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Athene noctua Scopoli, L'AGRICULTURE et Y'becca...

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yanis la chouette



La Chevêche d'Athéna ou Chouette chevêche (Athene noctua Scopoli, 1769) est une espèce d'oiseaux de la famille des strigidés (les chouettes et hiboux) de petite taille à l'aspect trapu. C'est la plus diurne des strigidés, malgré son nom latin (Athene noctua). Dans l'Antiquité grecque, elle était l'attribut d'Athéna1, déesse de la Sagesse.

Description
Le regard "sévère" de la chevêche d'Athéna
Morphologie

Cette espèce est de petite taille, un peu plus petite qu'un pigeon (26 cm), ronde et trapue (de 180 à 200 g). Sa tête est aplatie avec un front bas ; ses yeux sont jaunes sous des sourcils blancs et froncés, ce qui lui confère un air sévère. Le crâne est piqueté de petites taches blanches. Son bec est jaune verdâtre. Sur le dessus du corps, le plumage est grisâtre semé de taches plus claires ; le poitrail est blanchâtre avec des rayures brunes. La queue est courte. Les pattes sont couvertes de petites plumes blanches. Les « déhanchements » de sa tête sont caractéristiques, de même que son vol ondoyant et son cri clair et bref, sorte de « kiou kiou » ou « kiwitt ». Les sexes sont identiques. Son envergure est de 60 cm environ.

Répartition
Répartition naturelle de la chevêche d'Athéna
L'aire de répartition d'origine de la chevêche d'Athéna est le bassin méditerranéen où elle trouvait des milieux ouverts (plantations d'oliviers) favorables à sa nidification. Elle a progressivement étendu son aire de répartition en suivant l'extension des domaines agricoles ouverts à travers le milieu forestier. Aujourd'hui, la Chevêche d'Athéna est répandue dans toute l'Europe, à l'exception de l'Irlande et de la Scandinavie.

Habitat
La chouette chevêche est un oiseau de bocage que l'on peut rencontrer un peu partout (sauf dans les boisements denses), et en général toujours à proximité des cultures et des prairies. On la rencontre notamment dans les milieux ouverts et cultivés comme les vergers où elle niche dans les cavités des vieux arbres d'où son nom de « chouette des pommiers ». On la trouve aussi dans les clapas, dans les bosquets, les trous de murs, les nichoirs — à condition qu'ils soient dans l'obscurité. Elle reste fidèle au même logement d'année en année et peut même nicher dans des terriers de lapin.

Comportement
Chevêche d'Athena.
Chevêche d'Athena. Photographie d'Eugène Trutat, conservée au Muséum de Toulouse

C'est la plus diurne des strigidés, malgré son nom latin (Athene noctua). On peut l'observer en plein jour perchée sur des poteaux, des murets de pierre ou sur des toits, très attentive.
Alimentation et chasse

La Chevêche d'Athéna se nourrit de beaucoup d'insectes (coléoptères notamment), de criquets, perce-oreilles, mais aussi de vers de terre, de petits mammifères (surtout campagnols), de jeunes passereaux, de lézards, de batraciens et de chauves-souris.

Elle chasse le soir des insectes (hannetons surtout) et la nuit des campagnols. Il lui arrive de chasser le jour des petits oiseaux, surtout à l'époque du nourrissage des jeunes.

Ses pelotes de réjection mesurent 35 mm sur 15 mm environ.
Longévité

Elle vit en moyenne 9 ans dans la nature et 18 ans en captivité.[réf. nécessaire]
Reproduction
Juvénile

La femelle pond de 4 à 8 œufs dans son nid et couve pendant 26 à 28 jours. Les poussins naissent couverts d'un duvet épais et sont nourris d'insectes et petits vertébrés. Ils sont capables de voler puis de quitter le nid entre 28 et 35 jours.

L'œuf mesure de 32 à 37 mm par 36 à 31 mm.
Statut de conservation

En France, les effectifs de la chevêche d'Athéna ont fortement régressé au cours du XXe siècle. Elle fait l'objet en France d'une politique de repeuplement actuellement en cours d'évaluation (plan de restauration).
Menaces
Trafic routier

Les collisions avec les véhicules sont une des principales causes de mortalité (16 à 27 %) de la chevêche. En effet, la technique de chasse de cet oiseau qui consiste à voler bas ou à se poser sur le sol est une source d'accident.
Modification du milieu de vie

La chevêche subit la modification des pratiques agricoles depuis les années d'après guerre: suppression des talus, des vergers, remembrement, etc. Le milieu s'est appauvri : moins de cavités pour nicher (arbres abattus, ruines rénovées), moins de diversité alimentaire...
Pesticides

