Le nouveau Conseil d’Etat est sur les rails depuis ce lundi 1er mai 2017. Les trois nouveaux élus – Frédéric Favre, Christophe Darbellay et Roberto Schmidt – ont pris leurs fonctions ce matin à l’occasion de la séance constitutive du Conseil d’Etat, sous la présidence de Jacques Melly.
Nouvelles têtes, départements remaniés et changement de présidence… Le Conseil d’Etat millésime 2017 part sur de nouvelles bases. Trois nouveaux élus font leur entrée. «J’imagine que ça a été la même chose lorsque nous sommes entrés au Conseil d’Etat, dit le président Jacques Melly, nous étions également trois nouveaux et je peux ressentir aujourd’hui ce qu’ont dû ressentir nos collègues lorsque nous sommes arrivés. Il y a toujours une nouvelle dynamique, il y a beaucoup de changements, des ambitions, des engagements. Je me réjouis de voir de quelle façon ces quatre prochaines années vont être à la hauteur des attentes de chacun.»
Après la séance photo terminée, place au travail. Et un premier déplacement pour le chef du département de l’Économie et de la Formation, à Monthey: «J’ai souhaité deux choses en fait: le rapprochement entre la formation et l’économie et rester très proche des entreprises et du terrain. Donc cet après-midi, je visite le site industriel et chimique de Monthey en rencontrant les quatre directeurs du site et, ensuite, je vais là où j’ai fait toutes mes classes primaires, à Conthey», déclare Christophe Darbellay, chef du Département de l’économie et de la formation.
Première conférence de presse pour Frédéric Favre. Le libéral-radical a apporté son soutien à la stratégie énergétique 2050 soumise en votation le 21 mai prochain: «C’est important, je l’ai dit à beaucoup de reprises: tout ce qui a trait à l’écologie, la durabilité est important. Il y a eu aujourd’hui cette possibilité de se mettre en avant pour pousser cette votation vers le oui, je crois que c’est aussi mon rôle», affirme le chef du Département de la sécurité, des institutions et du sport.
Travail sur le terrain et surtout premières rencontres avec les États-Majors. Les proches collaborateurs de Roberto Schmidt se souviendront de ce moment. «Ce sont eux qui vont diriger ce département. Au niveau opérationnel, ce sont leurs tâches, moi je prends la responsabilité. On va être une équipe. J’ai aussi distribué à chacun un pain de seigle d’Erschmatt: c’est très important, comme dans une grande famille, de partager le pain, les soucis, les problèmes et les succès», estime Roberto Schmidt, chef du département des finances et de l’énergie.
Ce nouveau gouvernement a quatre ans pour faire ses preuves. Tout premier bilan dans 100 jours!
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Zoom sur l’histoire des femmes en Valais, thématique abordée par 230 scientifiques lors d’un colloque
Si la plupart d’entre nous n’arrivent pas à penser à plus d’un ou deux noms de figures féminines qui ont marqué le Valais, des historiennes et historiens veulent changer cet état de fait avec un colloque organisé ce samedi 29 avril sur l’histoire des femmes en Valais. Une collaboration entre Via Mulieris et la Société d’histoire du Valais romand.
Pour en parler, deux invitées: Maryline Morard (elle est la présidente de Via Mulieris, qui veut dire voie des femmes en latin) et Marie-France Vouilloz Burnier, historienne et membre fondatrice de Via Mulieris.
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Les chasseurs valaisans souhaitent quitter l’association faîtière
Réunis en assemblée générale, les chasseurs valaisans ont envoyé un signal fort à leur faîtière nationale. Lors d’un vote consultatif, ils ont accepté à l’unanimité de quitter Chasse Suisse, comme l’explique Daniel Kalbermatter, président.
Les Valaisans dénoncent aussi un système inégal d’autorisations de chasse. S’il est facile de pouvoir tirer en Valais, l’inverse n’est pas vrai dans certains cantons suisses alémaniques.
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Votation populaire sur la stratégie énergétique: tous les partis valaisans disent «oui», sauf l’UDC
Les Suisses voteront sur la stratégie énergétique 2050 le 21 mai 2017. Cette révision de la loi vise à diminuer la consommation et à promouvoir les énergies renouvelables. La construction de toute nouvelle centrale nucléaire sera interdite. Pour le comité qui défend la loi, elle est avant tout bénéfique pour le Valais, comme l’explique le conseiller national Yannick Buttet.
Le coût est le principal argument des opposants. Ils estiment que la facture d’électricité augmentera de 3200 francs par an et par ménage. Ce calcul est balayé par les défenseurs de la loi. Ils font état de 4% d’augmentation, soit environ 50 francs par année. Explications de Mathias Reynard, conseiller national.
Un projet consensuel, donc. Tous les partis valaisans y sont favorables à l’exception de l’UDC qui se prononce ce soir. D’après son président le parti oscille entre le non et la liberté de vote.
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1er mai: la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga en visite sur le chantier d’Energypolis
À l’occasion de la fête du Travail, la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga va traditionnellement à la rencontre de travailleurs sur leur lieu de travail. Elle a choisi cette année de venir à Sion pour visiter le chantier du campus energypolis. Les bâtiments en construction accueilleront des étudiants et des chercheurs de la HES et de l’EPFL dès 2020.
La conseillère fédérale s’est entretenue avec les ouvriers de leurs conditions de travail. Conditions particulièrement difficiles en ce jour de pluie.
Elle a également abordé la thématique de l’immigration puisque près des 2 tiers des employés du secteur principal de la construction sont de nationalité étrangère alors que le taux de chômage y est plus élevé que dans la moyenne de toutes les professions.
