les petites lèvres. Il est caractérisé par sa sensibilité due à sa grande richesse en terminaisons nerveuses4 ;
le méat urinaire, ouverture de l'urètre par laquelle l'urine est expulsée lors de la miction, en dessous du clitoris ;
le vestibule vulvaire, dépression centrale de la vulve, avec au fond de cette dépression le méat urinaire et l'entrée du vagin4 ;
entre les petites lèvres, l'entrée du vagin ou orifice vaginal ;
la fourchette vulvaire, en dessous de l'orifice vaginal, qui unit les nymphes, par leur extrémité postérieure pour former le pli commissural de Jayle.
La vulve comporte aussi d'autres structures :
le périnée, large ensemble de muscles sous la peau, tout autour de la vulve et pas seulement entre l'anus et les grandes lèvres (voir le schéma dans l'article détaillé), comprenant en particulier le muscle pubo-coccygien dont la tonicité peut être renforcée par un exercice de Kegel et jouer un rôle important dans les relations sexuelles ou simplement pour la rééducation périnéale après un accouchement.
des glandes sébacées, sur les grandes lèvres ;
les glandes vaginales, moins visibles à l'œil nu :
les glandes vestibulaires principales, deux petits orifices situés à gauche et à droite de l'orifice vaginal, dans l'épaisseur des grandes lèvres, qui sécrètent de la cyprine pour la lubrification vaginale. D'une dimension d'environ 15 mm × 8 mm × 5 mm, leurs orifices s'ouvrent dans le sillon sous-hyménéal entre l'hymen et les petites lèvres4 ;
les glandes para-urétrales, deux petits orifices à gauche et à droite du méat urinaire, qui peuvent expulser un fluide proche du liquide séminal masculin à l'approche ou au moment de l'orgasme.
Structures externes[modifier | modifier le code]
Le mont du pubis (mons pubis) est un renflement mou à l'avant de la vulve est constitué d'un tissu adipeux recouvrant la symphyse pubienne.
Le mont du pubis se sépare en deux replis cutanés, les grandes lèvres (labia majora en latin, « lèvres principales »), allongées sagitalement sur environ huit centimètres, présentent une face interne lisse et une face externe couverte de poils. Leur partie antérieure atteint le mont du pubis couvert de poils pubiens et leur partie postérieure se rejoint en formant la commissure postérieure4.
Fente vulvaire
La fente antéro-postérieure (d'un axe allant de la partie avant à la partie arrière) entre les deux grandes lèvres s'appelle la « fente vulvaire » ou fente pudendale. Elle contient et protège les autres structures plus sensibles de la vulve. Les grandes lèvres se divisent sous le mont du pubis puis se rejoignent dans un secteur plat entre la fente pudendale et l'anus, appelé périnée ((la) perineum).
Structures internes
Les petites lèvres (labia minorae) sont deux replis mous de peau à l'intérieur des grandes lèvres.
Le clitoris est placé à l'avant de la vulve, où se rejoignent les petites lèvres. La partie évidente du clitoris est le gland du clitoris ((la) glans clitoridis, litt. « gland clitoridien »). Typiquement, le gland du clitoris possède la taille et la forme d'un petit pois, bien qu'il puisse être sensiblement plus grand ou plus petit. Il est extrêmement sensible, et contient autant de terminaisons nerveuses que l'organe analogue chez les mâles, le gland du pénis. Le point où s'attachent les petites lèvres, proche du clitoris, s'appelle le frein du clitoris ((la) frenulum clitoridis). Un prépuce, ou capuchon clitoridien, normalement couvre et protège le clitoris. Toutefois chez les femmes avec un clitoris particulièrement grand ou avec un petit prépuce, le gland du clitoris peut s'exposer partiellement ou complètement à tout moment. Il arrive souvent que seul le capuchon du clitoris soit partiellement caché à l'intérieur de la fente pudendale.
Vestibule
Article détaillé : Vestibule vulvaire.
La région entre les petites lèvres s'appelle le vestibule vulvaire, et il contient les ouvertures vaginales et urétrales. L'hymen marque la limite entre le vestibule et l'entrée du vagin. Le vestibule est limité latéralement par les petites lèvres4.
Le méat urinaire (du latin : meatus, litt. « ouverture urétrale ») est localisé au-dessous du clitoris et au-dessus de l'ouverture vaginale. C'est par le méat que jaillit l'urine de la vessie vers l'extérieur du corps.