Les traitements chimiques en agriculture sont responsables de la régression de la chevêche car ils font disparaître les gros insectes dont l'espèce se nourrit et agissent probablement sur la fertilité des oiseaux. À part quelques cas d'empoisonnements par des pesticides, généralement des insecticides, en forte concentration comme pendant la destruction des criquets avec de l'arséniate dans le sud de la France en 1924 ou encore la lutte contre le campagnol terrestre avec la bromadiolone dans la Meuse en 1989, il est difficile de mesurer l'impact des faibles doses sur le métabolisme de la Chevêche.
Prédation

La chevêche a beaucoup de prédateurs potentiels à cause de sa taille modeste, de sa double vie, nocturne et diurne, et des milieux variés qu'elle occupe. Les principaux prédateurs de la chevêche sont la fouine, les chiens, les chats, le rat surmulot, l'autour des palombes, l'épervier, le faucon pèlerin, la chouette effraie.
Accidents divers

Il arrive que des chevêches soient prises au piège dans des poteaux téléphoniques creux et des cheminées. La noyade dans les abreuvoirs du bétail est possible.
Cette chevêche d'Athéna s'est coincée dans une cheminée
Actions de protection

La conservation des vieux arbres creux dans les vergers (pommiers, poiriers, pruniers, etc.) et des vieux bâtiments est indispensable pour la préservation de la chevêche. On peut aussi créer artificiellement des cavités dans un vieux mur, une maison en rénovation ou même dans une maison neuve. La pose de nichoirs spécifiques en milieu favorable est aussi possible.

Le fait de modérer l'utilisation des produits chimiques dans les cultures permet également de préserver cet oiseau.

L'obturation des poteaux téléphoniques creux par France Télécom (qui est censée respecter la loi de protection de la nature de 1976) plutôt que par des bénévoles. La pose d'un grillage sur la cheminée évite à la chevêche une chute mortelle. Placer une planche dans les abreuvoirs.
Protection

La chevêche d'Athéna bénéficie d'une protection totale sur le territoire français depuis l'arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire2. Il est donc interdit de la détruire, la mutiler, la capturer ou l'enlever, de la perturber intentionnellement ou de la naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids et de détruire, altérer ou dégrader leur milieu. Qu'elle soit vivante ou morte, il est aussi interdit de la transporter, colporter, de l'utiliser, de la détenir, de la vendre ou de l'acheter.
Symbolique

Elle doit son nom générique à la déesse grecque Athéna (Minerve chez les Romains), dont elle est l'animal symbolique. Dans la Grèce antique, la Chevêche d'Athéna, attribut d'Athéna, symbole de la Connaissance (la sagesse mais aussi la science) devint tout naturellement celui de la ville d'Athènes. On retrouve ainsi la chevêche accompagnée d'un rameau d'olivier sur les monnaies antiques de cette ville. On retrouve encore aujourd'hui la chevêche sur les pièces grecques de 1 euro.

Le logo de la société d'édition Les Belles Lettres représente une Chevêche d'Athéna inspirée d'une aryballe protocorinthienne du Musée du Louvre..

Le logo de l'École nationale supérieure de l'aéronautique et de l'espace (SUPAERO) représente une Chevêche d'Athéna stylisée.

La Chevêche d'Athéna est le symbole officieux des Classes Préparatoires Littéraires, souvent représentée dans leurs chambres ou leurs vêtements et/ou conservée en effigie en tant que symbole de la Sagesse.
Références

Référence Congrès ornithologique international : Athene noctua dans l'ordre Strigiformes [archive] (en) (consulté le 18 mai 2015)
Référence Alan P. Peterson : Athene noctua dans Strigiformes [archive] (en)
Référence Avibase [archive] : Athene noctua (Scopoli, 1769) [archive] (+ répartition [archive]) (fr+en) (consulté le 26 avril 2016)
Référence Oiseaux.net : Athene noctua [archive] (+ répartition [archive]) (fr)
Référence CITES : taxon Athene noctua [archive] (sur le site du ministère français de l'Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement) (fr) (consulté le 18 mai 2015)
Référence Fauna Europaea : Athene noctua [archive] (en)
Référence INPN : Athene noctua (Scopoli, 1769) [archive] (+ statut [archive] + description [archive]) (fr)
Référence ITIS : Athene noctua (Scopoli, 1769) [archive] (fr) (+ version anglaise [archive] (en))
Référence Animal Diversity Web : Athene noctua [archive] (en)
Référence NCBI : Athene noctua [archive] (en)
Référence UICN : espèce Athene noctua (Scopoli, 1769) [archive] (en) (consulté le 18 mai 2015)
Référence CITES : espèce Athene noctua (Scopoli, 1769) [archive] (+ répartition [archive]) (sur le site de Species+ [archive]) (en) (consulté le 18 mai 2015)