RAPPORT DU
CITOYEN TIGNARD YANIS
Nouvelles têtes, départements remaniés et changement de présidence… Le Conseil d’Etat millésime 2017 part sur de nouvelles bases. Trois nouveaux élus font leur entrée. «J’imagine que ça a été la même chose lorsque nous sommes entrés au Conseil d’Etat, dit le président Jacques Melly, nous étions également trois nouveaux et je peux ressentir aujourd’hui ce qu’ont dû ressentir nos collègues lorsque nous sommes arrivés. Il y a toujours une nouvelle dynamique, il y a beaucoup de changements, des ambitions, des engagements. Je me réjouis de voir de quelle façon ces quatre prochaines années vont être à la hauteur des attentes de chacun.»
Après la séance photo terminée, place au travail. Et un premier déplacement pour le chef du département de l’Économie et de la Formation, à Monthey: «J’ai souhaité deux choses en fait: le rapprochement entre la formation et l’économie et rester très proche des entreprises et du terrain. Donc cet après-midi, je visite le site industriel et chimique de Monthey en rencontrant les quatre directeurs du site et, ensuite, je vais là où j’ai fait toutes mes classes primaires, à Conthey», déclare Christophe Darbellay, chef du Département de l’économie et de la formation.
Première conférence de presse pour Frédéric Favre. Le libéral-radical a apporté son soutien à la stratégie énergétique 2050 soumise en votation le 21 mai prochain: «C’est important, je l’ai dit à beaucoup de reprises: tout ce qui a trait à l’écologie, la durabilité est important. Il y a eu aujourd’hui cette possibilité de se mettre en avant pour pousser cette votation vers le oui, je crois que c’est aussi mon rôle», affirme le chef du Département de la sécurité, des institutions et du sport.
Travail sur le terrain et surtout premières rencontres avec les États-Majors. Les proches collaborateurs de Roberto Schmidt se souviendront de ce moment. «Ce sont eux qui vont diriger ce département. Au niveau opérationnel, ce sont leurs tâches, moi je prends la responsabilité. On va être une équipe. J’ai aussi distribué à chacun un pain de seigle d’Erschmatt: c’est très important, comme dans une grande famille, de partager le pain, les soucis, les problèmes et les succès», estime Roberto Schmidt, chef du département des finances et de l’énergie.
Ce nouveau gouvernement a quatre ans pour faire ses preuves. Tout premier bilan dans 100 jours!
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Zoom sur l’histoire des femmes en Valais, thématique abordée par 230 scientifiques lors d’un colloque
Si la plupart d’entre nous n’arrivent pas à penser à plus d’un ou deux noms de figures féminines qui ont marqué le Valais, des historiennes et historiens veulent changer cet état de fait avec un colloque organisé ce samedi 29 avril sur l’histoire des femmes en Valais. Une collaboration entre Via Mulieris et la Société d’histoire du Valais romand.
Pour en parler, deux invitées: Maryline Morard (elle est la présidente de Via Mulieris, qui veut dire voie des femmes en latin) et Marie-France Vouilloz Burnier, historienne et membre fondatrice de Via Mulieris.
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Les chasseurs valaisans souhaitent quitter l’association faîtière
Réunis en assemblée générale, les chasseurs valaisans ont envoyé un signal fort à leur faîtière nationale. Lors d’un vote consultatif, ils ont accepté à l’unanimité de quitter Chasse Suisse, comme l’explique Daniel Kalbermatter, président.
Les Valaisans dénoncent aussi un système inégal d’autorisations de chasse. S’il est facile de pouvoir tirer en Valais, l’inverse n’est pas vrai dans certains cantons suisses alémaniques.
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Votation populaire sur la stratégie énergétique: tous les partis valaisans disent «oui», sauf l’UDC
Les Suisses voteront sur la stratégie énergétique 2050 le 21 mai 2017. Cette révision de la loi vise à diminuer la consommation et à promouvoir les énergies renouvelables. La construction de toute nouvelle centrale nucléaire sera interdite. Pour le comité qui défend la loi, elle est avant tout bénéfique pour le Valais, comme l’explique le conseiller national Yannick Buttet.
Le coût est le principal argument des opposants. Ils estiment que la facture d’électricité augmentera de 3200 francs par an et par ménage. Ce calcul est balayé par les défenseurs de la loi. Ils font état de 4% d’augmentation, soit environ 50 francs par année. Explications de Mathias Reynard, conseiller national.
Un projet consensuel, donc. Tous les partis valaisans y sont favorables à l’exception de l’UDC qui se prononce ce soir. D’après son président le parti oscille entre le non et la liberté de vote.
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1er mai: la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga en visite sur le chantier d’Energypolis
À l’occasion de la fête du Travail, la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga va traditionnellement à la rencontre de travailleurs sur leur lieu de travail. Elle a choisi cette année de venir à Sion pour visiter le chantier du campus energypolis. Les bâtiments en construction accueilleront des étudiants et des chercheurs de la HES et de l’EPFL dès 2020.
La conseillère fédérale s’est entretenue avec les ouvriers de leurs conditions de travail. Conditions particulièrement difficiles en ce jour de pluie.
Elle a également abordé la thématique de l’immigration puisque près des 2 tiers des employés du secteur principal de la construction sont de nationalité étrangère alors que le taux de chômage y est plus élevé que dans la moyenne de toutes les professions.
RAPPORT DU
CITOYEN TIGNARD YANIS