L'ouverture (ou orifice ou introît) du vagin est localisée au fond du vestibule vulvaire, vers le périnée. Chez une femme vierge, elle est plus ou moins fermée par une membrane, appelée hymen. Celui-ci se détend ou se rompt lors du premier coït vaginal.
Légèrement au-dessous, à gauche et à droite de l'orifice vaginal sont deux Glande vestibulaire principale qui produisent une substance cireuse, la cyprine qui contient des phéromones, et dont le but n'est pas entièrement connu.
Variabilité[modifier | modifier le code]
L'aspect de la vulve, la taille de ses diverses parties et leur couleur changent beaucoup d'une femme à une autre4, et il est commun que les côtés gauche et droit diffèrent dans l'aspect. Il arrive que les « petites » lèvres soient de taille considérable, et saillent extérieurement. Une grande partie des différences entre les vulves est dans la variation significative de la taille, forme et couleur des petites lèvres.
La couleur de la peau extérieure aux grandes lèvres est habituellement proche de la couleur globale de la peau de l'être, bien qu'il y ait des variations considérables. La peau et les muqueuses internes sont souvent de couleur rose ou brunâtre. Après le début de la puberté, le mont du pubis et les lèvres externes deviennent couverts par le poil pubien. Cette pilosité se prolonge parfois aux cuisses et au périnée intérieurs.
ainsi,
LE CONSENTEMENT PRENDS EN COMPTE LA CAPACITÉ MORALE DU MINEUR MAIS IL EXISTE LA CHAIR ET SA FORMATION. AVOIR DES RÈGLES DONNE UNE APTITUDE À FÉCONDER MAIS IL Y A DES RISQUES: LA JEUNE FILLE DOIT PASSER DES EXAMENS RADIOLOGIQUE DANS L'INTÉRÊT MORALE DE SON AVENIR. TAY
Squelette humain
Crâne et face Neurocrâne : frontal · pariétaux · occipital · temporaux · sphénoïde · ethmoïde
Viscérocrâne : nasaux · lacrymaux · vomer · palatins · cornets nasaux inférieurs · maxillaires · zygomatiques · mandibule · hyoïde · marteau · enclume · étrier
Rachis, cage thoracique et bassin Vertèbres (cervicales [dont atlas et axis] · thoraciques · lombaires) · sacrum · coccyx · coxaux · sternum · côtes
Ceinture scapulaire et squelette du membre supérieur Ceinture scapulaire : scapula, clavicule, sternum · Épaule : Ceinture scapulaire, humérus · Membre supérieur : Bras : humérus, Avant-bras : ulna, radius
Main : carpe (scaphoïde · lunatum · triquetrum · pisiforme · trapèze · trapézoïde · capitatum · hamatum) · métacarpe (métacarpiens) · phalanges
Squelette du membre inférieur Cuisse : fémur · patella · fabella / Jambe : tibia · fibula
Pied : tarse (talus · calcanéus · cuboïde · naviculaire · cunéiformes) · métatarse (métatarsiens) · phalanges · cyamella
Os sésamoïde · Os · Maladies du squelette
RAPPORT DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
ALIAS
TAY
La chouette effraie
donc
La majorité des organes sexuels mâle et femelle proviennent des mêmes tissus du développement d'un fœtus. La vulve n'est pas différente. L'anatomie de la vulve est liée à l'anatomie des organes génitaux masculins par une biologie développementale partagée. De cette façon, les organes qui ont une ascendance développementale commune seraient homologues.
Le gland du clitoris est homologue au gland du pénis chez les mâles, et le corps du clitoris et la hampe du clitoris sont homologues au corps caverneux du pénis. Les grandes et petites lèvres et le capuchon du clitoris sont homologues au scrotum, à la peau de la hampe du pénis, et au prépuce, respectivement. Les bulbes vestibulaires sous la peau des petites lèvres sont homologues au corpus spongiosum penis, le tissu du pénis qui entoure l'urètre. Les glandes vestibulaires principales sont homologues aux glandes de Cowper chez les mâles.