↑ Thompson, D'Arcy Wentworth. A glossary of Greek birds [archive]. Oxford, Clarendon Press 1895, p. 46.
↑ Le statut juridique des oiseaux sauvages en France, Ligue pour la protection des oiseaux

Voir aussi
Articles connexes

Rapace
Chouette
Environnement nocturne

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

Chevêche d'Athéna, sur Wikimedia Commons

La Chevêche d'Athéna [archive] : Le groupe NOCTUA est une association Belge pour la protection et l'étude de la Chevêche d'Athéna.
Vidéo de Chevêche d'Athéna filmée dans le Coto Donana en Espagne (FR+EN) [archive]

Livres

La chevêche d'Athéna - biologie, mœurs, mythologie, protection, de Jean-Claude Génot, Patrick Lecomte, aux éditions Delachaux et Niestlé (ISBN 978-2603012826)

Ecrit
de
TAY
La chouette effraie


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9 March 2017
http://orkhidion-velamen.forumactif.com/t12-athene-noctua-scopoli-l-agriculture-et-y-becca#34
Following three days of intensive work, mission control today declared the newly launched Sentinel-2B satellite fit and ready for commissioning.

The 1100 kg Sentinel was launched on Tuesday atop a Vega rocket from Europe’s Spaceport in Kourou, French Guiana. Joining its orbiting twin, the new satellite will double the high-resolution coverage from the Sentinel-2 mission for the EU’s Copernicus environmental monitoring system.

Information from the mission is helping to improve agricultural practices, monitor the world’s forests, detect pollution in lakes and coastal waters, and contribute to timely disaster mapping.

The Vega upper stage delivered Sentinel-2B into the targeted orbit just under an hour after a flawless lift off and powered flight.

Shortly after it separated from Vega, the satellite sent its first radio signals via the ground station at Yattaragga, Australia, to ESA’s mission control in Darmstadt, Germany.

Engineers could establish full data and command links and then shift into the most complex part of the challenging ‘launch and early orbit ’ phase.

During these three days, the mission control team worked shifts 24 hours per day, overseeing a critical series of initial actions.
Spacecraft operations engineer Carmen Ricote Navarro during the launch of Sentinel-2B
Engineers on console

These brought the satellite into a stable operational mode, started moving it into its final orbit and checked out the health of its systems.

“Our satellite is healthy and the entire mission control team supported by industry and colleagues from the Sentinel project have worked extremely hard to get Sentinel-2B into its planned configuration for the start of the mission,” says flight director Pier Paolo Emanuelli.

“We can declare this phase complete and, as of 20:00 GMT today, revert to routine working hours for flight control starting tomorrow.”

Since the satellite’s arrival in orbit on Tuesday morning, the team has performed numerous tasks, including confirming the solar wing was fully deployed to generate power, verifying its star trackers and GPS receiver, releasing the protective cover of its multispectral camera and conducting a test manoeuvre by firing its thrusters for nine seconds.
Flying a two-ship constellation

This period for Sentinel-2B was all the more demanding because part of the team had also to maintain, in parallel, routine control of Sentinel-2A, which has been in orbit since June 2015.

“Everything’s functioning very well, and the team has completed all steps in the timeline as planned,” says Paolo Ferri, ESA’s head of mission operations.

“With support from specialists across our centre, the team worked together to fly not one but two satellites and I am proud of the contributions made by everyone.”

Now that the craft is stable and flying normally, teams will commission it over the next three months, starting with manoeuvres that will position it in the next few weeks in its final working orbit – the same as its twin Sentinel-2A but on the other side of Earth.

During commissioning, the two main objectives are to check the satellite’s performance and to calibrate and validate the camera.

In addition, the satellite’s ability to transmit its crucial images to the ground via its laser link will be tested and commissioned.

http://www.esa.int/Our_Activities/Operations/Orbiting_in_sunshine

10 March 2017 – 10:00 CET - Earth from Space: Kamchatka

Earth from Space is presented by Kelsea Brennan-Wessels from the ESA Web-TV virtual studios. Join us every Friday at 10:00 CET for an 800 km-high tour of our planet.

http://www.esa.int/Our_Activities/Observing_the_Earth/Highlights/Live_Earth_from_Space

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Dawn Identifies Age of Ceres' Brightest Area

The bright central area of Ceres' Occator Crater, known as Cerealia Facula, is approximately 30 million years younger than the crater in which it lies, according to a new study in the Astronomical Journal. Scientists used data from NASA's Dawn spacecraft to analyze Occator's central dome in detail, concluding that this intriguing bright feature on the dwarf planet is only about 4 million years old -- quite recent in terms of geological history.

Researchers led by Andreas Nathues at the Max Planck Institute for Solar System Research (MPS) in Gottingen, Germany, analyzed data from two instruments on board NASA's Dawn spacecraft: the framing camera, and the visible and infrared mapping spectrometer.

The new study supports earlier interpretations from the Dawn team that this reflective material -- comprising the brightest area on all of Ceres -- is made of carbonate salts, although it did not confirm a particular type of carbonate previously identified. The secondary, smaller bright areas of Occator, called Vinalia Faculae, are comprised of a mixture of carbonates and dark material, the study authors wrote.

New evidence also suggests that Occator's bright dome likely rose in a process that took place over a long period of time, rather than forming in a single event. They believe the initial trigger was the impact that dug out the crater itself, causing briny liquid to rise closer to the surface. Water and dissolved gases, such as carbon dioxide and methane, came up and created a vent system. These rising gases also could have forced carbonate-rich materials to ascend toward the surface. During this period, the bright material would have erupted through fractures, eventually forming the dome that we see today.

Read more from MPS

The spacecraft is currently on its way to a high-altitude orbit of 12,400 miles (20,000 kilometers), and to a different orbital plane. In late spring, Dawn will view Ceres in "opposition," with the sun directly behind the spacecraft. By measuring details of the brightness of the salt deposits in this new geometry, scientists may gain even more insights into these captivating bright areas.

The Dawn mission is managed by JPL for NASA's Science Mission Directorate in Washington. Dawn is a project of the directorate's Discovery Program, managed by NASA's Marshall Space Flight Center in Huntsville, Alabama. UCLA is responsible for overall Dawn mission science. Orbital ATK Inc., in Dulles, Virginia, designed and built the spacecraft. The German Aerospace Center, Max Planck Institute for Solar System Research, Italian Space Agency and Italian National Astrophysical Institute are international partners on the mission team. For a complete list of mission participants, visit:

http://dawn.jpl.nasa.gov/mission

More information about Dawn is available at the following sites:

http://www.nasa.gov/dawn

http://dawn.jpl.nasa.gov

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Dawn Identifies Age of Ceres' Brightest Area

The bright central area of Ceres' Occator Crater, known as Cerealia Facula, is approximately 30 million years younger than the crater in which it lies, according to a new study in the Astronomical Journal. Scientists used data from NASA's Dawn spacecraft to analyze Occator's central dome in detail, concluding that this intriguing bright feature on the dwarf planet is only about 4 million years old -- quite recent in terms of geological history.

Researchers led by Andreas Nathues at the Max Planck Institute for Solar System Research (MPS) in Gottingen, Germany, analyzed data from two instruments on board NASA's Dawn spacecraft: the framing camera, and the visible and infrared mapping spectrometer.

The new study supports earlier interpretations from the Dawn team that this reflective material -- comprising the brightest area on all of Ceres -- is made of carbonate salts, although it did not confirm a particular type of carbonate previously identified. The secondary, smaller bright areas of Occator, called Vinalia Faculae, are comprised of a mixture of carbonates and dark material, the study authors wrote.

New evidence also suggests that Occator's bright dome likely rose in a process that took place over a long period of time, rather than forming in a single event. They believe the initial trigger was the impact that dug out the crater itself, causing briny liquid to rise closer to the surface. Water and dissolved gases, such as carbon dioxide and methane, came up and created a vent system. These rising gases also could have forced carbonate-rich materials to ascend toward the surface. During this period, the bright material would have erupted through fractures, eventually forming the dome that we see today.

Read more from MPS

The spacecraft is currently on its way to a high-altitude orbit of 12,400 miles (20,000 kilometers), and to a different orbital plane. In late spring, Dawn will view Ceres in "opposition," with the sun directly behind the spacecraft. By measuring details of the brightness of the salt deposits in this new geometry, scientists may gain even more insights into these captivating bright areas.

The Dawn mission is managed by JPL for NASA's Science Mission Directorate in Washington. Dawn is a project of the directorate's Discovery Program, managed by NASA's Marshall Space Flight Center in Huntsville, Alabama. UCLA is responsible for overall Dawn mission science. Orbital ATK Inc., in Dulles, Virginia, designed and built the spacecraft. The German Aerospace Center, Max Planck Institute for Solar System Research, Italian Space Agency and Italian National Astrophysical Institute are international partners on the mission team. For a complete list of mission participants, visit:

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Views of the excitement and activity at ESA’s mission control centre in Darmstadt, Germany, when 100 invited social-media users from almost 30 countries took part in the #Sentinel2Go launch event.