la ceinture pelvienne:
Ceinture pelvienne
La ceinture pelvienne est le dispositif osseux qui, chez les vertébrés, permet de relier et d'articuler les membres inférieurs à la colonne vertébrale. Contrairement à la ceinture scapulaire, la ceinture pelvienne est fréquemment soudée au squelette axial. Absente chez les lamproies qui ne possèdent pas de nageoires pelviennes, elle est présente et indépendante de la colonne vertébrale chez les poissons. Chez les tétrapodes, la vie terrestre implique une étroite liaison avec le squelette axial en raison du rôle particulier des membres postérieurs (ou inférieurs) : ils supportent le poids du corps et assurent le rôle principal dans la propulsion ; la jonction s'opère au niveau de l'ilion. La ceinture pelvienne est susceptible de régresser, voire de disparaître, en cas de régression ou de perte des membres postérieurs. Chez l'homme, elle forme le bassin osseux. Chez les femmes, le bassin est surtout incliné vers l'avant et l'ouverture plus large. De plus, il est lisse mince et léger. Tandis que chez l'homme, il est moins incliné vers l'avant et il a une ouverture plus étroite. Il est aussi plus épais et plus lourd.
Articulations
La ceinture pelvienne est composée, au niveau articulaire de :
La symphyse pubienne (articulation cartilagineuse)
Les articulations plates sacro-illiaques droite et gauche
ainsi
Chez les mammifères donc l'humain aussi, la symphyse pubienne est l'articulation antérieure du bassin, entre les os coxaux. C'est un tissu de cartilage fibreux, situé en avant de la vessie et au-dessus des organes génitaux.
Pour la femelle, il est au-dessus de la vulve et pour le mâle au-dessus du pénis.
Chez les mâles, le ligament suspenseur du pénis s'attache à la symphyse pubienne. Chez les femelles, la symphyse pubienne est intimement reliée au clitoris.
L'écartement systématique de la symphyse pubienne peu de temps avant la mise à bas est une particularité anatomique du cobaye. Cette disjonction peut se rencontrer accidentellement chez d'autres espèces (chez l'humain notamment).
Il faut également noter que la symphyse pubienne est une articulation cartilagineuse de type amphiarthrose très peu mobile. Elle est plus horizontale chez la femme que chez l'homme.
de plus;
L'articulation sacro-iliaque est l'articulation du sacrum avec les deux os iliaques (il y a donc deux articulations sacro-iliaques, à droite et à gauche du sacrum).
Cette articulation dite "en coin" est maintenue par une capsule et un réseau de trois ligaments très puissants sur sa face postérieure qui forment plusieurs plans (du plus au moins superficiel) :
Un plan inter-osseux
Un plan inter-articulaire, s'insérant sur les processus articulaires des vertèbres sacrées
Un plan inter-transversaire, s'insérant lui sur les processus transverses des vertèbres sacrées.
Sur la face antérieure, deux ligaments, moins puissants que les postérieurs, renforcent cette articulation.
C'est une articulation amphi-diarthrose ou di-amphiarthrose car on considère deux types articulaires : une amphiarthrose (partie postérieure) et une diarthrose (partie antérieure ou surface auriculaire). Rail plein côté os iliaque, rail creux du côté du sacrum. Il n'y a pas de muscles articulant ces os entre eux mais on y décrit les mouvements du sacrum dans le plan sagittal qui sont la nutation et la contre-nutation (respectivement qui rapprochent ou éloignent les ailes iliaques, bascule le plateau sacré en avant ou en arrière). Ces mouvements sont minimes dans la vie courante et sont particulièrement intéressants pour l'accouchement car ils modifient le volume du petit et du grand bassin permettant le passage du bébé dans le bassin (engagement par franchissement du détroit supérieur) puis l'expulsion.
alors,
La vulve (du latin volva, puis de vulva, « utérus ») est l'ensemble des organes génitaux externes de la femme et de certaines femelles de mammifères, constitué principalement des grandes et des petites lèvres enserrant l'entrée du vagin, de la partie externe du clitoris et du méat urinaire1.
Son développement se fait en plusieurs phases : les périodes fœtale et pubertaire en sont les plus importantes. Véritable porte de la matrice humaine, elle en protège l'ouverture par une flore microbienne normale qui s'écoule de l'intérieur vers l'extérieur. Une hygiène vulvaire simple est suffisante.