The programme included behind-the-scenes guided tours of the centre’s control facilities, briefings by mission operations experts and an ‘all-nighter’ in the event room. Participants followed the launch via live video feed from Europe’s Spaceport in Kourou, French Guiana, and could meet ESA and European specialists on land and food, coasts and security, cities and society, space technology and new business opportunities.

http://www.esa.int/Our_Activities/Operations/Highlights/Sentinel2Go_at_ESA

with

NASA's Kepler Provides Another Peek at Ultra-cool Neighbor

On Feb. 22, astronomers announced that the ultra-cool dwarf star, TRAPPIST-1, hosts a total of seven Earth-size planets that are likely rocky, a discovery made by NASA's Spitzer Space Telescope in combination with ground-based telescopes. NASA's planet-hunting Kepler space telescope also has been observing this star since December 2016. Today these additional data about TRAPPIST-1 from Kepler are available to the scientific community.

During the period of Dec. 15, 2016 to March 4, the Kepler spacecraft, operating as the K2 mission, collected data on the star's minuscule changes in brightness due to transiting planets. These additional observations are expected to allow astronomers to refine the previous measurements of six planets, pin down the orbital period and mass of the seventh and farthest planet, TRAPPIST-1h, and learn more about the magnetic activity of the host star.

"Scientists and enthusiasts around the world are invested in learning everything they can about these Earth-size worlds," said Geert Barentsen, K2 research scientist at NASA's Ames Research Center at Moffett Field, California. "Providing the K2 raw data as quickly as possible was a priority to give investigators an early look so they could best define their follow-up research plans. We're thrilled that this will also allow the public to witness the process of discovery."

The release of the raw, uncalibrated data collected will aid astronomers in preparing proposals due this month to use telescopes on Earth next winter to further investigate TRAPPIST-1. By late May, the routine processing of the data will be completed and the fully calibrated data will be made available at the public archive.

The observation period, known as K2 Campaign 12, provides 74 days of monitoring. This is the longest, nearly continuous set of observations of TRAPPIST-1 yet, and provides researchers with an opportunity to further study the gravitational interaction between the seven planets, and search for planets that may remain undiscovered in the system.

TRAPPIST-1 wasn't always on the radar to study. In fact, the initial coordinates for the patch of sky defined as Campaign 12 were set in Oct. 2015. That was before the planets orbiting TRAPPIST-1 were known to exist, so Kepler would have just missed the region of space that is home to this newfound star system of interest.

But in May 2016, when the discovery of three of TRAPPIST-1's planets was first announced, the teams at NASA and Ball Aerospace & Technologies Corp. quickly reworked the calculations and rewrote and tested the commands that would be programmed into the spacecraft's operating system to make a slight pointing adjustment for Campaign 12. By Oct. 2016, Kepler was ready and waiting to begin the study of our intriguing neighbor in the constellation Aquarius.

"We were lucky that the K2 mission was able to observe TRAPPIST-1. The observing field for Campaign 12 was set when the discovery of the first planets orbiting TRAPPIST-1 was announced, and the science community had already submitted proposals for specific targets of interest in that field," said Michael Haas, science office director for the Kepler and K2 missions at Ames. "The unexpected opportunity to further study the TRAPPIST-1 system was quickly recognized and the agility of the K2 team and science community prevailed once again."

The added refinements to the previous measurements of the known planets and any additional planets that may be discovered in the K2 data will help astronomers plan for follow-up studies of the neighboring TRAPPIST-1 worlds using NASA's upcoming James Webb Space Telescope.

During Campaign 12, a cosmic ray event reset the spacecraft's onboard software, causing a five-day break in science data collection. The benign event is the fourth occurrence of cosmic ray susceptibility since launch in March 2009. The spacecraft remains healthy and is operating nominally.

Ames manages the Kepler and K2 missions for NASA's Science Mission Directorate. NASA's Jet Propulsion Laboratory in Pasadena, California, managed Kepler mission development. Ball Aerospace & Technologies Corp. operates the flight system with support from the Laboratory for Atmospheric and Space Physics at the University of Colorado in Boulder.

For more information about the Kepler and K2 missions, visit:

http://www.nasa.gov/kepler

For more information on the TRAPPIST-1 system, visit:

http://exoplanets.nasa.gov/trappist1

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L'Emela-ntouka ("Tueur d'éléphants") est le nom d'une créature légendaire vivant dans la région du bassin du fleuve Congo et des marécages du Likouala à la frontière de la république du Congo et du Cameroun.

La légende

La légende de l'emela-ntouka vient de la mythologie des tribus pygmées qui vivent au Congo. Son nom, en langage lingala, signifie tueur d'éléphants et viendrait de son mode de vie agressif. En effet, bien qu'herbivore, il s'attaque souvent à de grands animaux, tels l'éléphant, le rhinocéros ou l'hippopotame mais sans les dévorer.

Il aurait la peau glabre de couleur grisâtre, posséderait quatre pattes robustes et sa queue ressemblerait à celle du crocodile. Selon les Pygmées et les témoins qui l'ont aperçu, il serait un peu plus grand qu'un éléphant.