L'ensemble de ces organes externes ont une fonction sexuelle liée au plaisir : ils sont richement innervés, spécialement le gland du clitoris et participent à l'acte sexuel lorsqu'ils sont sollicités adéquatement. Depuis toujours, la vulve fait l'objet de représentations artistiques diverses qui représentent le pouvoir que son organe interne a pour « donner la vie », et le plaisir sexuel qu'il procure, « paradis perdu » des hommes et des femmes.
Cet article traite essentiellement de la vulve humaine, le sexe de la femme ; bien que ses structures soient similaires à celles d'autres mammifères.
Vue d'ensemble
Chez l'être humain, le sexe de la femme est composé de plusieurs structures anatomiques majeures (du haut vers le bas) :
le mont du pubis, et ses poils pubiens : en bas du ventre ;
les grandes lèvres, placées de part et d'autre, grands replis de peau adipeux ;
les petites lèvres, replis muqueux, à l'intérieur ;
le clitoris, organe érectile et son capuchon ou prépuce clitoridien, au sommet des petites lèvres. Formé de deux corps caverneux, il est placé à l'avant de la vulve, et le gland du clitoris est en partie protégé par le capuchon formé par les petites lèvres. Il est caractérisé par sa sensibilité due à sa grande richesse en terminaisons nerveuses4 ;
le méat urinaire, ouverture de l'urètre par laquelle l'urine est expulsée lors de la miction, en dessous du clitoris ;
le vestibule vulvaire, dépression centrale de la vulve, avec au fond de cette dépression le méat urinaire et l'entrée du vagin4 ;
entre les petites lèvres, l'entrée du vagin ou orifice vaginal ;
la fourchette vulvaire, en dessous de l'orifice vaginal, qui unit les nymphes, par leur extrémité postérieure pour former le pli commissural de Jayle.
La vulve comporte aussi d'autres structures :
le périnée, large ensemble de muscles sous la peau, tout autour de la vulve et pas seulement entre l'anus et les grandes lèvres (voir le schéma dans l'article détaillé), comprenant en particulier le muscle pubo-coccygien dont la tonicité peut être renforcée par un exercice de Kegel et jouer un rôle important dans les relations sexuelles ou simplement pour la rééducation périnéale après un accouchement.
des glandes sébacées, sur les grandes lèvres ;
les glandes vaginales, moins visibles à l'œil nu :
les glandes vestibulaires principales, deux petits orifices situés à gauche et à droite de l'orifice vaginal, dans l'épaisseur des grandes lèvres, qui sécrètent de la cyprine pour la lubrification vaginale. D'une dimension d'environ 15 mm × 8 mm × 5 mm, leurs orifices s'ouvrent dans le sillon sous-hyménéal entre l'hymen et les petites lèvres4 ;
les glandes para-urétrales, deux petits orifices à gauche et à droite du méat urinaire, qui peuvent expulser un fluide proche du liquide séminal masculin à l'approche ou au moment de l'orgasme.
Structures externes[modifier | modifier le code]
Le mont du pubis (mons pubis) est un renflement mou à l'avant de la vulve est constitué d'un tissu adipeux recouvrant la symphyse pubienne.
Le mont du pubis se sépare en deux replis cutanés, les grandes lèvres (labia majora en latin, « lèvres principales »), allongées sagitalement sur environ huit centimètres, présentent une face interne lisse et une face externe couverte de poils. Leur partie antérieure atteint le mont du pubis couvert de poils pubiens et leur partie postérieure se rejoint en formant la commissure postérieure4.
Fente vulvaire
La fente antéro-postérieure (d'un axe allant de la partie avant à la partie arrière) entre les deux grandes lèvres s'appelle la « fente vulvaire » ou fente pudendale. Elle contient et protège les autres structures plus sensibles de la vulve. Les grandes lèvres se divisent sous le mont du pubis puis se rejoignent dans un secteur plat entre la fente pudendale et l'anus, appelé périnée ((la) perineum).
Structures internes
Les petites lèvres (labia minorae) sont deux replis mous de peau à l'intérieur des grandes lèvres.