En Occident, l'emela-ntouka est mentionné pour la première fois en 1954 dans un article paru dans la revue britannique Mammalia. Écrit par Lucien Blancou, ancien inspecteur de la région des marais du Likouala, en Afrique-Équatoriale française, il décrit l'animal comme étant plus grand qu'un bison. Lorsqu'il est dérangé, il peut s'attaquer aux éléphants, aux buffles et aux hippopotames.

En 1980 et 1981, un cryptozoologiste américain, Roy Mackal, organise deux expéditions au Congo à la recherche du Mokele-mbembe, une autre bête légendaire africaine. Il entend alors plusieurs témoignages d'hommes qui prétendent avoir vu l'emela-ntouka.
Le chipekwe

Un autre animal du même genre, appelé chipique par les indigènes, semble vivre en Afrique australe à la frontière de l'Angola et de la Zambie. Fréquentant les milieux aquatiques, il hanterait les abords du lac Bangwelo, du lac Moero, de la rivière Luapula et des marais de Kafue et de Dilolo. Surnommé le monstre du lac, il est décrit par les indigènes qui disent l'avoir aperçu comme un mélange de dinosaure, de rhinocéros et d'éléphant. Il est gris et, comme le rhinocéros, porte une corne sur le nez.

J. E. Hughes, dans son livre Eighteen years of Lake Bangweleu édité en 1933, fait la description d'un animal abattu par la tribu des Wa-Ushi sur les rives de la rivière Luapula, qui relie le lac Bangwelo au lac Moero. Il déclare qu'il s'agit d'un chipekwe.

En 1946, un chasseur de fauves d'Afrique du Sud, F. Gobler, déclare dans le Cape Angus, un journal du Cap, qu'un animal monstrueux mi-lézard mi-éléphant, vit dans les marais de Dilolo, à la frontière du Congo belge et de l'Angola. Il le décrit ainsi : "Le chipekwe pèse plusieurs tonnes et attaque le rhinocéros, l'hippopotame et l'éléphant. Une nuit, des chasseurs entendirent un chipekwe qui dévorait le cadavre d'un rhinocéros tué par lui, broyant les os et arrachant d'énormes lambeaux de chair. La carcasse du rhino, découverte le lendemain matin, portait des traces de griffes et de dents telles qu'aucun animal connu n'en possède. Le chipekwe a la tête et la queue d'un lézard. Personnellement, je me suis enfoncé dans les marais à la recherche du monstre mais les indigènes me dirent qu'il était extrêmement difficile de le rencontrer, difficile et dangereux car le chipekwe est un redoutable tueur. Néanmoins, je crois en l'existence du chipekwe, un savant allemand ayant réussi à le photographier"1. Cette photo, si elle existe, n'a jamais été rendue publique. Quant au récit de Gobler, il diffère des précédents car il décrit, lui, l'animal comme un carnivore.
Hypothèses
Un Ceratosaurus, dinosaure théropode, qui ressemblerait au chipekwe
Un Centrosaurus, dinosaure cératopsien, qui ressemblerait à l'emela-ntouka

Certains cryptozoologistes croient que l'emela-ntouka est un dinosaure survivant ou un grand mammifère semi-aquatique inconnu. Le zoologue américain Loren Coleman penche plutôt vers la version d'un rhinocéros géant de la préhistoire qui aurait une prédilection pour les milieux aquatiques2. D'autres le confondent avec le Mokele-mbembe qui serait, selon certains, un dinosaure sauropode.

Ceux qui penchent pour le dinosaure pensent qu'il pourrait s'agir d'un Centrosaurus ou d'un Monoclonius, de la famille des cératopsidés. En tant que tel, il pourrait être lié au Ngoubou, un prétendu cératopsien dont la présence est signalée dans le sud du Cameroun. Quant au chipekwe carnivore de Gobler, certains le décrivent comme un Ceratosaurus, un théropode qui possède la caractéristique d'avoir une petite corne sur le nez.
Littérature

Dans le roman La Vallée des Brontosaures, publié en 1955, Bob Morane affronte un chipekwe (présenté comme un théropode).
Lien externe

Emela-ntouka sur le site newanimal [archive]

Références

↑ À la recherche du monde perdu. Heroïc Albums numéro 9 (mars 1954)
↑ Loren Coleman. Cryptozoology A-Z, p. 83

Bibliographie

Karl Shuker. In search of Prehistoric Survivors. Blandford. London. 1995. (ISBN 0-7137-2469-2)
Jerome Clark et Loren Coleman. Cryptozoology A-Z. Simon & Schuster. New York. 1999. (ISBN 0-6848-5602-6)

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Le WWF doit faire face à une recrudescence du braconnage, qui détruit la faune et menace d'extinction de nombreuses espèces protégées. Un drame qui affecte particulièrement les éléphants, rhinocéros et grands singes.

Il serait le quatrième trafic le plus important au monde après le trafic de drogue, la contrefaçon et la traite d'êtres humains. Encouragés par l'appat du gain et la faiblesse des peines encourues, les braconniers appuyés par de puissantes organisations criminelles sont aussi bien organisés, équipés et financés qu’une armée.

Pour les espèces protégées, l’engrenage est infernal. Plus elles sont rares, plus leurs produits dérivés sont convoités, accentuant ainsi la probable disparition de l’espèce.

Dans ce combat, le WWF et l'Union Internationale pour la conservation de la nature (UICN) créent dès 1976 le réseau de surveillance du commerce de la faune et de flore sauvages connu sous le nom de TRAFFIC. Sa mission est de s'assurer que le commerce d'espèces sauvages ne menace pas la conservation de la nature.

http://www.wwf.fr/nos_priorites/especes_menacees/agir_sur_les_menaces/braconnage/

https://le-rien-la-nudite.forumactif.com

yanis la chouette



Talmud de Jérusalem
Autrefois, Dans la rue du Taur à Toulouse, il y avait un restaurateur Libanais, sa Femme et un de ses fils...
Dans ce restaurant Kebab Libanais, le seul qui le faisait avec une galette et pas avec un pain...
Le restaurateur m'enseigna le Talmud et m'appris à discerner le bon, la Brute et Le Truand selon celui de
Jérusalem à ne pas confondre avec l'Universel Babylone...
J'ai appris une autre numérotation que celle du Pardon et ne croyez pas qu'il s'agisse de la
vengeance... C'est celle de la Justice des Juges sur le serment de David.
Ainsi Parlait Zarathoustra.
Ainsi est Jérusalem devant Babylone.
Le témoin de cette histoire est Tristan le Charpentier ami de Attou Magali et Clemence Tednoudji.
Son plaisir était de partager son thé à la menthe et il était fier des études de droit de son fils.
Un jour, j'ai aidé son fils à décharger un camion difficile, celui ci me dit que veut tu ?
"Rien" ai je répondu au fils mais le père m'invita à boire un thé... "
et c'est ainsi que j'ai appris à voir l'enseignement du Talmud de Jérusalem... L'avarice et la convoitise
ronge les profiteurs et surpris sur l'aspect des lois qui engendre richesse sur le palais en oubliant
la rue. Surpris de voir que quand je fais dix heures, on me dit : je te donne neuf heures,
tu me donnes une heure pour la charité et tu m'en fais une de plus pour la gratitude et le pardon.
Mais voilà l'aspect de charité est une forme d'aveu de déséquilibre de l'égalité dans le terme du
légal et du temps: C'est une forme avancé de profit sur l'aspect de l'harmonie pour celui qui est
charitable dans un aspect du temps et; celui qui devient l'aspect même de la mauvaise foi car
il est celui qui se donne de l'importance dans l'attribution du Temps.
Talmud de Jérusalem

Ecrit
de
Monsieur Tignard Yanis
ou
TAY
La chouette effraie

DEAD CAN DANCE - PERSEPHONE
https://www.youtube.com/watch?v=Ku1HJ2DI7Xk
L'Amour n'est pas un funeste chant de mort; il révèle la crainte de voir l'aimé mourir.

Le Talmud de Jérusalem (hébreu : תלמוד ירושלמי Talmoud Yeroushalmi) est une somme de commentaires et discussions rabbiniques sur la Mishna, depuis le IIe siècle jusqu’au Ve siècle. Contrairement à ce que son nom laisse entendre, il n’est pas rédigé à Jérusalem, alors interdite aux Juifs, mais dans les académies talmudiques de la terre d’Israël, qui se trouvent pour la plupart en Galilée. Certains préfèrent donc l’appeler Talmouda deEretz Israël ou Talmud palestinien.

Écrit dans un mélange d’hébreu et de judéo-araméen occidental, il couvre, contrairement au Talmud de Babylone élaboré deux siècles plus tard, l’ensemble des traités de la Mishna. Sous la pression des circonstances historiques, il est plus concis, moins approfondi et moins édité que son équivalent babylonien (d’aucuns affirment qu’il n’a pas été édité du tout et que la version classique de ce Talmud serait en fait celle de l’académie de Sepphoris, dont les docteurs auraient fui vers l’est suite aux répressions de la révolte des Juifs contre Constantius Gallus). Les traités de l'ordre Neziqin présentent d'importantes différences de forme et de style par rapport aux autres traités, ce qui laisse penser qu'ils sont le fruit d'une composition plus ancienne (50 ans avant le reste du Talmud).