Le clitoris est placé à l'avant de la vulve, où se rejoignent les petites lèvres. La partie évidente du clitoris est le gland du clitoris ((la) glans clitoridis, litt. « gland clitoridien »). Typiquement, le gland du clitoris possède la taille et la forme d'un petit pois, bien qu'il puisse être sensiblement plus grand ou plus petit. Il est extrêmement sensible, et contient autant de terminaisons nerveuses que l'organe analogue chez les mâles, le gland du pénis. Le point où s'attachent les petites lèvres, proche du clitoris, s'appelle le frein du clitoris ((la) frenulum clitoridis). Un prépuce, ou capuchon clitoridien, normalement couvre et protège le clitoris. Toutefois chez les femmes avec un clitoris particulièrement grand ou avec un petit prépuce, le gland du clitoris peut s'exposer partiellement ou complètement à tout moment. Il arrive souvent que seul le capuchon du clitoris soit partiellement caché à l'intérieur de la fente pudendale.
Vestibule
Article détaillé : Vestibule vulvaire.
La région entre les petites lèvres s'appelle le vestibule vulvaire, et il contient les ouvertures vaginales et urétrales. L'hymen marque la limite entre le vestibule et l'entrée du vagin. Le vestibule est limité latéralement par les petites lèvres4.
Le méat urinaire (du latin : meatus, litt. « ouverture urétrale ») est localisé au-dessous du clitoris et au-dessus de l'ouverture vaginale. C'est par le méat que jaillit l'urine de la vessie vers l'extérieur du corps.
L'ouverture (ou orifice ou introît) du vagin est localisée au fond du vestibule vulvaire, vers le périnée. Chez une femme vierge, elle est plus ou moins fermée par une membrane, appelée hymen. Celui-ci se détend ou se rompt lors du premier coït vaginal.
Légèrement au-dessous, à gauche et à droite de l'orifice vaginal sont deux Glande vestibulaire principale qui produisent une substance cireuse, la cyprine qui contient des phéromones, et dont le but n'est pas entièrement connu.
Variabilité[modifier | modifier le code]
L'aspect de la vulve, la taille de ses diverses parties et leur couleur changent beaucoup d'une femme à une autre4, et il est commun que les côtés gauche et droit diffèrent dans l'aspect. Il arrive que les « petites » lèvres soient de taille considérable, et saillent extérieurement. Une grande partie des différences entre les vulves est dans la variation significative de la taille, forme et couleur des petites lèvres.
La couleur de la peau extérieure aux grandes lèvres est habituellement proche de la couleur globale de la peau de l'être, bien qu'il y ait des variations considérables. La peau et les muqueuses internes sont souvent de couleur rose ou brunâtre. Après le début de la puberté, le mont du pubis et les lèvres externes deviennent couverts par le poil pubien. Cette pilosité se prolonge parfois aux cuisses et au périnée intérieurs.
ainsi,
LE CONSENTEMENT PRENDS EN COMPTE LA CAPACITÉ MORALE DU MINEUR MAIS IL EXISTE LA CHAIR ET SA FORMATION. AVOIR DES RÈGLES DONNE UNE APTITUDE À FÉCONDER MAIS IL Y A DES RISQUES: LA JEUNE FILLE DOIT PASSER DES EXAMENS RADIOLOGIQUE DANS L'INTÉRÊT MORALE DE SON AVENIR. TAY
Squelette humain
Crâne et face Neurocrâne : frontal · pariétaux · occipital · temporaux · sphénoïde · ethmoïde
Viscérocrâne : nasaux · lacrymaux · vomer · palatins · cornets nasaux inférieurs · maxillaires · zygomatiques · mandibule · hyoïde · marteau · enclume · étrier
Rachis, cage thoracique et bassin Vertèbres (cervicales [dont atlas et axis] · thoraciques · lombaires) · sacrum · coccyx · coxaux · sternum · côtes
Ceinture scapulaire et squelette du membre supérieur Ceinture scapulaire : scapula, clavicule, sternum · Épaule : Ceinture scapulaire, humérus · Membre supérieur : Bras : humérus, Avant-bras : ulna, radius
Main : carpe (scaphoïde · lunatum · triquetrum · pisiforme · trapèze · trapézoïde · capitatum · hamatum) · métacarpe (métacarpiens) · phalanges
Squelette du membre inférieur Cuisse : fémur · patella · fabella / Jambe : tibia · fibula
Pied : tarse (talus · calcanéus · cuboïde · naviculaire · cunéiformes) · métatarse (métatarsiens) · phalanges · cyamella
Os sésamoïde · Os · Maladies du squelette
RAPPORT DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
ALIAS
TAY
La chouette effraie