En raison de l’intense compétition d’influence au cours de la période des gueonim entre les académies babyloniennes et galiléennes — qui se solde à l’avantage des premiers, le Talmud de Jérusalem est délaissé à mesure que le Talmud de Babylone est érigé en norme. La négligence dont il fait l’objet entraîne la perte de nombreuses portions de ce Talmud, y compris l’intégralité de l’ordre Kodashim. Son étude demeure confidentielle jusqu’à l’ère contemporaine où elle est encouragée et promue par la rédaction de nouveaux commentaires appelés à faciliter la compréhension de ce texte ardu et d’autant plus sybillin qu’il reste fragmentaire et n’a pas fait l’objet d’un commentaire équivalent à celui de Rachi.

Contexte historique

Le Talmud de Jérusalem a pour but de rassembler les enseignements dispensés dans les académies et autres cercles d’étude sur la Mishna, première cristallisation de la tradition orale rabbinique, compilée au IIe siècle. Outre les préceptes des docteurs de la Mishna, le Talmud de Jérusalem se fonde principalement sur leur commentaire par Yohanan bar Nappaha et Shimon ben Lakish, lequel est ensuite discuté par leurs disciples et les disciples de ceux-ci au cours de plusieurs générations.

Tout au long de cette tâche, les rabbins doivent opérer dans la clandestinité, au vu des décrets de l’empereur Hadrien qui a fait interdire l’étude des textes juifs à la suite de la révolte de Bar Kokhba. Aux Romains succèdent les Byzantins qui sont plus hostiles encore à ces enseignements car ils remettent en cause non seulement la souveraineté romaine sur ces terres mais encore la religion professée par les empereurs depuis la conversion de Constantin Ier au christianisme en 313. Le ton à l’égard des Juifs se durcit davantage sous le règne de Théodose II, qui adhère, sous l’influence de sa sœur aînée Pulchera, au christianisme orthodoxe, et fait détruire nombre de lieux de culte juifs, synagogues et académies. À la suite de ces pressions, les derniers grands savants de Syrie Palestine, Rav Mana et Rav Yossi rédigèrent le Talmud de Jérusalem, vers l'an 400 de l'ère commune.

Bibliographie
Texte

en hébreu Texte intégral du Talmud de Jérusalem [archive], mechon-mamre.org
traduction française : Le Talmud de Jérusalem, trad. Moïse Schwab, 1871-1890, rééd. 2010.
Vol. 1 : Traité des Berakhoth. - Vol. 2 : Traités Péa, Demei, Kilaim, Schebiith. - Vol. 3 : Traités Troumoth, Maasseroth, Maasser shéni, Halla, Orla, Biccurim. - Vol. 4 : Traités Schabbath et 'Eroubin. - Vol. 5 : Traités Pesahim, Yôma et Scheqalim. - Vol. 6 : Traités Soucca, Rosch ha-schana, Taanith, Meghilla, Haghiga, Moëd qaton [1] [archive]. - Vol. 7 : Traités Yehamoth et Sota. - Vol. 8 : Traités Kethouboth, Nedarim, Guittin. - Vol. 9 : Traités Guitin (fin), Nazir, Qiddouschin. - Vol. 10 : Traités Baba Qamma, Baba Mecia' Baba Bathra, Sanhédrin (I-VI) - Vol. 11 : Traités Sanhédrin (fin), Makkoth, Schebouoth, Aboda, Zara, Horaïoth, Niddah.
Traité de Berakhoth, etc. jusqu'au Traité Niddah, 4386 p. [2] [archive]

Études

Abraham Cohen, Le Talmud. Exposé synthétique du Talmud et de l'enseignement des Rabbins (1932), trad. de l'an., Petite bibliothèque Payot, 2002, 649 p.
David Malki, Le Talmud et ses maîtres, trad. du yiddish, Albin Michel, 1993, 270 p.
Adin Steinsaltz, Introduction au Talmud, Albin Michel, 2002, 336 p.

Voir aussi
Articles connexes

Talmud
Talmud de Babylone
Halakha
Mishna
Synagogue de Rehov

Liens externes

Le Talmud de Jérusalem traduit par Moïse Schawb [archive]
The Yerushalmi--The Talmud of the Land of Israel: An Introduction, Jacob Neusner, Jason Aronson, 1992. (ISBN 0-87668-812-1)
The Palestinian Talmud [archive], Jewish Encyclopedia
What is Talmud Yerushalmi? [archive], faqs.org
Jewish History: Talmud [archive], Aish.com
The Jerusalem Talmud [archive], ORT
Talmud/Mishna/Gemara [archive], Jewish Virtual Library
Jewish Law Research Guide [archive], University of Miami Law Library
A survey of Rabbinic Literature [archive], Ohr Somayach

Rapport de
Y'becca

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